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Fragments d’un dictionnaire amoureux : Philippe Castelli

20 avril 2006 16 Commentaires Ecrit par Coinducinephage

Philippe Castelli dans « Chut ! »

Annonce de la mort de Philippe Castelli, sa grande silhouette dégingandée, sa prononciation hésitante, l’incursion d’un corps comique lent, faisant souvent une pose dans un film au rythme trépidant, a fait de lui le second rôle idéal des comédies françaises, voire franchouillardes. Il avait pourtant débuté avec Claude Chabrol. On retient évidemment ses contributions radios et télévisées dans « Les grosses têtes » présentées par Philippe Bouvard, éternel souffre-douleur de l’ »odieux » Olivier de Kersauzon. Le cinéma l’utilisait souvent sur ce mode, tel l’inspecteur en retard, qui subit une engueulade d’anthologie de la part de Louis de Funès, dans « Fantômas se déchaîne » (1965). Mais le décalage était toujours au rendez-vous, il fallait l’entendre chanter au générique de « Ça va pas être triste » (Pierre Sisser, 1982), « Merde, merde, merde, y a que des emmerdes…, brouilles, brouilles, y a que des embrouilles ». Il avait souvent poussé la chansonnette, l’excellent Philippe Meyer le rappelait parfois en diffusant ses débuts au petit conservatoire de Mireille, sur France Inter et à la télévision dans « Le petit conservatoire de la chanson » des années 60 à 70. Il participe à 4 reprises, au bestiaire Mocky. Il fallait le voir en maître fromager vantant les différents goûts de fromages, avec beaucoup de condescendance face à l’improbable tandem Heinz Ruhmann – Fernandel ignares des subtilités gastronomiques (« La bourse et la vie », 1965). Il jouait dans « Chut ! » (1971) le double rôle d’un ministre, complotant et donnant rendez-vous à Michael Lonsdale, dans une gare, tout en se faisant passer pour un aveugle, avec des lunettes noires dont un des carreaux est cassé, et de son sosie un quidam mi-guindé, mi auvergnat. L’heure étant grave dans le film, suite à une escroquerie à l’épargne, il donne des ordres à son subordonné, en complotant tout en chantant et en jouant de l’accordéon ! C’est  un grand moment loufoque, nous faisant regretter une meilleure utilisation de sa folie à l’écran. On le retrouve essentiellement des années 60 à 80, dans de multiples emplois, décalé en garde en noir du Cardinal dans « Les quatre Charlots mousquetaire », et souvent en maîtres d’hôtel ou majordomes, dont le sérieux – ou l’ennui – est parfois malmené. Citons son rôle de concierge de l’hôtel Danieli, victime des guignolades belmondiennes dans « Le guignolo » (Lautner, 1978), ce dernier rentrant dans l’hôtel… en bateau. Il a été d’ailleurs l’un des acteurs fétiches de Georges Lautner, il fut le portier turc dans « Les barbouzes », le quidam trouillard, n’étant pas d’une grande aide à Mireille Darc dans un parking, dans « Les seins de glace » (1974), le buraliste ronchon dans « Mort d’un pourri » (1977).. On le retrouve stoïque face à Belmondo toujours dans « Flic ou voyou » (1978). Il est un examinateur au permis de conduire, ignorant qu’il couvre, malgré lui, sa fuite. Il le recale d’ailleurs, les cascades n’étant pas très réglementaires… De silhouettes à de simples apparitions, il savait souvent tirer son épingle du jeu. Ce type de comédiens nous manque beaucoup de nos jours.

