« Le silence est d’or » de René Clair, un film produit par la « Continental » ?
J’ai raillé ici-même Jean-Jacques Bernard avec une méchanceté totalement gratuite, mais force est de constater qu’il est assez agaçant à suffoquer en lisant son prompteur à la présentation des films sur CinéCinéma-Classic. Et en ce moment il fait très fort ! Bon il nous fait un cycle aux petits oignons sur le cinéma français sous l’occupation. Sont présentés : « Mollenard » (1937 !) un de mes films préférés de Robert Siodmak, avec le génial Harry Baur, « La main du diable » (1942) dont le tournage est évoqué par Bertrand Tavernier dans « Laissez-passer », « Les mystères de Paris » (1943), filmé par Jacques de Baroncelli, « La malibran » (1943), « Le silence est d’or » (1946 !!), et « La beauté du diable » (1949 !!!). Pas étonnant que l’on ne retrouve pas trois de ces films dans le formidable livre de Jacques Siclier « La France de Pétain et son cinéma », ce dernier devant ignorer comme la plupart d’entre nous que l’occupation nazie… a duré 12 ans ! Cette chaîne ne brille pas par son inventivité pour sa programmation actuellement. De plus pour le cycle Isabelle Huppert, nous avons eu la mauvaise surprise de voir « Violette Nozière » déprogrammé et remplacé par « Alfie », mais il existe chez René Château vidéo. On veut bien imaginer qu’il y ait des problèmes de droits ou de catalogue, mais dans les 220 films analysés par Siclier dans son livre, il semble difficilement imaginable qu’il n’y ait pas eu moyen de trouver d’autres films, que ceux proposés dans ce cycle artificiel. – il y a aussi dans ce cycle un documentaire inédit de Serge Korber, mais je ne l’ai pas encore vu -. Il suffisait aussi de retarder la programmation de « L’honorable Catherine » (1942), diffusé il y a peu. Quand on pense aux films proposés sur le même sujet, il y a environ 7 ans, lors d’une carte blanche accordée à Bertrand Tavernier, sur le même sujet – une présentation est visible en bonus du DVD du film « Laisser-passer » -, on mesure le chemin parcouru à la baisse de cette chaîne. Mais si on pouvait avoir des doutes sur la passion du sieur Bernard style service minimum, là on n’a désormais aucun. Bon à partir de là tout est possible… un cycle du cinéma du front populaire avec « A bout de souffle » et « Les 400 coups », un cycle biographies filmées avec « La soupe aux choux » sur l’extraterrestre de Roswell, « Free cinéma » avec « Quatre mariage et un enterrement », un cycle « téléphone blanc » avec « L’arbre aux sabots »… Il faudrait qu’il soit moins désinvolte le Jean-Jacques, sinon il va se retrouver à monter sur scène dans un spectacle de Dieudonné…
Articles similaires
je m’en foutisme
T’ai-je dit que la même chaîne propose « The Small Back Room » de Powell et Pressburger, dans une version de 20′ plus courtes, on n’y voit même plus la fameuse scène fantasmagorique de la bouteille de whiskey géante…
Ca ne les a pas dérangé non plus de montrer « La Soif Du Mal » de Welles, au format pseudo-scope 16/9.
je m’en foutisme
T’ai-je dit que la même chaîne propose « The Small Back Room » de Powell et Pressburger, dans une version de 20′ plus courtes, on n’y voit même plus la fameuse scène fantasmagorique de la bouteille de whiskey géante…
Ca ne les a pas dérangé non plus de montrer « La Soif Du Mal » de Welles, au format pseudo-scope 16/9.
je m’en foutisme
T’ai-je dit que la même chaîne propose « The Small Back Room » de Powell et Pressburger, dans une version de 20′ plus courtes, on n’y voit même plus la fameuse scène fantasmagorique de la bouteille de whiskey géante…
Ca ne les a pas dérangé non plus de montrer « La Soif Du Mal » de Welles, au format pseudo-scope 16/9.
je m’en foutisme
T’ai-je dit que la même chaîne propose « The Small Back Room » de Powell et Pressburger, dans une version de 20′ plus courtes, on n’y voit même plus la fameuse scène fantasmagorique de la bouteille de whiskey géante…
Ca ne les a pas dérangé non plus de montrer « La Soif Du Mal » de Welles, au format pseudo-scope 16/9.
je m’en foutisme
T’ai-je dit que la même chaîne propose « The Small Back Room » de Powell et Pressburger, dans une version de 20′ plus courtes, on n’y voit même plus la fameuse scène fantasmagorique de la bouteille de whiskey géante…
Ca ne les a pas dérangé non plus de montrer « La Soif Du Mal » de Welles, au format pseudo-scope 16/9.
Peau de chagrin
Merci Gashade, pour tes infos et de ton oeil avisé sur les films. Et des étudiants cinéphiles vont écrire sur des films ainsi expurgés. Cette chaîne c’est vraiment une peau de chagrin, quant on pense à la programmation d’il y a 10 ans. Rendez-nous Jean Ollé-Laprune !
Peau de chagrin
Merci Gashade, pour tes infos et de ton oeil avisé sur les films. Et des étudiants cinéphiles vont écrire sur des films ainsi expurgés. Cette chaîne c’est vraiment une peau de chagrin, quant on pense à la programmation d’il y a 10 ans. Rendez-nous Jean Ollé-Laprune !
Peau de chagrin
Merci Gashade, pour tes infos et de ton oeil avisé sur les films. Et des étudiants cinéphiles vont écrire sur des films ainsi expurgés. Cette chaîne c’est vraiment une peau de chagrin, quant on pense à la programmation d’il y a 10 ans. Rendez-nous Jean Ollé-Laprune !
Peau de chagrin
Merci Gashade, pour tes infos et de ton oeil avisé sur les films. Et des étudiants cinéphiles vont écrire sur des films ainsi expurgés. Cette chaîne c’est vraiment une peau de chagrin, quant on pense à la programmation d’il y a 10 ans. Rendez-nous Jean Ollé-Laprune !
Peau de chagrin
Merci Gashade, pour tes infos et de ton oeil avisé sur les films. Et des étudiants cinéphiles vont écrire sur des films ainsi expurgés. Cette chaîne c’est vraiment une peau de chagrin, quant on pense à la programmation d’il y a 10 ans. Rendez-nous Jean Ollé-Laprune !
Finalement, c’est peut-être mieix de se contenter de TCM pour les vieux films, si on supporte le logo obligatoire, on a des bonnes surprises sur Ciné Polar et pour les nanars on a CinéFX! Revoir une fois de plus le machin de Zombie de Bruno Mattéi, ça rafraîchit!
En ce qui concerne JJ Bernard, je suis plus indulgent, son magazine est bien, il a juste le tort d’être dans une chaîne de je m’en foutistes qui vend du film pour cinéphile comme on vend du film X.
Je ne sais pas qui sont les lumières qui remplissent les grilles de programmes, mais je me souviens encore du cycle Corman avec Le Corbeau d’icelui illustré d’une photo de celui de Clouzeau, ou de Animal!L’Animal… de Greenfield illustré par la tête d’abruti de Bébel dans le film de Zidi. Une honte! Et n’oublions pas dans les films du mois, un chef d’oeuvre surdiffusé à juste raison, intitulé Interruption des Programmes, tiens, il passe demain à 5h40 sur CinéPremier! (http://www.cinecinema.fr/movies/allmovies.html)Ah, les génies…
Finalement, c’est peut-être mieix de se contenter de TCM pour les vieux films, si on supporte le logo obligatoire, on a des bonnes surprises sur Ciné Polar et pour les nanars on a CinéFX! Revoir une fois de plus le machin de Zombie de Bruno Mattéi, ça rafraîchit!
En ce qui concerne JJ Bernard, je suis plus indulgent, son magazine est bien, il a juste le tort d’être dans une chaîne de je m’en foutistes qui vend du film pour cinéphile comme on vend du film X.
Je ne sais pas qui sont les lumières qui remplissent les grilles de programmes, mais je me souviens encore du cycle Corman avec Le Corbeau d’icelui illustré d’une photo de celui de Clouzeau, ou de Animal!L’Animal… de Greenfield illustré par la tête d’abruti de Bébel dans le film de Zidi. Une honte! Et n’oublions pas dans les films du mois, un chef d’oeuvre surdiffusé à juste raison, intitulé Interruption des Programmes, tiens, il passe demain à 5h40 sur CinéPremier! (http://www.cinecinema.fr/movies/allmovies.html)Ah, les génies…
Finalement, c’est peut-être mieix de se contenter de TCM pour les vieux films, si on supporte le logo obligatoire, on a des bonnes surprises sur Ciné Polar et pour les nanars on a CinéFX! Revoir une fois de plus le machin de Zombie de Bruno Mattéi, ça rafraîchit!
