Annonce de la mort d’Yvonne Clech par Yvan Foucart, à l’âge de 90 ans dans la plus grande discrétion – Merci à Richard Templier qui m’informe de l’avis de son décès ce 25 février dans le journal « Le Monde » du 4 mars -. Le tempérament de cette ancienne élève de Charles Dullin, en faisait une cliente idéale pour bien des comédies, bien souvent dans des rôles excentriques de grande bourgeoise, à l’instar de l’automobiliste qui dit à Catherine Demongeot qu’il ne faut pas brutaliser les grandes personnes dans « Zazie dans le métro », et qui est « Une vraie jeune fille, et veuve de surcroit » ! Il faut la voir poursuivre de ses assiduités Vittorio Caprioli. Elle est irrésistible ainsi en femme « Pompette » de Ferdy Mayne dans « Jo » – souvenez-vous de la réplique culte de Florence Blot à son sujet : « Tût-Tût » -. Elle eu un parcours impressionnant au théâtre, elle fut membre de la prestigieuse troupe « Grenier-Hussenot », elle créa avec Jean-Marie Serreau « Amédée ou comment s’en débarrasser » d’Eugène Ionesco en 1961, et « Zoo » de Vercors, en 1964 au TNP. Bibliographie : Dictionnaire cinématographique de Bretagne de Gérard-Louis Gauthier (Télégram édition, 1995). A lire l’hommage d’Armel de Lorme dans « L’aide-mémoire ».
Yvonne Clech dans « Zazie dans le métro »
Filmographie : 1950 L’étrange madame X (Jean Grémillon) – 1953 Les hommes ne pensent qu’à ça… (Yves Robert) – 1957 Ce joli monde (Carlo Rim) – 1958 La moucharde (Guy Lefranc) – Le grand chef (Henri Verneuil) (1) -1959 Le second souffle (Yannick Bellon, CM) – 1960 Zazie dans le métro (Louis Malle) – Saint-Tropez blues (Marcel Moussy) – 1961 Les livreurs (Jean Girault) – Le tracassin ou les plaisirs de la ville (Alex Joffé) – 1962 Arsène Lupin contre Arsène Lupin (Édouard Molinaro) – Un clair de lune à Maubeuge (Jean Chérasse) – Les veinards [Sketch : « Le vison »] (Jean Girault) – 1963 L’honorable Stanislas, agent secret (Jean-Charles Dudrumet) – Le feu follet (Louis Malle) – L’assassin connaît la musique (Pierre Chenal) – La foire aux cancres (Louis Daquin) – Coplan prend des risques (Maurice Labro) – Faites sauter la banque (Jean Girault) – La vie à l’envers (Alain Jessua) – 1964 Les gros bras (Francis Rigaud) – Relaxe-toi chérie (Jean Boyer) – L’or et le plomb (Alain Cuniot) – 1965 Quand passent les faisans (Édouard Molinaro) – Pleins feux sur Stanislas (Jean-Charles Dudrumet) – 1966 Six chevaux bleus / Zossia (Philippe Joulia, + version TV) – 1967 Le grand Dadais (Pierre Granier-Deferre) – 1971 Jo (Jean Girault) – 1972 Le rempart des Béguines (Guy Casaril) – 1973 Géraldine ou la vertu récompensée (Pierre Sisser, CM) – Gross Paris (Gilles Grangier) – 1974 Un train peut en cacher un autre (Jacques Colombat, CM) – Soldat Duroc, ça va être ta fête (Michel Gérard) – Q / Au plaisir des dames / Le gros lot) (Jean-François Davy) – 1977 Le maestro (Claude Vital) – 1978 Au bout du bout du banc (Peter Kassovitz) – Mireille dans la vie des autres (Jean-Marie Buchet) – 1979 Comme une femme (Christian Dura) – 1983 Y a-t-il un pirate sur l’antenne ? (Jean-Claude Roy) – 1984 Le hasard mène le jeu (Pierre Chenal) – 1988 À deux minutes près (Éric Le Hung) – 1989 Suivez cet avion (Patrice Ambard). (1) précision d’Armel de Lorme, elle n’apparaît pas dans les copies actuellement visibibles.