Filmographie : établie avec Armel de Lorme : 1959  Les bonnes femmes (Claude Chabrol) – 1960  Les Godelureaux (Claude Chabrol) – 1961  À fleur de peau (Claude Bernard-Aubert) – Le caporal épinglé (Jean Renoir) –  Cartouche (Philippe de Broca) – 1962  Les bricoleurs (Jean Girault) – Landru (Claude Chabrol) – 1963  Carambolages (Marcel Bluwal) – La porteuse de pain (Maurice Cloche) – Les tontons flingueurs (Georges Lautner) – Une ravissante idiote (Édouard Molinaro) – Des pissenlits par la racine (Georges Lautner) – Les durs à cuire ou comment supprimer son prochain sans perdre l’appétit (Jack Pinoteau) – 1964  Aimez-vous les femmes (Jean Léon) – Une souris chez les hommes / Un drôle de caïd (Jacques Poitrenaud) – La grande frousse ou la cité de l’indicible peur (Jean-Pierre Mocky) – Fantômas (André Hunebelle) – Les barbouzes (Georges Lautner) – Patate (Robert Thomas) – Un monsieur de compagnie (Philippe de Broca) – Yoyo (Pierre Étaix) – 1965  Les bons vivants / Un grand seigneur [épisode « Les bons vivants »] (Georges Lautner) – Les enquiquineurs (Roland Quignon) – Quand passent les faisans (Édouard Molinaro) – Fantômas se déchaîne (André Hunebelle) – Galia (Georges Lautner) – La communale (Jean L’Hôte) – Pas de caviar pour tante Olga (Jean Becker) – Monnaie de singe (Yves Robert) – Ne nous fâchons pas (Georges Lautner) – Tant qu’on a la santé (Pierre Étaix) – La sentinelle endormie (Jean Dréville) – La bourse et la vie (Jean-Pierre Mocky) – 1966  The night of the generals (La nuit des généraux) (Anatole Litvak) – 1968  La grande lessive ! (Jean-Pierre Mocky) – 1969  La promesse de l’aube / Promise at dawn (Jules Dassin) – Borsalino (Jacques Deray) – 1970  Laisse aller… c’est une valse (Georges Lautner) – Doucement les basses (Jacques Deray) – 1971  Le drapeau noir flotte sur la marmite (Michel Audiard) – Le viager (Pierre Tchernia) – Chut ! / Pavane pour un crétin défunt (Jean-Pierre Mocky) – 1972  Quelques messieurs trop tranquilles (Georges Lautner) – Les volets clos (Jean-Claude Brialy) – La guerre des espions (Henri Boyer & Jean-Louis Van Belle) – 1973  Quatre Charlots mousquetaires (André Hunebelle) – Un amour de pluie (Jean-Claude Brialy) – 1974  Le bordel, 1ère époque (1900) (Jose Benazeraf) – Deux grandes filles dans un pyjama (Jean Girault) – Sexuellement vôtre (Max Pécas) – Les bidasses s’en vont-en guerre (Claude Zidi) – Borsalino and Co (Jacques Deray) – Les seins de glace (Georges Lautner) – Ce cher Victor (Robin Davis) -Soldat Duroc, ça va être te fête (Michel Gérard) – 1975  Black out (Philippe Mordacq, inédit) – C’est dur pour tout le monde (Christian Gion) – Bons baisers de Hong-Kong (Yvan Chiffre) – Couche-moi dans le sable et fais jaillir ton pétrole (Norbert Terry) – 1976  L’intrus (Patrick Schulmann, CM) – 1977  Dialogue sous la lampe (Christian Riberzani, CM) – Mort d’un pourri (Georges Lautner) – On peut le dire sans se fâcher / La belle emmerdeuse (Roger Coggio) – 1978  One, two, two : 122 rue de Provence (Christian Gion) – Ils sont fous sorciers (Georges Lautner) – Brigade mondaine (Jacques Scandelari) – Judith Therpauve (Patrice Chéreau) – Le cavaleur (Philippe de Broca) – Le temps des vacances (Claude Vital) – Flic ou voyou (Georges Lautner) – 1979  Brigade des mœurs : La secte de Marrakech (Eddy Matalon) – Le guignolo (Georges Lautner) – Les aventures de Guidon Fûté (Jean-Marie Durand) – 1980  Une merveilleuse journée (Claude Vital) – Est-ce bien raisonnable ? (Georges Lautner) – Signé Furax (Marc Simenon) – 1981  Le jour se lève et les conneries commencent (Claude Mulot) – Prends ta rolls et va pointer (Richard Balducci) – Pour la peau d’un flic (Alain Delon) – Le secret des Sélénites (Jean Image, animation, voix) – 1982  On s’en fout… nous on s’aime (Michel Gérard) – Plus beau que moi tu m’aimes (Philippe Clair) – Rebelote (Jacques Richard) – Le battant (Alain Delon) – Ca va pas être triste (Pierre Sisser) – 1983  Retenez-moi… où je fais un malheur (Michel Gérard) – Aldo et Junior (Patrick Schulmann) – 1984  Par où t’es rentré… on t’as pas vu sortir (Philippe Clair) – Ave Maria (Jacques Richard) – Liberté, égalité, choucroute (Jean Yanne) – 1985  Banana’s boulevard (Richard Balucci) – 1988  À deux minutes près (Éric Le Hung).  Nota : Il n’apparaît pas dans  « À nous quatre, Cardinal ! » (André Hunebelle, 1973), bien que crédité au générique, et il n’apparaît pas dans la version VHS du « Temps des vacances » (1978).

