La vision dans la librairie du dictionnaire des acteurs de Christian Dureau, dernière version, avec toujours les mêmes erreurs, et celle de Jean Tulard dans l’émission chez « F.O.G. » dans son numéro habituel de fanatique bonapartiste… face à Nicolas S., me donne l’envie de vous resservir le premier texte de mon ancien blog. Il est toujours d’actualité concernant la reprise parfois abusive de certains textes. Il est vrai les infos vont et viennent, vous avez parfois la surprise de les retrouver ailleurs, je cite il est vrai nombre d’articles de journaux, mais dans un but d’information, au moins en citant mes sources et dans un blog, donc non lucratif par excellence. Il m’arrive parfois de retrouver mes infos ailleurs, une fois sur « Wikipédia « concernant François Berléand, mais son équipe est soucieuse du droit et a supprimé cet emprunt. Reste que « Wikipédia », à l’instar d’IMDB, est source de trouvailles – il y a des infos inédites sur des seconds rôles français, grâce à un internaute je connais enfin René Hell, spécialisé dans les vieillards chenus -. Voilà que je me retrouve depuis mi-décembre à compléter aussi certaines notules, je vais finir « bredin » à continuer ainsi en plus du blog et d’IMDB – quoi que le blog en ce moment je sèche un peu vous pouvez le constater, ma source aux platitudes se tarissant un tantinet…-. Mais prenons exemple d’une société qui met en ligne un site sur « Le cinéma français », que je ne vous citerai pas et qui ne trouve rien de mieux que de piquer des infos à droite à gauche, dans le style comment créer un site sans se fatiguer. Des infos, par exemple, de mes amis Yvan Foucart, pour son « dictionnaire des disparus du cinéma français » et des photos inédites de Philippe Schroeder, participant activement au site d’André Siscot « Les gens du cinéma » – voir les explications dans sa rubrique « News » -, se retrouvent sans vergogne intégralement reprises par quelques fumistes, qui citent juste « Ces textes sont issus de la collection des fiches de « Les gens du cinéma », sans même un triste lien ! Une pratique déloyale, indigne et désobligeante pour le travail d’autrui, alors que le propriétaire du site trouvé dans le « Whois », base des noms de domaine de l’AFNIC, est une société qui a son petit chiffre d’affaires assez croquignolet. Un site entièrement constitué « d’emprunts divers », rentabilisation optimale des touches « Control » + « C » et « Control » + « V ». Les bénévoles et autres passionnés ont donc du souci à se faire, les vautours sont là !
Trois dictionnaires du cinéma : (texte déjà paru le 25 mars 2005, dans la précédente version de ce blog)
– Dictionnaire international des acteurs du cinéma de Christian Dureau (Editions La Mascare France, 2004) »seul dictionnaire du cinéma entièrement consacré aux acteurs et actrices du monde entier », …ou plutôt auto-proclamé comme tel par Christian Dureau. Certes il y a des corrections depuis la précédente édition qui fourmillait d’erreurs, avec une préférence pour « La semaine savate » au lieu de « La semaine sainte » (Wojtek Pszoniak) erreur corrigée depuis, suite à un mail à la maison d’édition. Mais cette édition est tout aussi décevante, en premier lieu le pillage sans vergogne des fiches de « Monsieur Cinéma » (James Whitmore, Robert Loggia, Jacques Marin, Olivier Hussenot, etc… » ) ou de la rubrique de « Ciné-Revue » : « Les immortels du Cinéma » (Bella Darvi, Michel Etcheverry, Jean Rougerie, etc…) bien sûr sans les citer, procédé particulièrement odieux, mais avec des circonstances largement atténuantes pour « Ciné Revue », pour les deux derniers noms Daniel de Belie ayant recopié littéralement les articles de « La lettre des comédiens », revue de Jean-Jacques Jouve, hélas disparue depuis. La boucle est bouclée, ironie du sort que de voler un voleur. Second lieu la notion « filmographie complète » et « principaux films » disparaissent au profit d’une « filmographie » belle manière de palier aux manques pour lecteurs hâtifs. Les filmos sont visiblement l’oeuvre d’un fumiste. Prenons un seul exemple la filmo de François Berléand on retrouve inévitablement les films de son presque homonyme François Berland – de « La galette des rois » à « Je préfère qu’on reste amis », des films jamais tournés par Berléand – « Je t’aime je t’adore », « Arsène Lupin » -, et un film cité deux fois – « Je suis votre homme » – etc… Mais le pire est encore à venir André Siscot et Yvan Foucart (deux modèles de rigueur, tordant le cou à des erreurs récurrentes , comme l’exemple de Laurent Terzieff auquel on attribuait souvent le véritable nom de Ludmilla Tcherina, par la faute d’un recopieur maladroit, erreur à la vie dure et enfin rectifiée ) ont communiqué leurs recherches d’états civils (un travail colossal) bénévolement au désinvolte sieur Dureau, qui en a pris certaines en considération et d’autres pas (Bourvil, par exemple) jetant ainsi un discrédit sur les travaux d’André Siscot, en laissant des erreurs perdurer, ce qui montre bien le côté dilettante du personnage.