En ce qui concerne JJ Bernard, je suis plus indulgent, son magazine est bien, il a juste le tort d’être dans une chaîne de je m’en foutistes qui vend du film pour cinéphile comme on vend du film X.
Je ne sais pas qui sont les lumières qui remplissent les grilles de programmes, mais je me souviens encore du cycle Corman avec Le Corbeau d’icelui illustré d’une photo de celui de Clouzeau, ou de Animal!L’Animal… de Greenfield illustré par la tête d’abruti de Bébel dans le film de Zidi. Une honte! Et n’oublions pas dans les films du mois, un chef d’oeuvre surdiffusé à juste raison, intitulé Interruption des Programmes, tiens, il passe demain à 5h40 sur CinéPremier! (http://www.cinecinema.fr/movies/allmovies.html)Ah, les génies…
Finalement, c’est peut-être mieix de se contenter de TCM pour les vieux films, si on supporte le logo obligatoire, on a des bonnes surprises sur Ciné Polar et pour les nanars on a CinéFX! Revoir une fois de plus le machin de Zombie de Bruno Mattéi, ça rafraîchit!
En ce qui concerne JJ Bernard, je suis plus indulgent, son magazine est bien, il a juste le tort d’être dans une chaîne de je m’en foutistes qui vend du film pour cinéphile comme on vend du film X.
Je ne sais pas qui sont les lumières qui remplissent les grilles de programmes, mais je me souviens encore du cycle Corman avec Le Corbeau d’icelui illustré d’une photo de celui de Clouzeau, ou de Animal!L’Animal… de Greenfield illustré par la tête d’abruti de Bébel dans le film de Zidi. Une honte! Et n’oublions pas dans les films du mois, un chef d’oeuvre surdiffusé à juste raison, intitulé Interruption des Programmes, tiens, il passe demain à 5h40 sur CinéPremier! (http://www.cinecinema.fr/movies/allmovies.html)Ah, les génies…
Finalement, c’est peut-être mieix de se contenter de TCM pour les vieux films, si on supporte le logo obligatoire, on a des bonnes surprises sur Ciné Polar et pour les nanars on a CinéFX! Revoir une fois de plus le machin de Zombie de Bruno Mattéi, ça rafraîchit!
En ce qui concerne JJ Bernard, je suis plus indulgent, son magazine est bien, il a juste le tort d’être dans une chaîne de je m’en foutistes qui vend du film pour cinéphile comme on vend du film X.
Je ne sais pas qui sont les lumières qui remplissent les grilles de programmes, mais je me souviens encore du cycle Corman avec Le Corbeau d’icelui illustré d’une photo de celui de Clouzeau, ou de Animal!L’Animal… de Greenfield illustré par la tête d’abruti de Bébel dans le film de Zidi. Une honte! Et n’oublions pas dans les films du mois, un chef d’oeuvre surdiffusé à juste raison, intitulé Interruption des Programmes, tiens, il passe demain à 5h40 sur CinéPremier! (http://www.cinecinema.fr/movies/allmovies.html)Ah, les génies…
droit de réponse
Attention à la cinéphagie. Comme l’aérophagie elle peut amplir l’estomac de vent, jusqu’à des renvois nauséabonds.
Je m’appelle Jean-Jacques Bernard. Je suis journaliste depuis 34 ans et actuel Président du Syndicat Français de la Critique. Depuis longtemps, je présente des films sur CinéCinéma Classic, je dirige un petit magazine sur la même chaine, intitulé « Boulevard du Classique » et je réalise de nombreux documentaires ou films-entretiens sur des cinéastes.
Je lis dans « Le Coin du Cinéphage » des propos non signés me concernant. Pendant longtemps, j’ai laissé les libres opinions s’exposer à mon sujet. Non que je les traitais par le mépris, mais parce que l’avis d’untel ne fait pas l’avis de tous et parce que je crois qu’une opinion, fut-elle négative, est toujours bonne à considérer pour évoluer soi-même. Mais l’accumulation de locutions péjoratives : « Je m’en foutisme », « peau de chagrin », « révisioniste », me semble excessive, injuste et, pour le moins, destinée à nuire. Certes, l’anonymat permet tous les courages. Mais celui qui me traite de « révisioniste » ferait bien de réviser lui-même le sens de ce mot que je considère, pour ma part, comme une injure grave. La négation de l’Histoire et plus encore sa falsification sont pour le journaliste que je suis des fautes impardonnables. C’est pourquoi, à chacune de mes présentations de films, j’essaie de recouper mes sources ou de les citer nommément. J’essaie de contextualiser les films, sans refaire l’Histoire à ma main. S’il m’arrive d’y glisser une opinion personnelle, c’est rarement sans tenir compte de l’opinion inverse. Le tout dans les deux minutes qui me sont imparties.
Je dois préciser que je ne parle ici qu’en mon nom. Je n’ai pas qualité pour parler au nom du groupe qui m’emploie (Canal Plus)… Par ailleurs, je ne suis responsable en rien de la programmation de la Chaîne CinéCinéma Classic. Laquelle est assurée par des professionnels compétents qui font ce qu’ils peuvent dans un contexte de concurrence toujours accru. (de plus en plus de chaines, même non dévolues au cinéma, diffusent des films anciens… sans compter la rivalité avec à la chaine TCM, du puissant groupe américain Turner diffusé dans plus de 2O pays.
Il se peut que dans le flux de diffusion de nos films des erreurs se glissent. Nos abonnés ont toute possibilité alors de s’exprimer à ce sujet, d’autant que beaucoup sont de ces cinéphiles pointus. Nous apprenons ainsi beaucoup par leurs retours compétents.
Il se peut que nos programmations soient parfois défaillantes ou incomplètes. Nous avons pourtant souçi de présenter les films disponibles en droits et dans la qualité technique la meilleure possible… Nos « intégrales » Pasolini ou Michael Powell ont été saluées par beaucoup comme un effort rare dans le contexte. Une prochaine « intégrale » Cocteau sera de la même eau : destinée à dérouler une oeuvre dans son ensemble pour en saisir au mieux l’évolution.
Notre chaine CinéCinéma Classic a déjà près de 20 ans. Il fut un temps où elle était quasi-seule à montrer des merveilles anciennes… Ce temps peut éveiller des nostalgies. La mienne y compris, d’ailleurs, puisque j’étais là dès son premier jour… Cette chaine a connu des animateurs différents, chacun avec leur personnalité. Les uns et les autres ont toujours travaillé grosso modo sur les même sources n’ayant jamais été témoins personnels de faits cinémathographiques anciens… Tous ont rédigé leurs propres textes de présentation des fims. Tous les ont dits devant une caméra équipée d’un prompteur, parce qu’il n’y pas d’autre façon de rester rigoureux sur chaque mot, chaque citation, chaque date utilisée. Tous ont eu à coeur de donner un éclairage utile au cinéma d’hier pour le rendre partageable au plus grand nombre. Et tous ont eu besoin des remarques pertinentes de nos spectateurs pour améliorer leur geste.
Mais gare aux invectives trop personnelles. Elles dénotent chez qui les emploie une subjectivité atrabilaire d’autant plus suspecte qu’elle reste lâchement anonyme.
Pour autant, que le soldat inconnu de la dénonciation révisionniste se rassure, aucune action ne sera entreprise contre lui. Et il aura toujours raison d’exprimer son ressentiment, s’il sait l’étayer de faits probants.
Amitiés donc, l’ami.
droit de réponse
Attention à la cinéphagie. Comme l’aérophagie elle peut amplir l’estomac de vent, jusqu’à des renvois nauséabonds.
Je m’appelle Jean-Jacques Bernard. Je suis journaliste depuis 34 ans et actuel Président du Syndicat Français de la Critique. Depuis longtemps, je présente des films sur CinéCinéma Classic, je dirige un petit magazine sur la même chaine, intitulé « Boulevard du Classique » et je réalise de nombreux documentaires ou films-entretiens sur des cinéastes.
Je lis dans « Le Coin du Cinéphage » des propos non signés me concernant. Pendant longtemps, j’ai laissé les libres opinions s’exposer à mon sujet. Non que je les traitais par le mépris, mais parce que l’avis d’untel ne fait pas l’avis de tous et parce que je crois qu’une opinion, fut-elle négative, est toujours bonne à considérer pour évoluer soi-même. Mais l’accumulation de locutions péjoratives : « Je m’en foutisme », « peau de chagrin », « révisioniste », me semble excessive, injuste et, pour le moins, destinée à nuire. Certes, l’anonymat permet tous les courages. Mais celui qui me traite de « révisioniste » ferait bien de réviser lui-même le sens de ce mot que je considère, pour ma part, comme une injure grave. La négation de l’Histoire et plus encore sa falsification sont pour le journaliste que je suis des fautes impardonnables. C’est pourquoi, à chacune de mes présentations de films, j’essaie de recouper mes sources ou de les citer nommément. J’essaie de contextualiser les films, sans refaire l’Histoire à ma main. S’il m’arrive d’y glisser une opinion personnelle, c’est rarement sans tenir compte de l’opinion inverse. Le tout dans les deux minutes qui me sont imparties.