Télévision : (notamment) : 1954 Volpone (Stellio Lorenzi) – 1955 La rabouilleuse (Jean-Paul Carrère) – 1956 George et Margaret (Marcel Cravenne) – La famille Anodin (André Leroux, Marcel Bluwal & Arnaud Desjardins) – Le prix Martin (Pierre Badel) – 1958 Si c’était vous : Étudiant en médecine (Marcel Bluwal) – 1960 Un homme supérieur (Georges Folgoas) – Le paysan parvenu (René Lucot) – 1961 L’histoire dépasse la Fiction : Fra Diavolo (Jean Kerchbron) – La galettes des rois (Jean Pignol) – Les femmes de bonne humeur (Alain Boudet) – 1962 Elle s’abaisse pour vaincre ou la nuit des erreurs (Étienne Fuselier) – Les vignes du seigneur (Jean Kerchbron) – 1964 La cruche cassée (Jean Kerchbron) – Premier prix de piano (Abder Isker) – Les cabinets particuliers (Alain Boudet) – Les aventures de Monsieur Pickwick (René Lucot) – 1965 La part du gâteau (Guy Labourasse) – Monsieur Biedermann et les incendiaires (Robert Valey) – Conte de Noël : Sujet pour un petit récit (Robert Valey) – 1966 Le philosophe sans le savoir (Jean-Paul Roux) – Antony (Jean Kerchbron) – Au théâtre ce soir : Les portes claquent (Pierre Sabbagh) – À Saint-Lazare (François Gir) – 1967 Le complexe de Philémon (Jacques Pierre) – Allô Police : Le mille-pattes (Pierre Goutas) – Les sept de l’escalier 15 (Georges Rénier) – 1968 La bonne éducation (Marcel Blistène) – Un chat est un chat (Robert Maurice) – 1969 Thibaud ou les croisades : Le mariage de Blanchot (Henri Colpi) – Au théâtre ce soir : Baby Hamilton (Pierre Sabbbagh) – Minouche (Maurice Fasquel & Rinaldo Bassi, série) – La 99e minute (François Gir) – Au théâtre ce soir : Bichon (Pierre Sabbagh) – 1970 Au théâtre ce soir : George et Margaret Pierre Sabbagh) – Les saintes chéries : Ève P.D.G. (Jean Becker) – 1971 Au théâtre ce soir : Les Pituiti’s (Pierre Sabbagh) – Le bouton de rose (François Gir) – 1972 Les dernières volontés de Richard Lagrange (Roger Burckhardt) – La bonne nouvelle (Guy Lessertisseur) – Joyeux chagrins (François Gir) – 1973 Les écrivains (Robert Guez) – 1974 Nans le berger (Bernard-Roland) – 1975 Aurore et Victorien (Jean-Paul Carrère) – Le péril bleu (Jean-Christophe Averty) – Le théâtre de Tristan Bernard : Le prétendant (Georges Folgoas) – 1977 Bonsoir chef (Pierre Goutas) – Chantecler (Jean-Christophe Averty) – 1978 Au théâtre ce soir : Un ménage en or (Pierre Sabbagh) – Au théâtre ce soir : Vous ne l’emporterez pas avec vous (Pierre Sabbagh) – Cinéma 16 : Thomas Guérin, retraité (Patrick Jamain) – 1979 Le petit théâtre d’Antenne 2 : L’homme de Rangoon (Jean-Charles Dudrumet) – Le troisième couteau (Robert Valey) – Les amours de la belle époque : La statue voilée (Jean-Paul Roux) – 1980 Au théâtre ce soir : Beaufils et fils (Pierre Sabbagh) – Les incorrigibles (Abder Isker) – 1981 Au théâtre ce soir : La claque (Pierre Sabbagh) – Au théâtre ce soir : Alain, sa mère et sa maîtresse (Pierre Sabbagh) – Les gaietés de la correctionnelle : Une dame de qualité (Marlène Bertin) – 1982 Georges Dandin (Jean Kerchbron, captation) – Jules et Georgia (Robert Valey) – Le rêve d’Icare (Jean Kerchbron) – 1983 Père Noël et fils (André Flédérick) – 1984 La fête (Éric Le Hung) – Au théâtre ce soir : La vie est trop courte (Pierre Sabbagh) – La pendule (Éric Le Hung, plusieurs épisodes) – Les enquêtes du commissaire Maigret : La nuit du carrefour (seconde version) (Stéphane Bertin) – 1986 Madame et ses flics : Le corbeau informatique (Roland-Bénard) – L’amour à tout prix (Marie-France Hascoët, CM) – La guerre des femmes (Pierre Bureau) – 1988 Espionne et tais-toi ; Flamiche en Barzac (Claude Boissol) – Les enquêtes du commissaire Maigret : Maigret et le témoignage de l’enfant de coeur (Michel Subiela) – La baby-sitter (Christiane Lehérissey & Laurent Lévy, plusieurs épisodes) – 1989 Le hérisson (Robert Enrico) – 1990 Drôles d’histoires / Mésaventures : Persécution (André Teisseire, CM) – 1996 Madame Dubois – Hôtel Bellevue (Jean-Pierre Améris) – 1998 Pour la galerie (Claude d’Anna et Laure Bonin, captation) – Nora (Édouard Molinaro) – 1999 Une femme d’honneur : La femme battue (Alain Bonnot) – Intrigues: Un sujet de roman (Jean Pignol) – 1992 Mésaventures: Le prestige de l’uniforme (Sélim Isker, CM) – 2002 L’emmerdeuse : Jeunesse oblige (Michaël Perrotta). Remerciements : à Bernard. Bibliographie : « Les fictions française à la télévision » de Jean-Marc Doniak (Dixit-SACD, 1998).