– Le dictionnaire des acteurs par Jean Tulard
Jean Tulard, … de l’institut
« Les Charlots sont à l’original ce qu’un joueur de tennis non classé de Romorantin est à Connors ou Mac Enroe » Tel est le style du sieur Tulard (… de l’Institut) dans son « dictionnaire du cinéma – les acteurs », . Premier temps (1984-1996) : Un style à l’emporte-pièce, une misogynie certaine (« boudins » ou autres « Teutonnes », sur de nombreuses fiches), des omissions à la pelle (qui n’a pas annoté les premières versions sur les marges?), de vagues filmos bien qu’annoncées complètes, erreurs sur les prénoms (Maurice! Dalio), confusions entre les personnes (Jill Clayburgh avec Jill Ireland, résultat Jill Clayburgh joua l’agonie de Jill Ireland dans un téléfilm, en plus il donne des idées aux producteurs !), Hélène Surgère se retrouve avec des films de Marthe Villalonga ! (« Inspecteur La Bavure »/ »Nous irons tous au paradis »/ »Trois hommes et un couffin ») les deux fiches se faisant suite dans un numéro de feu « La Revue du cinéma ».
Pour les seconds rôles aucun ajout sur les titres recopiés dans l’excellent « Dictionnaire du cinéma et de la télévision » de Maurice Bessy et Jean-Louis Chardans (dernière édition en 1966), exemple pour Robert Dalban aucun film après 1963 (même pas les célèbres « Tontons flingueurs », toujours absent de la version 2004 !) sous le fallacieux prétexte « que la plupart des films deviennent de plus en plus médiocres »! Et le Tulard (…de l’Institut !) faisait le beau chez Pivot, comme la référence des dictionnaires. Bref Bérézina, nougat et chocolat comme chantait Sophie Marceau, certains cinéphiles nommait ce dictionnaire le « Nulard », son dictionnaire des réalisateurs étant cependant plus honorable. Second temps l’arrivée d’un certain Gregory Alexandre (1999-20??), Malgré la persistance de l’ancienne formule, (« Le vicomte règle ses comptes » réalisé par Godard ! pour la filmo de Jean Yanne), l’apport de Gregory Alexandre rédacteur sur « Ciné-Live » est considérable (500 000 signes au bas mot pour l’édition 2001). La part belle est laissée aux seconds couteaux. Cinéphile passionné, je retrouve aussi son nom dans la liste de fin d’année des « fourmis » complétant le site IMDB (ouf , je ne suis pas le seul grand malade !) Grégory Alexandre nous offrant enfin un ouvrage plus digne. Il méritait des encouragements. Hélas, la septième version 2004, semble sonner le glas de sa collaboration avec Jean Tulard (…de l’Institut). Toujours pas de relecture en aval (pour les anciennes fiches, « Eugènie Grandet » réalisé par Balzac ! (filmo d’Alida Valli), « White Fang (Croc Blanc) » deviennent « White » réalisé par Fang ! (John Carradine), et des vagues mises à jour ici ou là, et pas systématiquement. Il y a peu de compléments, telle une fiche sur François Chaumette, ignorant superbement les années 60 à 90. Bref, une réédition « light », Jean Tulard (…de l’Institut) semblant avoir repris les rennes seul, hélas… Si vous avez la version 2001 de ce dictionnaire évitez de vous faire avoir, en achetant la réédition 2004.