 Photo source : GAF

Télévision: (notamment) : 1961  En votre âme et conscience : L’affaire Courtois (Jean-Pierre Marchand) – 1962  Le peintre exigeant (Jean Vernier) – 1964  Le théâtre de la jeunesse : La soeur de Gribouille (Yves-André Hubert) – La mégère apprivoisée (Pierre Badel) – Thierry la fronde : la chanson d’Isabelle (Robert Guez) – 1965  Les facéties du sapeur Camenber (Pierre Boursaus, série TV) – 1966  Vive la vie (Joseph Drimal, série TV) – L’écharpe (Abder Isker) – Comment ne pas épouser un milliardaire (Lazare Iglésis, série TV) – Sacrés fantômes (Stellio Lorenzi) – 1967  L’amateur / S.O.S. Fernand (Jean-Piere Decourt) – Max le débonnaire : Un bon petit Jules (Gilles Grangier) – 1968  Les dossiers de l’agence O : Le vieillard au porte-mine (Jean Salvy) – 1970  Tête d’horloge (Jean-Paul Sassy) – Les caprices de Marianne (Georges Vitaly) – Le fauteuil hanté (Pierre Bureau) – Rendez-vous à Badenberg (Jean-Michel Meurice, série TV) – La fille qui disait non (Yannick Andréi) – 1971  Quentin Durward (Gilles Grangier, série TV) –  Madame êtes-vous libre ? (Jean-Paul Le Chanois) – Bon an mal an ou chérie je me sens vieillir (Rémy Grumbach) – Les nouvelles aventures de Vidocq : Les banquiers du crime (Marcel Bluwal) – Au théâtre ce soir : Cherchez le corps M. Blake (Pierre Sabbagh) – La belle aventure (Jean Vernier) – 1972  La demoiselle d’Avignon (Michel Wyn, série TV) – Avec le coeur (Rémy Grumbach) – La bonne nouvelle (Guy Lessertisseur) – Kitsch-Kitsch (Janine Guyon) – Le voleur de riens (Janine Guyon) – 1973  Le bleu d’outre-tombe (Edouard Logereau) – Au théâtre ce soir : Le million (Georges Folgoas) – Poker d’as (Hubert Cornfield) – Poker d’as (Hubert Cornfield, série TV) – Gil Blas de Santillane (Hubert Cornfield) – Un curé de choc : Pension pour dames seules (Philippe Arnal) – 1974  Monsieur Badin (Jean Bertho) – Le droit aux étrennes (Jean Bertho) – Le commissaire est bon enfant (Jean Bertho) – Les balances (Jean Bertho) – 1975  La pluie sur la dune (Serge Piollet) – 1977  Emmenez-moi au Ritz (Pierre Grimblat) – 1980  Les incorrigibles (Abder Isker) – 1981  Au théâtre ce soir : Alain, sa mère et sa maîtresse (Pierre Sabbagh) – Anthelme Collet ou le brigand gentilhomme (Jean-Paul Carrère) – 1982  Les scénaristes ou les aventures extraordinaires de Robert Michon (Nino Monti) – Les enquêtes du commissaire Maigret : Maigret et l’homme tout seul (Jean-Paul Sasst) – 1986  Grand hôtel (Jean Kerchbron) – 1992  Aldo tous risques : Mascarade (Claude Vital) – C’est quoi ce petit boulot (Michel Berny & Gian Luigi Polidoro) – Tout ou presque (Claude Vital) – Prêcheur en eau trouble (Georges Lautner) – 1996  Jamais deux sans toi : Le gendre idéal.

