Avant-première le 2 février 2005 du film « Marock » premier film de la réalisatrice Laïla Marrakchi, en sa présence et celles de Razika Simozrag, Morjana El Alaoui et Rachid Behaissan, une équipe très dynamique et sympathique. Ce film qui a suscité quelques polémiques au Maroc, voir lien avec Yabiladi, qui nous semblent incompréhensible à l’issue du film. Les artistes vétérans marocains qui furent choqué par la vision de la réalisatrice, au festival du film national de Tanger, qui par honnêteté à décrit ce qu’elle a connu du Maroc en 1997, du point de vue de sa classe, « la jeunesse dorée », et insouciante, à l’avenir tout tracé. Influencée par « La fureur de vivre » de Nicholas Ray, elle retrace l’année du bac de Rita, une jolie musulmane – Morjana El Aloui, qui capte aisément la lumière et que la caméra aime visiblement – , 17 ans et de ses deux amies. Elle tombe amoureuse de Youri – Mathieu Boujenah -, qui appartient à la communauté juive de Casablanca, d’où un début d’histoire d’amour dans la grande tradition Roméo + Juliette, évoquée avec beaucoup de sensibilité. Loin d’être provocante, cette évocation reste chaste, à l’image d’un baiser tendre entre les deux personnages. Les excès inhérents à cette génération (drogue et alcool) devrait expliquer les polémiques dont ce film fait objet chez les artistes confirmés au Maroc.
Fatym Layachi, Morjana El Alaoui & Razika Simozrag
La réalisatrice en parlant de son expérience et de ses années d’études – elle vient d’une famille aisée -, tente sans fioriture de jouer contre les clichés, de parler d’une histoire d’amour universelle en retrouvant ses souvenirs. Le film est moins désinvolte que l’on pourrait le croire, elle décrit par petites touches un pays qu’elle aime, rappelant par petites touches un Maroc moins privilégié, comme le vieil homme priant dans un parking entre deux voitures, où ces hommes jouant aux dames avec des capsules en plastiques. Déterminée, Laïla Marrakchi a répété plusieurs mois avec ces jeunes interprètes – tous probants -. Elle passe facilement de l’émotion aux rires, soulignons particulièrement la scène de réconciliation entre Rita et son frère Mao – Assaad Bouab, apportant une complexité à son personnage -, de manière presque chorégraphique. Ce film est un souffle d’air frais, sans prétention, porté par l’enthousiasme de ses interprètes. C’est une proposition, certes partiale et d’un certain point de vue, mais le film ne méritait pas toutes ces polémiques. Les Marocains de Bordeaux, retrouvaient pour beaucoup leurs souvenirs, et la beauté des lieux, il n’y a d’ailleurs eu aucune polémique ce soir là. La réalisatrice, femme du cinéaste Alexandre Aja, ne prétend d’ailleurs pas à dépeindre la totalité du Maroc. Un talent à encourager donc, sortie mercredi prochain.
c est un film que j ai bcp aprécier ; car il reflet vrmt notre génération
……..
c’est un film adorabl je l’aime trop et aussi une histoire magnifique………bon continuation
impec
c un film adorable j l’ai vu pa mal de fois on peu rien dire sauf ke c vraiment impec bravo laila marrakchi
;!kk
bon soir ca va
cc
waaaaaaaaaaaaw
ta3li9
had le film dial l9hab a wlad l9hab bgaito tnaodo lfitna fi maroc a chofarra
un choix
vraiment je le trouve agréable d’une part car il reflète un peu la réalité chez les jeunes marocains qu’ont vécu dans des familles plus ouvertes d’une montalité europenne, mais pour les autres ce film un peu dépasse les limites mais c’est la réalité de notre jeunisse, il reste toujours un grand travail avec une histoire plus développée.
baghi ndire 3ala9a
salam zwinat hadchi 3andkom zwin walakin katfkro chwia flah ola rir saigin ta9ao lah ….
http://www.hicham.fr
vraiment je le trouve agréable d’une part car il reflète un peu la réalité chez les jeunes marocains qu’ont vécu dans des familles plus ouvertes d’une montalité europenne, mais pour les autres ce film un peu dépasse les limites mais c’est la réalité de notre jeunisse, il reste toujours un grand travail avec une histoire plus développée
helala
salut
cava
je t’aime
rien a dir
slt ca va je rev de fer un film marocaen moi c faycal de paris 15e et clichy slt
rien a dir le film
j’ai tro kiff le film marock et le meme film LOL
1994
slt ca va je^taim