« Un homme parti de rien pour ne pas arriver à grand-chose n’a de merci à dire à personne. » (Pierre Dac)
« On les nique les tristes figures, on les nique ! », dernière réplique d’Anouk Grinberg du mésestimé film de Bertrand Blier « Un, deux, trois, soleil »
« Que ton espoir soit sans limites, hé ! hé !! hé !!! hé !!!! hé !!!! Donne un sens à ton histoire, non, non, non, non, Offre tout ce que tu mérites, Pour prendre un nouveau dépaaaart » (Chanson du générique de fin de « Plus belle la vie » (1) »
A l’instar de Ze craignos monsters, voici donc « Le coin du cinéphage – le –re-retour », sur support point com. Comme il n’y a pas de volume 4 des formidables livres de Jean-Pierre Putters, je devais être donc relativement tranquille (quoi que ! comme disait Raymond Devos ). Après quelques mois de déboires, c’est grâce à l’obstination de Jean-Louis Sauger Retour à Yuma – pour lequel je témoigne ici d’une infinie gratitude, que le coin n’est plus au coin ! (ce n’est même pas de moi, mais de Jean-Jacques Jouve, créateur de « La lettre des comédiens » que je salue au passage, car son fanzine m’aura montré une voie) -. Donc petites nouveautés avec une création d’un « coin des livres », avec pour idée aussi d’évoquer des ouvrages, dans l’actualité ou non, manière de rêver autour d’une bibliothèque idéale, reprise d’un trombinoscope, histoire d’aider aussi à identifier certaines personnalités du cinéma. R.I.P. disparaît (désolé, mais je suis une tête de cochon), mais « Fragments d’un dictionnaire amoureux » perdure, rubrique dans laquelle j’évoquerai également des comédiens disparus, mais je prendrai de sérieuses distances avec l’actualité… je ne serai plus du tout réactif (Private joke). Une rubrique intervenants extérieurs est aussi à votre disposition si vous souhaitez me rejoindre, comme l’avaient fait Armel de Lorme et Yvan Foucart. J’aimerais avant tout rendre hommages aux méconnus du cinéma, je solliciterais de l’aide notamment pour les seconds couteaux anglo-saxons ou européens. C’est grâce aussi à l’application wordpress, je suis ainsi débarrassé de toute pub, elle permet de faire des commentaires express, le tout pour continuer dans un joyeux bordel cher à Pierre Bourdieu. Si vous avez des attentes ou des suggestions, n’hésitez pas à m’en faire part, je tenais à remercier tous ceux qui m’ont soutenu, qu’ils veuillent m’excuser si je n’ai pas répondu à leurs demandes, ayant pris une distance avec le joyeux monde du web. Reste à trouver mes marques et à rapatrier des anciens commentaires perdus par l’ineffable équipe de Banalblog, ils risquent de perdre en lisibilité, ce qui est dommage car ils sont souvent plus intéressant que les textes eux même.
(1) Ça doit bien signifier quelque chose… mais quoi !
Ravi de te retrouver avec changement d’herbage ou d »hébergeage »