– Que certains livres trouvent un éditeur laisse perplexe tel « Le dictionnaire des grands acteurs de séries télévisées » de Jacques Foucart, qui se contente pour le plus gros de recopier les apparitions TV du site IMDB (c’est flagrant pour les Français). Certes l’effort était louable mais ce listing est paresseux, il n’y a pas de photos, malgré la présence de seconds couteaux, aucun texte, aucun effort, aucun réalisateur. L’originalité du site d’IMDB est que de nombreuses précisions proviennent directement des internautes. Pour prendre l’exemple de ma pomme, il m’arrive de rentrer de nombreuses TV (séries et téléfilms français notamment), venant d’anciens Téléramas, « Ciné Revue » ou de génériques TV (« Antoine Rives », « Le tribunal de l’impossible », « Les cinq dernières minutes »…), histoire de sauvegarder une mémoire collective. Ces infos sont alors disponibles pour tous, tant mieux si un petit malin réussit à publier ces informations. Mais le comique de l’histoire est que l’auteur de ce livre se targue avoir passé… 10 000 heures à rechercher ses informations !. 10 000 heures à recopier IMDB, à ce compte l’achat d’une imprimante s’impose…
Incroyable: Tu donnes on ne prend pas. Mais d’un autre côté, on te vole
Mon Cher Christian,
Malgré le travail que me harsèle, mais je n’en m’en soucie pas, je prends quand même le peine de répondre à ton Coin des Dictionnaires du 22 janvier.
Je ne peux qu’approuver ton texte concernant le
trop désinvolte Christian Dureau et un site pilleur. Paradoxe étonnant, j’ai donné personnellement toutes les infos possibles au rédacteur Dureau sans qu’il en tienne compte.
Et d’un autre côté, un site sans scrupule vole toutes les informations précises d’état civil que nous avons mises sur le site ainsi que tous les textes biographiques des collaborateurs du site (toi y-compris). Inadmissible et inexplicable. Pour l’un c’est se moquer éperdûment de ses lecteurs et pour l’autre c’est profiter du travail conséquent des autres.
Quand à Jean Tulard, professeur à la Sorbonne et que je connais également, n’en parlons pas trop. Seul le fric compte pour lui (mais sans doute aussi pour Dureau) et en plus, c’est un goujat et un mufle. Peut-être est-il un historien mais en tous cas nul en cinéma….
Mais, ils ne pas les seuls! Les erreurs flagrantes du Boussinot, du Larousse ou de Raymond Chirat, par exemples, sont époustouflantes.
C’est étourdissant, mais finalement, moi qui ai un nom peu connu… qui va me croire par rapport aux grands.
On pensera: C’est qui ce con! Et pourtant…
Amitiés,
André
Incroyable: Tu donnes on ne prend pas. Mais d’un autre côté, on te vole
Mon Cher Christian,
Malgré le travail que me harsèle, mais je n’en m’en soucie pas, je prends quand même le peine de répondre à ton Coin des Dictionnaires du 22 janvier.
Je ne peux qu’approuver ton texte concernant le
trop désinvolte Christian Dureau et un site pilleur. Paradoxe étonnant, j’ai donné personnellement toutes les infos possibles au rédacteur Dureau sans qu’il en tienne compte.
Et d’un autre côté, un site sans scrupule vole toutes les informations précises d’état civil que nous avons mises sur le site ainsi que tous les textes biographiques des collaborateurs du site (toi y-compris). Inadmissible et inexplicable. Pour l’un c’est se moquer éperdûment de ses lecteurs et pour l’autre c’est profiter du travail conséquent des autres.
Quand à Jean Tulard, professeur à la Sorbonne et que je connais également, n’en parlons pas trop. Seul le fric compte pour lui (mais sans doute aussi pour Dureau) et en plus, c’est un goujat et un mufle. Peut-être est-il un historien mais en tous cas nul en cinéma….
Mais, ils ne pas les seuls! Les erreurs flagrantes du Boussinot, du Larousse ou de Raymond Chirat, par exemples, sont époustouflantes.
C’est étourdissant, mais finalement, moi qui ai un nom peu connu… qui va me croire par rapport aux grands.
On pensera: C’est qui ce con! Et pourtant…
Amitiés,
André
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Mon Cher Christian,
Malgré le travail que me harsèle, mais je n’en m’en soucie pas, je prends quand même le peine de répondre à ton Coin des Dictionnaires du 22 janvier.
Je ne peux qu’approuver ton texte concernant le
trop désinvolte Christian Dureau et un site pilleur. Paradoxe étonnant, j’ai donné personnellement toutes les infos possibles au rédacteur Dureau sans qu’il en tienne compte.
Et d’un autre côté, un site sans scrupule vole toutes les informations précises d’état civil que nous avons mises sur le site ainsi que tous les textes biographiques des collaborateurs du site (toi y-compris). Inadmissible et inexplicable. Pour l’un c’est se moquer éperdûment de ses lecteurs et pour l’autre c’est profiter du travail conséquent des autres.
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Mais, ils ne pas les seuls! Les erreurs flagrantes du Boussinot, du Larousse ou de Raymond Chirat, par exemples, sont époustouflantes.