Mise à jour du 16/09/2011

Mort également du cinéaste ivoirien Henri Duparc, lire à son sujet l’article de Afrik.com.

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16 Commentaires

  1. Jeannot Jeannot
    8 mars 2007    

    Un homme bien

    Bouvard doit bien regretter ses paroles et méchancetés a son sujet… D’ailleurs il ne s’attaque qu’aux faibles ce petit homme ! Un minuscure lache, quoi !Je suis certain que lui on ne le regrettera pas ! Qua vive toujours Mr Castelli dans notre coeur .

    Reply
  2. Jeannot Jeannot
    8 mars 2007    

    Un homme bien

    Bouvard doit bien regretter ses paroles et méchancetés a son sujet… D’ailleurs il ne s’attaque qu’aux faibles ce petit homme ! Un minuscure lache, quoi !Je suis certain que lui on ne le regrettera pas ! Qua vive toujours Mr Castelli dans notre coeur .

    Reply
  3. Jeannot Jeannot
    8 mars 2007    

    Un homme bien

    Bouvard doit bien regretter ses paroles et méchancetés a son sujet… D’ailleurs il ne s’attaque qu’aux faibles ce petit homme ! Un minuscure lache, quoi !Je suis certain que lui on ne le regrettera pas ! Qua vive toujours Mr Castelli dans notre coeur .

    Reply
  4. Jeannot Jeannot
    8 mars 2007    

    Un homme bien

    Bouvard doit bien regretter ses paroles et méchancetés a son sujet… D’ailleurs il ne s’attaque qu’aux faibles ce petit homme ! Un minuscure lache, quoi !Je suis certain que lui on ne le regrettera pas ! Qua vive toujours Mr Castelli dans notre coeur .

    Reply
  5. Jeannot Jeannot
    8 mars 2007    

    Un homme bien

    Bouvard doit bien regretter ses paroles et méchancetés a son sujet… D’ailleurs il ne s’attaque qu’aux faibles ce petit homme ! Un minuscure lache, quoi !Je suis certain que lui on ne le regrettera pas ! Qua vive toujours Mr Castelli dans notre coeur .

    Reply
  6. Patrick-Jack Patrick-Jack
    8 mars 2007    

    T’inquiète, Philippe

    Comment peut-on écrire de telles sotises ? Philippe Bouvard adorait Philippe Castelli sans doute plus que beaucoup d’autres qui ont défilé dans ses émissions. La « méchanceté » n’est qu’un jeu, vous ne comprenez rien, et ce n’est pas rendre hommage à Philippe Castelli que d’attaquer l’un de ses amis.
    Ils m’ont beaucoup fait rire tous les deux, et feront école longtemps chacun dans son style.