Je dois préciser que je ne parle ici qu’en mon nom. Je n’ai pas qualité pour parler au nom du groupe qui m’emploie (Canal Plus)… Par ailleurs, je ne suis responsable en rien de la programmation de la Chaîne CinéCinéma Classic. Laquelle est assurée par des professionnels compétents qui font ce qu’ils peuvent dans un contexte de concurrence toujours accru. (de plus en plus de chaines, même non dévolues au cinéma, diffusent des films anciens… sans compter la rivalité avec à la chaine TCM, du puissant groupe américain Turner diffusé dans plus de 2O pays.
Il se peut que dans le flux de diffusion de nos films des erreurs se glissent. Nos abonnés ont toute possibilité alors de s’exprimer à ce sujet, d’autant que beaucoup sont de ces cinéphiles pointus. Nous apprenons ainsi beaucoup par leurs retours compétents.
Il se peut que nos programmations soient parfois défaillantes ou incomplètes. Nous avons pourtant souçi de présenter les films disponibles en droits et dans la qualité technique la meilleure possible… Nos « intégrales » Pasolini ou Michael Powell ont été saluées par beaucoup comme un effort rare dans le contexte. Une prochaine « intégrale » Cocteau sera de la même eau : destinée à dérouler une oeuvre dans son ensemble pour en saisir au mieux l’évolution.
Notre chaine CinéCinéma Classic a déjà près de 20 ans. Il fut un temps où elle était quasi-seule à montrer des merveilles anciennes… Ce temps peut éveiller des nostalgies. La mienne y compris, d’ailleurs, puisque j’étais là dès son premier jour… Cette chaine a connu des animateurs différents, chacun avec leur personnalité. Les uns et les autres ont toujours travaillé grosso modo sur les même sources n’ayant jamais été témoins personnels de faits cinémathographiques anciens… Tous ont rédigé leurs propres textes de présentation des fims. Tous les ont dits devant une caméra équipée d’un prompteur, parce qu’il n’y pas d’autre façon de rester rigoureux sur chaque mot, chaque citation, chaque date utilisée. Tous ont eu à coeur de donner un éclairage utile au cinéma d’hier pour le rendre partageable au plus grand nombre. Et tous ont eu besoin des remarques pertinentes de nos spectateurs pour améliorer leur geste.
Mais gare aux invectives trop personnelles. Elles dénotent chez qui les emploie une subjectivité atrabilaire d’autant plus suspecte qu’elle reste lâchement anonyme.
Pour autant, que le soldat inconnu de la dénonciation révisionniste se rassure, aucune action ne sera entreprise contre lui. Et il aura toujours raison d’exprimer son ressentiment, s’il sait l’étayer de faits probants.
Amitiés donc, l’ami.
droit de réponse
Attention à la cinéphagie. Comme l’aérophagie elle peut amplir l’estomac de vent, jusqu’à des renvois nauséabonds.
Je m’appelle Jean-Jacques Bernard. Je suis journaliste depuis 34 ans et actuel Président du Syndicat Français de la Critique. Depuis longtemps, je présente des films sur CinéCinéma Classic, je dirige un petit magazine sur la même chaine, intitulé « Boulevard du Classique » et je réalise de nombreux documentaires ou films-entretiens sur des cinéastes.
Je lis dans « Le Coin du Cinéphage » des propos non signés me concernant. Pendant longtemps, j’ai laissé les libres opinions s’exposer à mon sujet. Non que je les traitais par le mépris, mais parce que l’avis d’untel ne fait pas l’avis de tous et parce que je crois qu’une opinion, fut-elle négative, est toujours bonne à considérer pour évoluer soi-même. Mais l’accumulation de locutions péjoratives : « Je m’en foutisme », « peau de chagrin », « révisioniste », me semble excessive, injuste et, pour le moins, destinée à nuire. Certes, l’anonymat permet tous les courages. Mais celui qui me traite de « révisioniste » ferait bien de réviser lui-même le sens de ce mot que je considère, pour ma part, comme une injure grave. La négation de l’Histoire et plus encore sa falsification sont pour le journaliste que je suis des fautes impardonnables. C’est pourquoi, à chacune de mes présentations de films, j’essaie de recouper mes sources ou de les citer nommément. J’essaie de contextualiser les films, sans refaire l’Histoire à ma main. S’il m’arrive d’y glisser une opinion personnelle, c’est rarement sans tenir compte de l’opinion inverse. Le tout dans les deux minutes qui me sont imparties.
Je dois préciser que je ne parle ici qu’en mon nom. Je n’ai pas qualité pour parler au nom du groupe qui m’emploie (Canal Plus)… Par ailleurs, je ne suis responsable en rien de la programmation de la Chaîne CinéCinéma Classic. Laquelle est assurée par des professionnels compétents qui font ce qu’ils peuvent dans un contexte de concurrence toujours accru. (de plus en plus de chaines, même non dévolues au cinéma, diffusent des films anciens… sans compter la rivalité avec à la chaine TCM, du puissant groupe américain Turner diffusé dans plus de 2O pays.
Il se peut que dans le flux de diffusion de nos films des erreurs se glissent. Nos abonnés ont toute possibilité alors de s’exprimer à ce sujet, d’autant que beaucoup sont de ces cinéphiles pointus. Nous apprenons ainsi beaucoup par leurs retours compétents.
Il se peut que nos programmations soient parfois défaillantes ou incomplètes. Nous avons pourtant souçi de présenter les films disponibles en droits et dans la qualité technique la meilleure possible… Nos « intégrales » Pasolini ou Michael Powell ont été saluées par beaucoup comme un effort rare dans le contexte. Une prochaine « intégrale » Cocteau sera de la même eau : destinée à dérouler une oeuvre dans son ensemble pour en saisir au mieux l’évolution.
Notre chaine CinéCinéma Classic a déjà près de 20 ans. Il fut un temps où elle était quasi-seule à montrer des merveilles anciennes… Ce temps peut éveiller des nostalgies. La mienne y compris, d’ailleurs, puisque j’étais là dès son premier jour… Cette chaine a connu des animateurs différents, chacun avec leur personnalité. Les uns et les autres ont toujours travaillé grosso modo sur les même sources n’ayant jamais été témoins personnels de faits cinémathographiques anciens… Tous ont rédigé leurs propres textes de présentation des fims. Tous les ont dits devant une caméra équipée d’un prompteur, parce qu’il n’y pas d’autre façon de rester rigoureux sur chaque mot, chaque citation, chaque date utilisée. Tous ont eu à coeur de donner un éclairage utile au cinéma d’hier pour le rendre partageable au plus grand nombre. Et tous ont eu besoin des remarques pertinentes de nos spectateurs pour améliorer leur geste.
Mais gare aux invectives trop personnelles. Elles dénotent chez qui les emploie une subjectivité atrabilaire d’autant plus suspecte qu’elle reste lâchement anonyme.
Pour autant, que le soldat inconnu de la dénonciation révisionniste se rassure, aucune action ne sera entreprise contre lui. Et il aura toujours raison d’exprimer son ressentiment, s’il sait l’étayer de faits probants.
Amitiés donc, l’ami.
droit de réponse
Attention à la cinéphagie. Comme l’aérophagie elle peut amplir l’estomac de vent, jusqu’à des renvois nauséabonds.
Je m’appelle Jean-Jacques Bernard. Je suis journaliste depuis 34 ans et actuel Président du Syndicat Français de la Critique. Depuis longtemps, je présente des films sur CinéCinéma Classic, je dirige un petit magazine sur la même chaine, intitulé « Boulevard du Classique » et je réalise de nombreux documentaires ou films-entretiens sur des cinéastes.