C’est étourdissant, mais finalement, moi qui ai un nom peu connu… qui va me croire par rapport aux grands.
On pensera: C’est qui ce con! Et pourtant…
Amitiés,
André
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Malgré le travail que me harsèle, mais je n’en m’en soucie pas, je prends quand même le peine de répondre à ton Coin des Dictionnaires du 22 janvier.
Je ne peux qu’approuver ton texte concernant le
trop désinvolte Christian Dureau et un site pilleur. Paradoxe étonnant, j’ai donné personnellement toutes les infos possibles au rédacteur Dureau sans qu’il en tienne compte.
Et d’un autre côté, un site sans scrupule vole toutes les informations précises d’état civil que nous avons mises sur le site ainsi que tous les textes biographiques des collaborateurs du site (toi y-compris). Inadmissible et inexplicable. Pour l’un c’est se moquer éperdûment de ses lecteurs et pour l’autre c’est profiter du travail conséquent des autres.
Quand à Jean Tulard, professeur à la Sorbonne et que je connais également, n’en parlons pas trop. Seul le fric compte pour lui (mais sans doute aussi pour Dureau) et en plus, c’est un goujat et un mufle. Peut-être est-il un historien mais en tous cas nul en cinéma….
Mais, ils ne pas les seuls! Les erreurs flagrantes du Boussinot, du Larousse ou de Raymond Chirat, par exemples, sont époustouflantes.
C’est étourdissant, mais finalement, moi qui ai un nom peu connu… qui va me croire par rapport aux grands.
On pensera: C’est qui ce con! Et pourtant…
Amitiés,
André
Incroyable: Tu donnes on ne prend pas. Mais d’un autre côté, on te vole
Mon Cher Christian,
Malgré le travail que me harsèle, mais je n’en m’en soucie pas, je prends quand même le peine de répondre à ton Coin des Dictionnaires du 22 janvier.
Je ne peux qu’approuver ton texte concernant le
trop désinvolte Christian Dureau et un site pilleur. Paradoxe étonnant, j’ai donné personnellement toutes les infos possibles au rédacteur Dureau sans qu’il en tienne compte.
Et d’un autre côté, un site sans scrupule vole toutes les informations précises d’état civil que nous avons mises sur le site ainsi que tous les textes biographiques des collaborateurs du site (toi y-compris). Inadmissible et inexplicable. Pour l’un c’est se moquer éperdûment de ses lecteurs et pour l’autre c’est profiter du travail conséquent des autres.
Quand à Jean Tulard, professeur à la Sorbonne et que je connais également, n’en parlons pas trop. Seul le fric compte pour lui (mais sans doute aussi pour Dureau) et en plus, c’est un goujat et un mufle. Peut-être est-il un historien mais en tous cas nul en cinéma….
Mais, ils ne pas les seuls! Les erreurs flagrantes du Boussinot, du Larousse ou de Raymond Chirat, par exemples, sont époustouflantes.
C’est étourdissant, mais finalement, moi qui ai un nom peu connu… qui va me croire par rapport aux grands.
On pensera: C’est qui ce con! Et pourtant…
Amitiés,
André
Merci, André, il est bon de remettre les fausses valeurs et les pilleurs de toutes sortes à leurs places. Mais le cinéphile reconnaissant connaît ton apport et celui d’Yvan Foucart, heureusement. Petit rappel pour les règles sur le web :
« Le droit d’auteur correspond à l’ensemble des prérogatives dont dispose une personne sur les œuvres de l’esprit qu’elle a créées. Il est partagé entre le droit patrimonial et le droit moral. Les droits patrimoniaux se prescrivent 70 ans après le décès de l’auteur, en revanche le droit moral est imprescriptible.
Sur Internet comme ailleurs, ces principes trouvent à s’appliquer sans difficulté : par exemple la numérisation d’une œuvre s’analysera comme une reproduction au sens de l’article L122-3 du Code de la propriété intellectuelle. Elle est donc normalement soumise à autorisation préalable de l’auteur, sans quoi il y aura contrefaçon sachant que la contrefaçon est un délit civil qui se répare par l’octroi de dommages intérêts, mais c’est également une infraction pénale (article L335-2 du CPI) qui peut entraîner jusqu’à deux ans de prison et un million de francs d’amende.