    Reply
  7. Patrick-Jack Patrick-Jack
    8 mars 2007    

    T’inquiète, Philippe

    Comment peut-on écrire de telles sotises ? Philippe Bouvard adorait Philippe Castelli sans doute plus que beaucoup d’autres qui ont défilé dans ses émissions. La « méchanceté » n’est qu’un jeu, vous ne comprenez rien, et ce n’est pas rendre hommage à Philippe Castelli que d’attaquer l’un de ses amis.
    Ils m’ont beaucoup fait rire tous les deux, et feront école longtemps chacun dans son style.

    Reply
  8. Patrick-Jack Patrick-Jack
    8 mars 2007    

    T’inquiète, Philippe

    Comment peut-on écrire de telles sotises ? Philippe Bouvard adorait Philippe Castelli sans doute plus que beaucoup d’autres qui ont défilé dans ses émissions. La « méchanceté » n’est qu’un jeu, vous ne comprenez rien, et ce n’est pas rendre hommage à Philippe Castelli que d’attaquer l’un de ses amis.
    Ils m’ont beaucoup fait rire tous les deux, et feront école longtemps chacun dans son style.

    Reply
  9. Patrick-Jack Patrick-Jack
    8 mars 2007    

    T’inquiète, Philippe

    Comment peut-on écrire de telles sotises ? Philippe Bouvard adorait Philippe Castelli sans doute plus que beaucoup d’autres qui ont défilé dans ses émissions. La « méchanceté » n’est qu’un jeu, vous ne comprenez rien, et ce n’est pas rendre hommage à Philippe Castelli que d’attaquer l’un de ses amis.
    Ils m’ont beaucoup fait rire tous les deux, et feront école longtemps chacun dans son style.

    Reply
  10. Patrick-Jack Patrick-Jack
    8 mars 2007    

    T’inquiète, Philippe

    Comment peut-on écrire de telles sotises ? Philippe Bouvard adorait Philippe Castelli sans doute plus que beaucoup d’autres qui ont défilé dans ses émissions. La « méchanceté » n’est qu’un jeu, vous ne comprenez rien, et ce n’est pas rendre hommage à Philippe Castelli que d’attaquer l’un de ses amis.
    Ils m’ont beaucoup fait rire tous les deux, et feront école longtemps chacun dans son style.

    Reply
  11. alain78 alain78
    17 décembre 2007    

    une mauvaise blague

    merci a toi qui a bercé mon enfance radiophonique
    par ta voix trainante et par tes blagues à deux balles qui finalement, nous faisaient bien rire.

    Reply
  12. alain78 alain78
    17 décembre 2007    

    une mauvaise blague

    merci a toi qui a bercé mon enfance radiophonique
    par ta voix trainante et par tes blagues à deux balles qui finalement, nous faisaient bien rire.

    Reply
  13. alain78 alain78
    17 décembre 2007    

    une mauvaise blague

    merci a toi qui a bercé mon enfance radiophonique
    par ta voix trainante et par tes blagues à deux balles qui finalement, nous faisaient bien rire.

    Reply
  14. alain78 alain78
    17 décembre 2007    

    une mauvaise blague

    merci a toi qui a bercé mon enfance radiophonique
    par ta voix trainante et par tes blagues à deux balles qui finalement, nous faisaient bien rire.

    Reply
  15. alain78 alain78
    17 décembre 2007    

    une mauvaise blague

    merci a toi qui a bercé mon enfance radiophonique
    par ta voix trainante et par tes blagues à deux balles qui finalement, nous faisaient bien rire.

    Reply
  16. TONY 72300 TONY 72300
    16 mars 2015    

    MONSIEUR CASTELLI QUEL GRAND TALANT ET SURTOUT DESOLER DE NE PAS VOUS AVOIR DECOUVERT AVANT 8 ANS APRES VOTRE DISPARITION ENCORE DESOLER ET SURTOUT BRAVO POUR TOUS LES BLAGUE QUE JE DECOUVRE.

    Reply

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