Je lis dans « Le Coin du Cinéphage » des propos non signés me concernant. Pendant longtemps, j’ai laissé les libres opinions s’exposer à mon sujet. Non que je les traitais par le mépris, mais parce que l’avis d’untel ne fait pas l’avis de tous et parce que je crois qu’une opinion, fut-elle négative, est toujours bonne à considérer pour évoluer soi-même. Mais l’accumulation de locutions péjoratives : « Je m’en foutisme », « peau de chagrin », « révisioniste », me semble excessive, injuste et, pour le moins, destinée à nuire. Certes, l’anonymat permet tous les courages. Mais celui qui me traite de « révisioniste » ferait bien de réviser lui-même le sens de ce mot que je considère, pour ma part, comme une injure grave. La négation de l’Histoire et plus encore sa falsification sont pour le journaliste que je suis des fautes impardonnables. C’est pourquoi, à chacune de mes présentations de films, j’essaie de recouper mes sources ou de les citer nommément. J’essaie de contextualiser les films, sans refaire l’Histoire à ma main. S’il m’arrive d’y glisser une opinion personnelle, c’est rarement sans tenir compte de l’opinion inverse. Le tout dans les deux minutes qui me sont imparties.
Je dois préciser que je ne parle ici qu’en mon nom. Je n’ai pas qualité pour parler au nom du groupe qui m’emploie (Canal Plus)… Par ailleurs, je ne suis responsable en rien de la programmation de la Chaîne CinéCinéma Classic. Laquelle est assurée par des professionnels compétents qui font ce qu’ils peuvent dans un contexte de concurrence toujours accru. (de plus en plus de chaines, même non dévolues au cinéma, diffusent des films anciens… sans compter la rivalité avec à la chaine TCM, du puissant groupe américain Turner diffusé dans plus de 2O pays.
Il se peut que dans le flux de diffusion de nos films des erreurs se glissent. Nos abonnés ont toute possibilité alors de s’exprimer à ce sujet, d’autant que beaucoup sont de ces cinéphiles pointus. Nous apprenons ainsi beaucoup par leurs retours compétents.
Il se peut que nos programmations soient parfois défaillantes ou incomplètes. Nous avons pourtant souçi de présenter les films disponibles en droits et dans la qualité technique la meilleure possible… Nos « intégrales » Pasolini ou Michael Powell ont été saluées par beaucoup comme un effort rare dans le contexte. Une prochaine « intégrale » Cocteau sera de la même eau : destinée à dérouler une oeuvre dans son ensemble pour en saisir au mieux l’évolution.
Notre chaine CinéCinéma Classic a déjà près de 20 ans. Il fut un temps où elle était quasi-seule à montrer des merveilles anciennes… Ce temps peut éveiller des nostalgies. La mienne y compris, d’ailleurs, puisque j’étais là dès son premier jour… Cette chaine a connu des animateurs différents, chacun avec leur personnalité. Les uns et les autres ont toujours travaillé grosso modo sur les même sources n’ayant jamais été témoins personnels de faits cinémathographiques anciens… Tous ont rédigé leurs propres textes de présentation des fims. Tous les ont dits devant une caméra équipée d’un prompteur, parce qu’il n’y pas d’autre façon de rester rigoureux sur chaque mot, chaque citation, chaque date utilisée. Tous ont eu à coeur de donner un éclairage utile au cinéma d’hier pour le rendre partageable au plus grand nombre. Et tous ont eu besoin des remarques pertinentes de nos spectateurs pour améliorer leur geste.
Mais gare aux invectives trop personnelles. Elles dénotent chez qui les emploie une subjectivité atrabilaire d’autant plus suspecte qu’elle reste lâchement anonyme.
Pour autant, que le soldat inconnu de la dénonciation révisionniste se rassure, aucune action ne sera entreprise contre lui. Et il aura toujours raison d’exprimer son ressentiment, s’il sait l’étayer de faits probants.
Amitiés donc, l’ami.
droit de réponse
Attention à la cinéphagie. Comme l’aérophagie elle peut amplir l’estomac de vent, jusqu’à des renvois nauséabonds.
Je m’appelle Jean-Jacques Bernard. Je suis journaliste depuis 34 ans et actuel Président du Syndicat Français de la Critique. Depuis longtemps, je présente des films sur CinéCinéma Classic, je dirige un petit magazine sur la même chaine, intitulé « Boulevard du Classique » et je réalise de nombreux documentaires ou films-entretiens sur des cinéastes.
Je lis dans « Le Coin du Cinéphage » des propos non signés me concernant. Pendant longtemps, j’ai laissé les libres opinions s’exposer à mon sujet. Non que je les traitais par le mépris, mais parce que l’avis d’untel ne fait pas l’avis de tous et parce que je crois qu’une opinion, fut-elle négative, est toujours bonne à considérer pour évoluer soi-même. Mais l’accumulation de locutions péjoratives : « Je m’en foutisme », « peau de chagrin », « révisioniste », me semble excessive, injuste et, pour le moins, destinée à nuire. Certes, l’anonymat permet tous les courages. Mais celui qui me traite de « révisioniste » ferait bien de réviser lui-même le sens de ce mot que je considère, pour ma part, comme une injure grave. La négation de l’Histoire et plus encore sa falsification sont pour le journaliste que je suis des fautes impardonnables. C’est pourquoi, à chacune de mes présentations de films, j’essaie de recouper mes sources ou de les citer nommément. J’essaie de contextualiser les films, sans refaire l’Histoire à ma main. S’il m’arrive d’y glisser une opinion personnelle, c’est rarement sans tenir compte de l’opinion inverse. Le tout dans les deux minutes qui me sont imparties.
Je dois préciser que je ne parle ici qu’en mon nom. Je n’ai pas qualité pour parler au nom du groupe qui m’emploie (Canal Plus)… Par ailleurs, je ne suis responsable en rien de la programmation de la Chaîne CinéCinéma Classic. Laquelle est assurée par des professionnels compétents qui font ce qu’ils peuvent dans un contexte de concurrence toujours accru. (de plus en plus de chaines, même non dévolues au cinéma, diffusent des films anciens… sans compter la rivalité avec à la chaine TCM, du puissant groupe américain Turner diffusé dans plus de 2O pays.
Il se peut que dans le flux de diffusion de nos films des erreurs se glissent. Nos abonnés ont toute possibilité alors de s’exprimer à ce sujet, d’autant que beaucoup sont de ces cinéphiles pointus. Nous apprenons ainsi beaucoup par leurs retours compétents.
Il se peut que nos programmations soient parfois défaillantes ou incomplètes. Nous avons pourtant souçi de présenter les films disponibles en droits et dans la qualité technique la meilleure possible… Nos « intégrales » Pasolini ou Michael Powell ont été saluées par beaucoup comme un effort rare dans le contexte. Une prochaine « intégrale » Cocteau sera de la même eau : destinée à dérouler une oeuvre dans son ensemble pour en saisir au mieux l’évolution.
Notre chaine CinéCinéma Classic a déjà près de 20 ans. Il fut un temps où elle était quasi-seule à montrer des merveilles anciennes… Ce temps peut éveiller des nostalgies. La mienne y compris, d’ailleurs, puisque j’étais là dès son premier jour… Cette chaine a connu des animateurs différents, chacun avec leur personnalité. Les uns et les autres ont toujours travaillé grosso modo sur les même sources n’ayant jamais été témoins personnels de faits cinémathographiques anciens… Tous ont rédigé leurs propres textes de présentation des fims. Tous les ont dits devant une caméra équipée d’un prompteur, parce qu’il n’y pas d’autre façon de rester rigoureux sur chaque mot, chaque citation, chaque date utilisée. Tous ont eu à coeur de donner un éclairage utile au cinéma d’hier pour le rendre partageable au plus grand nombre. Et tous ont eu besoin des remarques pertinentes de nos spectateurs pour améliorer leur geste.
Mais gare aux invectives trop personnelles. Elles dénotent chez qui les emploie une subjectivité atrabilaire d’autant plus suspecte qu’elle reste lâchement anonyme.
Pour autant, que le soldat inconnu de la dénonciation révisionniste se rassure, aucune action ne sera entreprise contre lui. Et il aura toujours raison d’exprimer son ressentiment, s’il sait l’étayer de faits probants.
Amitiés donc, l’ami.
Mea culpa
Bonjour M. Bernard
Je réalise à votre lecture l’outrance de mes propos et combien ils pouvaient être blessants.