Hello Christian.Comme d’habitude c’est ici que j’apprends tout ça.
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Traînée de poudre
Merci et c’est grâce à Yvan Foucart et Richard Templier, mais l’info est reprise très vite par les sites ciné-copistes… Il suffit juste de repomper l’état-civil trouvé sur le site « Les gens du cinéma » et dupliquer la filmo. Mais il faut dire aussi que certains sites ont un statut commercial avec de la pub, avec obligations d’atteindre un certain nombre de visiteurs, on les comprend, on ne va tout de même pas s’embarrasser à citer des petits blogs élaborés sans but lucratif et moins bien référencés…
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TUTUT
bonjour. error=
Dans JO, c’est FLorence BLOT, et non Christiane Müller, qui a popularisé « TUTUT »…Christiane Müller joue la bonne.
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Shame on me
Mea culpa, c’est bien sûr Florence Blot, pour la peine je vais préparer un portrait très prochainement sur Florence Blot que je viens de revoir dans un joyeux nanar « Le lit à deux places », édité en DVD chez L.C.J. Vidéo…
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Compléments
Quelques précisions : « L’emmerdeuse » a été tournée en 2002.
En 1998, une captation de « Pour la galerie » a été réalisée (diffusée le 25-07-01)
Et d’après le « Doniak », on peut ajouter :
1955: La rabouilleuse (J.Paul Carrère); 1956: George et Margaret (Marcel Cravenne)- Le prix Martin (Pierre Badel); 1960: Un homme supérieur (Georges Folgoas); 1961: La galette des rois (Jean Pignol); 1965: Conte de Noël: Sujet pour un petit récit (Robert Valey,CM); 1966: La 99e minute (François Gir); 1971: Le bouton de rose (François Gir); 1989: Intrigues: Un sujet de roman (Jean Pignol); 1990: Mésaventures: Persécution (André Teisseire); 1992: Mésaventures: Le prestige de l’uniforme (Sélim Isker).
« Le complexe de Philémon » a été réalisé par Jacques Pierre dans sa version de 1967 (et non par René Lucot).
Compléments
Quelques précisions : « L’emmerdeuse » a été tournée en 2002.
En 1998, une captation de « Pour la galerie » a été réalisée (diffusée le 25-07-01)
Et d’après le « Doniak », on peut ajouter :
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« Le complexe de Philémon » a été réalisé par Jacques Pierre dans sa version de 1967 (et non par René Lucot).
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Quelques précisions : « L’emmerdeuse » a été tournée en 2002.
En 1998, une captation de « Pour la galerie » a été réalisée (diffusée le 25-07-01)
Et d’après le « Doniak », on peut ajouter :
1955: La rabouilleuse (J.Paul Carrère); 1956: George et Margaret (Marcel Cravenne)- Le prix Martin (Pierre Badel); 1960: Un homme supérieur (Georges Folgoas); 1961: La galette des rois (Jean Pignol); 1965: Conte de Noël: Sujet pour un petit récit (Robert Valey,CM); 1966: La 99e minute (François Gir); 1971: Le bouton de rose (François Gir); 1989: Intrigues: Un sujet de roman (Jean Pignol); 1990: Mésaventures: Persécution (André Teisseire); 1992: Mésaventures: Le prestige de l’uniforme (Sélim Isker).
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En 1998, une captation de « Pour la galerie » a été réalisée (diffusée le 25-07-01)
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En 1998, une captation de « Pour la galerie » a été réalisée (diffusée le 25-07-01)
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Tristesse
Tristesse que la disparition de cette grande comédienne, femme charmante, élégante, drôle, à la voix si particulière, elle qui incarna mieux que personne la bourgeoise excentrique, un brin rêveuse… Sensible…
Nous ne t’oublierons pas, Yvonne, reçois, par delà la mort, notre admiratif salut et les accents de nos cœurs en larmes…
Tristesse
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Nous ne t’oublierons pas, Yvonne, reçois, par delà la mort, notre admiratif salut et les accents de nos cœurs en larmes…
JE VIENS DE LIRE ………AVEC BEAUCOUP D’INTERET VOTRE ARTICLE SUR YVONNE CLEC’H,C’ETAIT LA NIECE DE MON ARRIERE GRAND-PERE(francois marie clec’h). J,IGNORAIS QU’ELLE AVAIT TANT JOUE,MAIS JE CONNAISSAIS SA REPUTATION .MERCI M CLAIRE
C’est étrange. Des comédiens que l’on a connu depuis notre petite enfance disparaissent sans qu’on s’en rende compte, sur le moment. Je regarde « quand passent les faisans » sur le câble et je vois Yvonne Clech danser avec Paul Meurisse. Je me demande « mais comment s’appelle cette actrice déjà ? ». Dans mon esprit, elle se confond un peu avec Claude Gensac. Une recherche dans Wikipédia et j’apprends qu’Yvonne Clech a disparu depuis deux ans. Adieu Madame.