Le droit moral s’applique également sur Internet. Ainsi un auteur ou ses héritiers (le droit moral étant imprescriptible, il est transmis aux héritiers à cause de mort) pourrait agir contre une personne ayant dénaturé l’œuvre. »
Merci, André, il est bon de remettre les fausses valeurs et les pilleurs de toutes sortes à leurs places. Mais le cinéphile reconnaissant connaît ton apport et celui d’Yvan Foucart, heureusement. Petit rappel pour les règles sur le web :
« Le droit d’auteur correspond à l’ensemble des prérogatives dont dispose une personne sur les œuvres de l’esprit qu’elle a créées. Il est partagé entre le droit patrimonial et le droit moral. Les droits patrimoniaux se prescrivent 70 ans après le décès de l’auteur, en revanche le droit moral est imprescriptible.
Sur Internet comme ailleurs, ces principes trouvent à s’appliquer sans difficulté : par exemple la numérisation d’une œuvre s’analysera comme une reproduction au sens de l’article L122-3 du Code de la propriété intellectuelle. Elle est donc normalement soumise à autorisation préalable de l’auteur, sans quoi il y aura contrefaçon sachant que la contrefaçon est un délit civil qui se répare par l’octroi de dommages intérêts, mais c’est également une infraction pénale (article L335-2 du CPI) qui peut entraîner jusqu’à deux ans de prison et un million de francs d’amende.
Le droit moral s’applique également sur Internet. Ainsi un auteur ou ses héritiers (le droit moral étant imprescriptible, il est transmis aux héritiers à cause de mort) pourrait agir contre une personne ayant dénaturé l’œuvre. »
Merci, André, il est bon de remettre les fausses valeurs et les pilleurs de toutes sortes à leurs places. Mais le cinéphile reconnaissant connaît ton apport et celui d’Yvan Foucart, heureusement. Petit rappel pour les règles sur le web :
« Le droit d’auteur correspond à l’ensemble des prérogatives dont dispose une personne sur les œuvres de l’esprit qu’elle a créées. Il est partagé entre le droit patrimonial et le droit moral. Les droits patrimoniaux se prescrivent 70 ans après le décès de l’auteur, en revanche le droit moral est imprescriptible.
Sur Internet comme ailleurs, ces principes trouvent à s’appliquer sans difficulté : par exemple la numérisation d’une œuvre s’analysera comme une reproduction au sens de l’article L122-3 du Code de la propriété intellectuelle. Elle est donc normalement soumise à autorisation préalable de l’auteur, sans quoi il y aura contrefaçon sachant que la contrefaçon est un délit civil qui se répare par l’octroi de dommages intérêts, mais c’est également une infraction pénale (article L335-2 du CPI) qui peut entraîner jusqu’à deux ans de prison et un million de francs d’amende.
Le droit moral s’applique également sur Internet. Ainsi un auteur ou ses héritiers (le droit moral étant imprescriptible, il est transmis aux héritiers à cause de mort) pourrait agir contre une personne ayant dénaturé l’œuvre. »
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« Le droit d’auteur correspond à l’ensemble des prérogatives dont dispose une personne sur les œuvres de l’esprit qu’elle a créées. Il est partagé entre le droit patrimonial et le droit moral. Les droits patrimoniaux se prescrivent 70 ans après le décès de l’auteur, en revanche le droit moral est imprescriptible.
Sur Internet comme ailleurs, ces principes trouvent à s’appliquer sans difficulté : par exemple la numérisation d’une œuvre s’analysera comme une reproduction au sens de l’article L122-3 du Code de la propriété intellectuelle. Elle est donc normalement soumise à autorisation préalable de l’auteur, sans quoi il y aura contrefaçon sachant que la contrefaçon est un délit civil qui se répare par l’octroi de dommages intérêts, mais c’est également une infraction pénale (article L335-2 du CPI) qui peut entraîner jusqu’à deux ans de prison et un million de francs d’amende.
Le droit moral s’applique également sur Internet. Ainsi un auteur ou ses héritiers (le droit moral étant imprescriptible, il est transmis aux héritiers à cause de mort) pourrait agir contre une personne ayant dénaturé l’œuvre. »
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« Le droit d’auteur correspond à l’ensemble des prérogatives dont dispose une personne sur les œuvres de l’esprit qu’elle a créées. Il est partagé entre le droit patrimonial et le droit moral. Les droits patrimoniaux se prescrivent 70 ans après le décès de l’auteur, en revanche le droit moral est imprescriptible.
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Le droit moral s’applique également sur Internet. Ainsi un auteur ou ses héritiers (le droit moral étant imprescriptible, il est transmis aux héritiers à cause de mort) pourrait agir contre une personne ayant dénaturé l’œuvre. »