Pour le côté anonyme mon nom apparaît ici : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html, les fonctionnalités de permettant pas de l’afficher directement, je devrais sans doute le laisser à la fin d’articles polémiques mais avec ce long nom basque, les textes de ce blog doubleraient de volume. Je ne me suis donc jamais caché sous un pseudonyme qui d’ailleurs ne brille pas par son originalité. Mais ça ne dédouane en rien mes propos offensants, se voulant mordants mais qui ne sont au final que d’une rare stupidité. L’accusation de « révisionniste » se voulait ironique, compte tenu de l’annonce maladroite d’un faiseur de bandes annonces qui annonçait avec votre voix un cycle du cinéma sous l’occupation partant de 1937 à 1949 ce qui est un tantinet désinvolte. Je pensais que mon accusation était tellement outrée que chacun pouvait deviner que vous ne l’étiez en rien bien évidemment, j’ai raté ma cible, ça m’apprendra à faire le malin. En voulant faire du sarcasme j’ai donc pataugé allégrement dans l’imbécilité rance. Il est tellement facile de dénigrer son prochain histoire de se faire mousser un peu, sur la présentation des films notamment. C’est un exercice difficile, un peu impersonnel mais je comprends désormais le choix de la lecture du prompteur, et de plus vous y ajoutez toujours de l’humour comme la comparaison d’un Paul Meurisse, à la présentation d’un « Monocle », qui est au cinéma français ce qu’un tuteur est à un plant de tomates… Je tâcherai donc de ne plus céder à cette tentation fielleuse et j’en profite pour vous présenter mes excuses, pour citer Michel Audiard pour pourriez me dire « si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille ». Le côté « Peau de chagrin » était une réaction de spectateur trop gâté par les films programmés sur votre chaîne il y a quelques. Le nombre de raretés présenté il y a une dizaine d’année était formidable, on n’arrivait pas à tout voir. L’offre est moins surprenante, en discutant avec des cinéphiles, on constate que l’on se précipite moins vers son magazine TV pour en vérifier les programmes. Mais l’offre est toujours appréciable, à la mort de David Carradine, je songeais à votre présentation de l’atypique « Clan des McMasters », et on fait toujours des découvertes comme « Les otages » de Raymond Bernard ou « Le gendre de Monsieur Poirier », réputés disparus. Mais bon s’il est vrai que l’on peut se réjouir de la découverte d’un film d’un cinéaste mésestimé comme Michel Drach avec « Amélie ou le temps d’aimer », disons que la énième diffusion des « Angélique » – que je confesse avoir en DVD – est moins réjouissante. Au travers de cette méchanceté gratuite il fallait lire une certaine nostalgie notamment du « Club », avec Jean-Ollé Laprune – que vous coupiez parfois en disant « on s’en fout », Olivier Barrot, Christine Haas, Jean-Pierre Dionnet et Denis Parent. Pourtant il y aurait matière à faire perdurer cet esprit, j’imagine à vous lire que l’on vous laisse moins de latitude alors que son se régale à écouter votre entretien – trop court – dans le dernier « Boulevard… » avec Juliette Gréco – du coup on est un peu frustré de ne pas voir ses films dans la foulée – ou aux documentaires que vous aviez consacré à Jean-François Stévenin ou Bertrand Blier. Il est facile de râler, mais ne vaut-il mieux pas voir « Porcherie » proposé sur CinéClassic en VF que pas du tout… Je dois déplorer tout de même une petite amertume sur l’évolution des programmateurs des chaînes du groupe Canal+, qui me semble un peu moins riche – beaucoup de « redifs » -, surtout après l’annonce de la fermeture des films classiques sur TPS qui devaient intégrer votre programmation. Je dois ma cinéphilie à la télévision via Claude-Jean Philippe et Patrick Brion, il faut convenir que vous faites perdurer cet esprit, alors que le cinéma est si mal traité dans le « Service Public », des VF faute de moyens sur Arte, le cinéclub de Patrick Brion ce dimanche dernier à 1h15 ! Mais attendons l’émission de Serge Moati prévue à la rentrée en septembre. Je tiens à saluer vos propos reflétant votre amour du cinéma et votre pondération, pour un petit texte fielleux qui n’en méritait pas tant. J’espère que vous recevrez mes excuses avec bienveillance. Gardez donc surtout cette flamme et cet amour du cinéma que nous partageons malgré tout !
Mea culpa
Bonjour M. Bernard
Je réalise à votre lecture l’outrance de mes propos et combien ils pouvaient être blessants.
Pour le côté anonyme mon nom apparaît ici : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html, les fonctionnalités de permettant pas de l’afficher directement, je devrais sans doute le laisser à la fin d’articles polémiques mais avec ce long nom basque, les textes de ce blog doubleraient de volume. Je ne me suis donc jamais caché sous un pseudonyme qui d’ailleurs ne brille pas par son originalité. Mais ça ne dédouane en rien mes propos offensants, se voulant mordants mais qui ne sont au final que d’une rare stupidité. L’accusation de « révisionniste » se voulait ironique, compte tenu de l’annonce maladroite d’un faiseur de bandes annonces qui annonçait avec votre voix un cycle du cinéma sous l’occupation partant de 1937 à 1949 ce qui est un tantinet désinvolte. Je pensais que mon accusation était tellement outrée que chacun pouvait deviner que vous ne l’étiez en rien bien évidemment, j’ai raté ma cible, ça m’apprendra à faire le malin. En voulant faire du sarcasme j’ai donc pataugé allégrement dans l’imbécilité rance. Il est tellement facile de dénigrer son prochain histoire de se faire mousser un peu, sur la présentation des films notamment. C’est un exercice difficile, un peu impersonnel mais je comprends désormais le choix de la lecture du prompteur, et de plus vous y ajoutez toujours de l’humour comme la comparaison d’un Paul Meurisse, à la présentation d’un « Monocle », qui est au cinéma français ce qu’un tuteur est à un plant de tomates… Je tâcherai donc de ne plus céder à cette tentation fielleuse et j’en profite pour vous présenter mes excuses, pour citer Michel Audiard pour pourriez me dire « si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille ». Le côté « Peau de chagrin » était une réaction de spectateur trop gâté par les films programmés sur votre chaîne il y a quelques. Le nombre de raretés présenté il y a une dizaine d’année était formidable, on n’arrivait pas à tout voir. L’offre est moins surprenante, en discutant avec des cinéphiles, on constate que l’on se précipite moins vers son magazine TV pour en vérifier les programmes. Mais l’offre est toujours appréciable, à la mort de David Carradine, je songeais à votre présentation de l’atypique « Clan des McMasters », et on fait toujours des découvertes comme « Les otages » de Raymond Bernard ou « Le gendre de Monsieur Poirier », réputés disparus. Mais bon s’il est vrai que l’on peut se réjouir de la découverte d’un film d’un cinéaste mésestimé comme Michel Drach avec « Amélie ou le temps d’aimer », disons que la énième diffusion des « Angélique » – que je confesse avoir en DVD – est moins réjouissante. Au travers de cette méchanceté gratuite il fallait lire une certaine nostalgie notamment du « Club », avec Jean-Ollé Laprune – que vous coupiez parfois en disant « on s’en fout », Olivier Barrot, Christine Haas, Jean-Pierre Dionnet et Denis Parent. Pourtant il y aurait matière à faire perdurer cet esprit, j’imagine à vous lire que l’on vous laisse moins de latitude alors que son se régale à écouter votre entretien – trop court – dans le dernier « Boulevard… » avec Juliette Gréco – du coup on est un peu frustré de ne pas voir ses films dans la foulée – ou aux documentaires que vous aviez consacré à Jean-François Stévenin ou Bertrand Blier. Il est facile de râler, mais ne vaut-il mieux pas voir « Porcherie » proposé sur CinéClassic en VF que pas du tout… Je dois déplorer tout de même une petite amertume sur l’évolution des programmateurs des chaînes du groupe Canal+, qui me semble un peu moins riche – beaucoup de « redifs » -, surtout après l’annonce de la fermeture des films classiques sur TPS qui devaient intégrer votre programmation. Je dois ma cinéphilie à la télévision via Claude-Jean Philippe et Patrick Brion, il faut convenir que vous faites perdurer cet esprit, alors que le cinéma est si mal traité dans le « Service Public », des VF faute de moyens sur Arte, le cinéclub de Patrick Brion ce dimanche dernier à 1h15 ! Mais attendons l’émission de Serge Moati prévue à la rentrée en septembre. Je tiens à saluer vos propos reflétant votre amour du cinéma et votre pondération, pour un petit texte fielleux qui n’en méritait pas tant. J’espère que vous recevrez mes excuses avec bienveillance. Gardez donc surtout cette flamme et cet amour du cinéma que nous partageons malgré tout !
Mea culpa
Bonjour M. Bernard
Je réalise à votre lecture l’outrance de mes propos et combien ils pouvaient être blessants.
Pour le côté anonyme mon nom apparaît ici : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html, les fonctionnalités de permettant pas de l’afficher directement, je devrais sans doute le laisser à la fin d’articles polémiques mais avec ce long nom basque, les textes de ce blog doubleraient de volume. Je ne me suis donc jamais caché sous un pseudonyme qui d’ailleurs ne brille pas par son originalité. Mais ça ne dédouane en rien mes propos offensants, se voulant mordants mais qui ne sont au final que d’une rare stupidité. L’accusation de « révisionniste » se voulait ironique, compte tenu de l’annonce maladroite d’un faiseur de bandes annonces qui annonçait avec votre voix un cycle du cinéma sous l’occupation partant de 1937 à 1949 ce qui est un tantinet désinvolte. Je pensais que mon accusation était tellement outrée que chacun pouvait deviner que vous ne l’étiez en rien bien évidemment, j’ai raté ma cible, ça m’apprendra à faire le malin. En voulant faire du sarcasme j’ai donc pataugé allégrement dans l’imbécilité rance. Il est tellement facile de dénigrer son prochain histoire de se faire mousser un peu, sur la présentation des films notamment. C’est un exercice difficile, un peu impersonnel mais je comprends désormais le choix de la lecture du prompteur, et de plus vous y ajoutez toujours de l’humour comme la comparaison d’un Paul Meurisse, à la présentation d’un « Monocle », qui est au cinéma français ce qu’un tuteur est à un plant de tomates… Je tâcherai donc de ne plus céder à cette tentation fielleuse et j’en profite pour vous présenter mes excuses, pour citer Michel Audiard pour pourriez me dire « si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille ». Le côté « Peau de chagrin » était une réaction de spectateur trop gâté par les films programmés sur votre chaîne il y a quelques. Le nombre de raretés présenté il y a une dizaine d’année était formidable, on n’arrivait pas à tout voir. L’offre est moins surprenante, en discutant avec des cinéphiles, on constate que l’on se précipite moins vers son magazine TV pour en vérifier les programmes. Mais l’offre est toujours appréciable, à la mort de David Carradine, je songeais à votre présentation de l’atypique « Clan des McMasters », et on fait toujours des découvertes comme « Les otages » de Raymond Bernard ou « Le gendre de Monsieur Poirier », réputés disparus. Mais bon s’il est vrai que l’on peut se réjouir de la découverte d’un film d’un cinéaste mésestimé comme Michel Drach avec « Amélie ou le temps d’aimer », disons que la énième diffusion des « Angélique » – que je confesse avoir en DVD – est moins réjouissante. Au travers de cette méchanceté gratuite il fallait lire une certaine nostalgie notamment du « Club », avec Jean-Ollé Laprune – que vous coupiez parfois en disant « on s’en fout », Olivier Barrot, Christine Haas, Jean-Pierre Dionnet et Denis Parent. Pourtant il y aurait matière à faire perdurer cet esprit, j’imagine à vous lire que l’on vous laisse moins de latitude alors que son se régale à écouter votre entretien – trop court – dans le dernier « Boulevard… » avec Juliette Gréco – du coup on est un peu frustré de ne pas voir ses films dans la foulée – ou aux documentaires que vous aviez consacré à Jean-François Stévenin ou Bertrand Blier. Il est facile de râler, mais ne vaut-il mieux pas voir « Porcherie » proposé sur CinéClassic en VF que pas du tout… Je dois déplorer tout de même une petite amertume sur l’évolution des programmateurs des chaînes du groupe Canal+, qui me semble un peu moins riche – beaucoup de « redifs » -, surtout après l’annonce de la fermeture des films classiques sur TPS qui devaient intégrer votre programmation. Je dois ma cinéphilie à la télévision via Claude-Jean Philippe et Patrick Brion, il faut convenir que vous faites perdurer cet esprit, alors que le cinéma est si mal traité dans le « Service Public », des VF faute de moyens sur Arte, le cinéclub de Patrick Brion ce dimanche dernier à 1h15 ! Mais attendons l’émission de Serge Moati prévue à la rentrée en septembre. Je tiens à saluer vos propos reflétant votre amour du cinéma et votre pondération, pour un petit texte fielleux qui n’en méritait pas tant. J’espère que vous recevrez mes excuses avec bienveillance. Gardez donc surtout cette flamme et cet amour du cinéma que nous partageons malgré tout !
Mea culpa
Bonjour M. Bernard
Je réalise à votre lecture l’outrance de mes propos et combien ils pouvaient être blessants.
Pour le côté anonyme mon nom apparaît ici : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html, les fonctionnalités de permettant pas de l’afficher directement, je devrais sans doute le laisser à la fin d’articles polémiques mais avec ce long nom basque, les textes de ce blog doubleraient de volume. Je ne me suis donc jamais caché sous un pseudonyme qui d’ailleurs ne brille pas par son originalité. Mais ça ne dédouane en rien mes propos offensants, se voulant mordants mais qui ne sont au final que d’une rare stupidité. L’accusation de « révisionniste » se voulait ironique, compte tenu de l’annonce maladroite d’un faiseur de bandes annonces qui annonçait avec votre voix un cycle du cinéma sous l’occupation partant de 1937 à 1949 ce qui est un tantinet désinvolte. Je pensais que mon accusation était tellement outrée que chacun pouvait deviner que vous ne l’étiez en rien bien évidemment, j’ai raté ma cible, ça m’apprendra à faire le malin. En voulant faire du sarcasme j’ai donc pataugé allégrement dans l’imbécilité rance. Il est tellement facile de dénigrer son prochain histoire de se faire mousser un peu, sur la présentation des films notamment. C’est un exercice difficile, un peu impersonnel mais je comprends désormais le choix de la lecture du prompteur, et de plus vous y ajoutez toujours de l’humour comme la comparaison d’un Paul Meurisse, à la présentation d’un « Monocle », qui est au cinéma français ce qu’un tuteur est à un plant de tomates… Je tâcherai donc de ne plus céder à cette tentation fielleuse et j’en profite pour vous présenter mes excuses, pour citer Michel Audiard pour pourriez me dire « si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille ». Le côté « Peau de chagrin » était une réaction de spectateur trop gâté par les films programmés sur votre chaîne il y a quelques. Le nombre de raretés présenté il y a une dizaine d’année était formidable, on n’arrivait pas à tout voir. L’offre est moins surprenante, en discutant avec des cinéphiles, on constate que l’on se précipite moins vers son magazine TV pour en vérifier les programmes. Mais l’offre est toujours appréciable, à la mort de David Carradine, je songeais à votre présentation de l’atypique « Clan des McMasters », et on fait toujours des découvertes comme « Les otages » de Raymond Bernard ou « Le gendre de Monsieur Poirier », réputés disparus. Mais bon s’il est vrai que l’on peut se réjouir de la découverte d’un film d’un cinéaste mésestimé comme Michel Drach avec « Amélie ou le temps d’aimer », disons que la énième diffusion des « Angélique » – que je confesse avoir en DVD – est moins réjouissante. Au travers de cette méchanceté gratuite il fallait lire une certaine nostalgie notamment du « Club », avec Jean-Ollé Laprune – que vous coupiez parfois en disant « on s’en fout », Olivier Barrot, Christine Haas, Jean-Pierre Dionnet et Denis Parent. Pourtant il y aurait matière à faire perdurer cet esprit, j’imagine à vous lire que l’on vous laisse moins de latitude alors que son se régale à écouter votre entretien – trop court – dans le dernier « Boulevard… » avec Juliette Gréco – du coup on est un peu frustré de ne pas voir ses films dans la foulée – ou aux documentaires que vous aviez consacré à Jean-François Stévenin ou Bertrand Blier. Il est facile de râler, mais ne vaut-il mieux pas voir « Porcherie » proposé sur CinéClassic en VF que pas du tout… Je dois déplorer tout de même une petite amertume sur l’évolution des programmateurs des chaînes du groupe Canal+, qui me semble un peu moins riche – beaucoup de « redifs » -, surtout après l’annonce de la fermeture des films classiques sur TPS qui devaient intégrer votre programmation. Je dois ma cinéphilie à la télévision via Claude-Jean Philippe et Patrick Brion, il faut convenir que vous faites perdurer cet esprit, alors que le cinéma est si mal traité dans le « Service Public », des VF faute de moyens sur Arte, le cinéclub de Patrick Brion ce dimanche dernier à 1h15 ! Mais attendons l’émission de Serge Moati prévue à la rentrée en septembre. Je tiens à saluer vos propos reflétant votre amour du cinéma et votre pondération, pour un petit texte fielleux qui n’en méritait pas tant. J’espère que vous recevrez mes excuses avec bienveillance. Gardez donc surtout cette flamme et cet amour du cinéma que nous partageons malgré tout !
Mea culpa
Bonjour M. Bernard
Je réalise à votre lecture l’outrance de mes propos et combien ils pouvaient être blessants.
Pour le côté anonyme mon nom apparaît ici : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html, les fonctionnalités de permettant pas de l’afficher directement, je devrais sans doute le laisser à la fin d’articles polémiques mais avec ce long nom basque, les textes de ce blog doubleraient de volume. Je ne me suis donc jamais caché sous un pseudonyme qui d’ailleurs ne brille pas par son originalité. Mais ça ne dédouane en rien mes propos offensants, se voulant mordants mais qui ne sont au final que d’une rare stupidité. L’accusation de « révisionniste » se voulait ironique, compte tenu de l’annonce maladroite d’un faiseur de bandes annonces qui annonçait avec votre voix un cycle du cinéma sous l’occupation partant de 1937 à 1949 ce qui est un tantinet désinvolte. Je pensais que mon accusation était tellement outrée que chacun pouvait deviner que vous ne l’étiez en rien bien évidemment, j’ai raté ma cible, ça m’apprendra à faire le malin. En voulant faire du sarcasme j’ai donc pataugé allégrement dans l’imbécilité rance. Il est tellement facile de dénigrer son prochain histoire de se faire mousser un peu, sur la présentation des films notamment. C’est un exercice difficile, un peu impersonnel mais je comprends désormais le choix de la lecture du prompteur, et de plus vous y ajoutez toujours de l’humour comme la comparaison d’un Paul Meurisse, à la présentation d’un « Monocle », qui est au cinéma français ce qu’un tuteur est à un plant de tomates… Je tâcherai donc de ne plus céder à cette tentation fielleuse et j’en profite pour vous présenter mes excuses, pour citer Michel Audiard pour pourriez me dire « si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille ». Le côté « Peau de chagrin » était une réaction de spectateur trop gâté par les films programmés sur votre chaîne il y a quelques. Le nombre de raretés présenté il y a une dizaine d’année était formidable, on n’arrivait pas à tout voir. L’offre est moins surprenante, en discutant avec des cinéphiles, on constate que l’on se précipite moins vers son magazine TV pour en vérifier les programmes. Mais l’offre est toujours appréciable, à la mort de David Carradine, je songeais à votre présentation de l’atypique « Clan des McMasters », et on fait toujours des découvertes comme « Les otages » de Raymond Bernard ou « Le gendre de Monsieur Poirier », réputés disparus. Mais bon s’il est vrai que l’on peut se réjouir de la découverte d’un film d’un cinéaste mésestimé comme Michel Drach avec « Amélie ou le temps d’aimer », disons que la énième diffusion des « Angélique » – que je confesse avoir en DVD – est moins réjouissante. Au travers de cette méchanceté gratuite il fallait lire une certaine nostalgie notamment du « Club », avec Jean-Ollé Laprune – que vous coupiez parfois en disant « on s’en fout », Olivier Barrot, Christine Haas, Jean-Pierre Dionnet et Denis Parent. Pourtant il y aurait matière à faire perdurer cet esprit, j’imagine à vous lire que l’on vous laisse moins de latitude alors que son se régale à écouter votre entretien – trop court – dans le dernier « Boulevard… » avec Juliette Gréco – du coup on est un peu frustré de ne pas voir ses films dans la foulée – ou aux documentaires que vous aviez consacré à Jean-François Stévenin ou Bertrand Blier. Il est facile de râler, mais ne vaut-il mieux pas voir « Porcherie » proposé sur CinéClassic en VF que pas du tout… Je dois déplorer tout de même une petite amertume sur l’évolution des programmateurs des chaînes du groupe Canal+, qui me semble un peu moins riche – beaucoup de « redifs » -, surtout après l’annonce de la fermeture des films classiques sur TPS qui devaient intégrer votre programmation. Je dois ma cinéphilie à la télévision via Claude-Jean Philippe et Patrick Brion, il faut convenir que vous faites perdurer cet esprit, alors que le cinéma est si mal traité dans le « Service Public », des VF faute de moyens sur Arte, le cinéclub de Patrick Brion ce dimanche dernier à 1h15 ! Mais attendons l’émission de Serge Moati prévue à la rentrée en septembre. Je tiens à saluer vos propos reflétant votre amour du cinéma et votre pondération, pour un petit texte fielleux qui n’en méritait pas tant. J’espère que vous recevrez mes excuses avec bienveillance. Gardez donc surtout cette flamme et cet amour du cinéma que nous partageons malgré tout !
Correction à propos du nom : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html ou allez sur l’onglet auteur « coin du cinéphage »
Correction à propos du nom : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html ou allez sur l’onglet auteur « coin du cinéphage »
Correction à propos du nom : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html ou allez sur l’onglet auteur « coin du cinéphage »
Correction à propos du nom : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html ou allez sur l’onglet auteur « coin du cinéphage »
Correction à propos du nom : http://coinducinephage.canalblog.com/profile/171012/index.html ou allez sur l’onglet auteur « coin du cinéphage »
dekismoton
Monsieur Jean-Jacques Bernard a raison sur plus d’un point, c’est l’évidence même : la concurrence entre les chaînes cinéma du câble justifie parfaitement à elle seule que les très compétents programmateurs de Cinéclassic fassent démarrer la Seconde Guerre mondiale en 1937 (année du tournage de Mollenard) et s’achever ladite guerre en 1949 (année du tournage de la Beauté du diable).
On est également en droit, a contrario, d’imaginer que la concurrence entre opérateurs puisse impliquer autre chose qu’un systématique nivelage par le bas. Par exemple, au hasard, la recherche d’excellence dans son domaine afin de se faire reconnaître comme le meilleur, ou à défaut le recrutement de rédacteurs maîtrisant parfaitement leurs sujets, et dont jadis Ciné Classic constituait une sorte de vivier ambulant. Chritine Haas, Jean Ollé-Laprune : regrets éternels. Mais c’est peut-être trop demander.
A titre personnel, ce que Jean-Jacques Bernard désigne sous le terme de concurrence entre chaînes ou abondance de flux (la belle excuse), j’appelle cela au choix alibi à deux euros, économies de bouts de chandelle, foutage de gueule, inculture crasse ou mépris souverain du spectateur. Ecrivant cela, je ne vise évidemment pas à titre personnel M. Bernard, dont le professionnalisme est notoire.
Sauf peut-être, et encore, quand il balance sans rectification derrière, lors d’une interview filmée de Juliette Gréco, le nom de la célèbre actrice Catherine (!!) Luchaire, naturellement.
Catherine Luchaire dont, au passage, Ciné Classic a multidiffusé au cours des semaines précédent l’interview de Juliette Gréco un documentaire à elle consacré.
Mathieu B, grand admirateur de Gloria Garbo, Marlene Monroe, Suzanne Signoret, Clémentine Deneuve, Greta Swanson, and so on…, futur ex-abonné de Ciné Classic (parce que ras-le-bol).
Post-scriptum : aux téléspectateurs payants qui déplorent comme moi la rediffusion en boucle sur Ciné Classic de la saga Angélique (entre autres raretés et films notoirement invisibles), je tiens à signaler qu’en 2003/2004, le catalogue cinéma Canal + comprenait, notamment, la quasi-totalité des Darrieux-Decoin d’avant-guerre, ou la plupart des premiers Chritian-Jaque. Cela posé, les droits cinéma n’étant pas forcément statiques, les choses ont peut-être changé depuis. Mais, quand même : espérer revoir Retour à l’aube plutôt qu’Angélique et le Sultan, est-ce demander l’impossible ?
dekismoton
Monsieur Jean-Jacques Bernard a raison sur plus d’un point, c’est l’évidence même : la concurrence entre les chaînes cinéma du câble justifie parfaitement à elle seule que les très compétents programmateurs de Cinéclassic fassent démarrer la Seconde Guerre mondiale en 1937 (année du tournage de Mollenard) et s’achever ladite guerre en 1949 (année du tournage de la Beauté du diable).
On est également en droit, a contrario, d’imaginer que la concurrence entre opérateurs puisse impliquer autre chose qu’un systématique nivelage par le bas. Par exemple, au hasard, la recherche d’excellence dans son domaine afin de se faire reconnaître comme le meilleur, ou à défaut le recrutement de rédacteurs maîtrisant parfaitement leurs sujets, et dont jadis Ciné Classic constituait une sorte de vivier ambulant. Chritine Haas, Jean Ollé-Laprune : regrets éternels. Mais c’est peut-être trop demander.
A titre personnel, ce que Jean-Jacques Bernard désigne sous le terme de concurrence entre chaînes ou abondance de flux (la belle excuse), j’appelle cela au choix alibi à deux euros, économies de bouts de chandelle, foutage de gueule, inculture crasse ou mépris souverain du spectateur. Ecrivant cela, je ne vise évidemment pas à titre personnel M. Bernard, dont le professionnalisme est notoire.
Sauf peut-être, et encore, quand il balance sans rectification derrière, lors d’une interview filmée de Juliette Gréco, le nom de la célèbre actrice Catherine (!!) Luchaire, naturellement.
Catherine Luchaire dont, au passage, Ciné Classic a multidiffusé au cours des semaines précédent l’interview de Juliette Gréco un documentaire à elle consacré.
Mathieu B, grand admirateur de Gloria Garbo, Marlene Monroe, Suzanne Signoret, Clémentine Deneuve, Greta Swanson, and so on…, futur ex-abonné de Ciné Classic (parce que ras-le-bol).
Post-scriptum : aux téléspectateurs payants qui déplorent comme moi la rediffusion en boucle sur Ciné Classic de la saga Angélique (entre autres raretés et films notoirement invisibles), je tiens à signaler qu’en 2003/2004, le catalogue cinéma Canal + comprenait, notamment, la quasi-totalité des Darrieux-Decoin d’avant-guerre, ou la plupart des premiers Chritian-Jaque. Cela posé, les droits cinéma n’étant pas forcément statiques, les choses ont peut-être changé depuis. Mais, quand même : espérer revoir Retour à l’aube plutôt qu’Angélique et le Sultan, est-ce demander l’impossible ?
dekismoton
Monsieur Jean-Jacques Bernard a raison sur plus d’un point, c’est l’évidence même : la concurrence entre les chaînes cinéma du câble justifie parfaitement à elle seule que les très compétents programmateurs de Cinéclassic fassent démarrer la Seconde Guerre mondiale en 1937 (année du tournage de Mollenard) et s’achever ladite guerre en 1949 (année du tournage de la Beauté du diable).
On est également en droit, a contrario, d’imaginer que la concurrence entre opérateurs puisse impliquer autre chose qu’un systématique nivelage par le bas. Par exemple, au hasard, la recherche d’excellence dans son domaine afin de se faire reconnaître comme le meilleur, ou à défaut le recrutement de rédacteurs maîtrisant parfaitement leurs sujets, et dont jadis Ciné Classic constituait une sorte de vivier ambulant. Chritine Haas, Jean Ollé-Laprune : regrets éternels. Mais c’est peut-être trop demander.
A titre personnel, ce que Jean-Jacques Bernard désigne sous le terme de concurrence entre chaînes ou abondance de flux (la belle excuse), j’appelle cela au choix alibi à deux euros, économies de bouts de chandelle, foutage de gueule, inculture crasse ou mépris souverain du spectateur. Ecrivant cela, je ne vise évidemment pas à titre personnel M. Bernard, dont le professionnalisme est notoire.
Sauf peut-être, et encore, quand il balance sans rectification derrière, lors d’une interview filmée de Juliette Gréco, le nom de la célèbre actrice Catherine (!!) Luchaire, naturellement.
Catherine Luchaire dont, au passage, Ciné Classic a multidiffusé au cours des semaines précédent l’interview de Juliette Gréco un documentaire à elle consacré.
Mathieu B, grand admirateur de Gloria Garbo, Marlene Monroe, Suzanne Signoret, Clémentine Deneuve, Greta Swanson, and so on…, futur ex-abonné de Ciné Classic (parce que ras-le-bol).
Post-scriptum : aux téléspectateurs payants qui déplorent comme moi la rediffusion en boucle sur Ciné Classic de la saga Angélique (entre autres raretés et films notoirement invisibles), je tiens à signaler qu’en 2003/2004, le catalogue cinéma Canal + comprenait, notamment, la quasi-totalité des Darrieux-Decoin d’avant-guerre, ou la plupart des premiers Chritian-Jaque. Cela posé, les droits cinéma n’étant pas forcément statiques, les choses ont peut-être changé depuis. Mais, quand même : espérer revoir Retour à l’aube plutôt qu’Angélique et le Sultan, est-ce demander l’impossible ?
dekismoton
Monsieur Jean-Jacques Bernard a raison sur plus d’un point, c’est l’évidence même : la concurrence entre les chaînes cinéma du câble justifie parfaitement à elle seule que les très compétents programmateurs de Cinéclassic fassent démarrer la Seconde Guerre mondiale en 1937 (année du tournage de Mollenard) et s’achever ladite guerre en 1949 (année du tournage de la Beauté du diable).
On est également en droit, a contrario, d’imaginer que la concurrence entre opérateurs puisse impliquer autre chose qu’un systématique nivelage par le bas. Par exemple, au hasard, la recherche d’excellence dans son domaine afin de se faire reconnaître comme le meilleur, ou à défaut le recrutement de rédacteurs maîtrisant parfaitement leurs sujets, et dont jadis Ciné Classic constituait une sorte de vivier ambulant. Chritine Haas, Jean Ollé-Laprune : regrets éternels. Mais c’est peut-être trop demander.
A titre personnel, ce que Jean-Jacques Bernard désigne sous le terme de concurrence entre chaînes ou abondance de flux (la belle excuse), j’appelle cela au choix alibi à deux euros, économies de bouts de chandelle, foutage de gueule, inculture crasse ou mépris souverain du spectateur. Ecrivant cela, je ne vise évidemment pas à titre personnel M. Bernard, dont le professionnalisme est notoire.
Sauf peut-être, et encore, quand il balance sans rectification derrière, lors d’une interview filmée de Juliette Gréco, le nom de la célèbre actrice Catherine (!!) Luchaire, naturellement.
Catherine Luchaire dont, au passage, Ciné Classic a multidiffusé au cours des semaines précédent l’interview de Juliette Gréco un documentaire à elle consacré.
Mathieu B, grand admirateur de Gloria Garbo, Marlene Monroe, Suzanne Signoret, Clémentine Deneuve, Greta Swanson, and so on…, futur ex-abonné de Ciné Classic (parce que ras-le-bol).
Post-scriptum : aux téléspectateurs payants qui déplorent comme moi la rediffusion en boucle sur Ciné Classic de la saga Angélique (entre autres raretés et films notoirement invisibles), je tiens à signaler qu’en 2003/2004, le catalogue cinéma Canal + comprenait, notamment, la quasi-totalité des Darrieux-Decoin d’avant-guerre, ou la plupart des premiers Chritian-Jaque. Cela posé, les droits cinéma n’étant pas forcément statiques, les choses ont peut-être changé depuis. Mais, quand même : espérer revoir Retour à l’aube plutôt qu’Angélique et le Sultan, est-ce demander l’impossible ?
dekismoton
Monsieur Jean-Jacques Bernard a raison sur plus d’un point, c’est l’évidence même : la concurrence entre les chaînes cinéma du câble justifie parfaitement à elle seule que les très compétents programmateurs de Cinéclassic fassent démarrer la Seconde Guerre mondiale en 1937 (année du tournage de Mollenard) et s’achever ladite guerre en 1949 (année du tournage de la Beauté du diable).
On est également en droit, a contrario, d’imaginer que la concurrence entre opérateurs puisse impliquer autre chose qu’un systématique nivelage par le bas. Par exemple, au hasard, la recherche d’excellence dans son domaine afin de se faire reconnaître comme le meilleur, ou à défaut le recrutement de rédacteurs maîtrisant parfaitement leurs sujets, et dont jadis Ciné Classic constituait une sorte de vivier ambulant. Chritine Haas, Jean Ollé-Laprune : regrets éternels. Mais c’est peut-être trop demander.
A titre personnel, ce que Jean-Jacques Bernard désigne sous le terme de concurrence entre chaînes ou abondance de flux (la belle excuse), j’appelle cela au choix alibi à deux euros, économies de bouts de chandelle, foutage de gueule, inculture crasse ou mépris souverain du spectateur. Ecrivant cela, je ne vise évidemment pas à titre personnel M. Bernard, dont le professionnalisme est notoire.
Sauf peut-être, et encore, quand il balance sans rectification derrière, lors d’une interview filmée de Juliette Gréco, le nom de la célèbre actrice Catherine (!!) Luchaire, naturellement.
Catherine Luchaire dont, au passage, Ciné Classic a multidiffusé au cours des semaines précédent l’interview de Juliette Gréco un documentaire à elle consacré.
Mathieu B, grand admirateur de Gloria Garbo, Marlene Monroe, Suzanne Signoret, Clémentine Deneuve, Greta Swanson, and so on…, futur ex-abonné de Ciné Classic (parce que ras-le-bol).
Post-scriptum : aux téléspectateurs payants qui déplorent comme moi la rediffusion en boucle sur Ciné Classic de la saga Angélique (entre autres raretés et films notoirement invisibles), je tiens à signaler qu’en 2003/2004, le catalogue cinéma Canal + comprenait, notamment, la quasi-totalité des Darrieux-Decoin d’avant-guerre, ou la plupart des premiers Chritian-Jaque. Cela posé, les droits cinéma n’étant pas forcément statiques, les choses ont peut-être changé depuis. Mais, quand même : espérer revoir Retour à l’aube plutôt qu’Angélique et le Sultan, est-ce demander l’impossible ?