Annonce de la mort par le site « Les gens du cinéma » de l’actrice italienne Eleonora Rossi Drago, à l’âge de 82 ans, des suites d’une hémorragie cérébrale. Elle fut Miss Italie en 1947, à l’instar de Lucia Bosè avec laquelle on la comparait parfois. Elle se lance avec plus ou moins de bonheur dans une carrière d’actrice, avant de connaître une consécration au théâtre, avec un rôle dans « Oncle Vanya » de Tchékhov, sous la direction de Luchino Visconti, en 1956, aux côtés des fidèles du maître, Marcello Mastroianni, Rina Morelli et Paolo Stoppa. Son plus beau rôle au cinéma semble rester celui de « Été violent » (1958) de Valerio Zurlini, sorte de variation du diable au corps de Raymond Radiguet . Dans l’Italie fasciste de l’été 1943, un jeune homme tombe sur le charme d’une mère d’une petite fille âgée de 30 ans, veuve d’un officier de marine. Cette idylle naissante va être contrariée par le contexte difficile de l’époque et la différence de classe. Elle était d’une grande sensualité dans l’un des meilleurs films de Zurlini, un très grand cinéaste dont on commence désormais à ressentir l’importance. Elle avait également tourné pour Michelangelo Antonioni, « Femmes entre elles », où elle est Clélia, créatrice d’une maison de couture à Turin, Pietro Germi dans « Meurtre à l’italienne », où elle est une femme enfant, et Roberto Rossellini, avec « Ame noire », où elle incarne la femme de Vittorio Gassman, supportant mal les frasques passées de son mari. Elle tournait souvent en France, notamment dans « L’esclave » d’Yves Ciampi, où elle incarnait une femme impuissante face aux problèmes de drogue du personnage incarné par Daniel Gélin. Elle tourne ensuite surtout des films de séries B, à l’instar du « Dépravé », curieuse adaptation semble-t-il du Dorian Gray d’Oscal Wilde, avec Helmut Berger en vedette. On peut se demander pourquoi cette comédienne n’a pas fait une carrière plus remarquable. Dépressive, elle avait abandonné le cinéma, au début des années 70, après avoir tenté de ce suicider. Elle épousa un industriel en 1973.
Avec Jean-Louis Trintignant dans « Été violent »
Filmographie : 1948 I pirati di Capri (Le pirate de Capri) (Giuseppe Maria Scotese & Edgar G. Ulmer) – 1949 Due sorelle amano (Jacopo Comin) – Altura / Rocce insanguinate (Mario Sequi) – 1950 Persiane chiuse (Volets clos) (Luigi Comencini) – 1951 Verginità (Virginité) (Leonardo De Mitri) – Ultima sentazza (Son dernier verdict) (Mario Bonnard) – Sensualità (Sensualité) (Clemente Fracassi) – 1952 Tre storie proibite [3ème épisode] (Histoires interdites) (Augusto Genina) – I sette dell’orsa maggiore (Panique à Gilbratar / Belgique : Sept de la grande ourse) (Duilio Coletti) – La fiammata (Amour et Jalousie) (Alessandro Blasetti) – La tratta delle bianche (La traite des blanches) (Luigi Comencini) – 1953 L’esclave (Yves Ciampi) – Vestire gli ignudi (Vêtir ceux qui sont nus) (Marcello Pagliero) – Destinées [épisode « Elisabeth »] (Marcello Pagliero) – 1953 L’affaire Maurizius (Julien Duvivier) – 1954 Napoléon (Sacha Guitry, rôle coupé au montage final) – 1955 Le amiche (Femmes entre elles) (Michelangelo Antonioni) – Donne sole (Vittorio Sala) – Il prezzo della gloria (Bataille devant Tobrouk / Belgique : Le prix de la gloire) (Antonio Musu) – 1956 Suor Letizia / Il più grande amore (Quand les anges ne volent plus / La dernière tentation) (Mario Camerini ) – Kean, genio e sregolatezza (Kean) (Vittorio Gassman) – 1957 Tous peuvent me tuer (Henri Decoin) – La Tour, prend garde ! (Georges Lampin) – 1958 La strada lunga un anno / Cesta dupa godinu dana (La longue route d’une année) (Giuseppe De Santis) – Le fric (Maurice Cloche) – 1959 Dagli apennini alle Ande (La traversée fantastique) (Folco Quilici) – Vacanze d’inverno (Brèves amours / Belgique : Vacances d’hiver) (Camillo Mastrocinque) – Un maledetto imbroglio / Dedetto imbroglio (Meurtre a l’italienne) (Pietro Germi) – L’estate violente (Été violent) (Valerio Zurlini) – L’impiegato (Gianni Puccini) – Sotto dieci bandiere (Sous dix drapeaux) ( Duilio Coletti) – 1960 David e Golia / David and Goliath (David et Goliath) (Richard Pottier & Ferdinando Baldi) – Schlussakkord / Final de una lucha (Accord final) (Wolfgang Liebeneiner) – Die rote hand (La main rouge) (Kurt Meisel) – La garçonnière (Flagrant délit) (Giuseppe de Santis) – 1961 Caccia all’uomo (Chasse à la drogue) (Riccardo Freda) – Tiro al piccione (Le commando traqué) (Giuliano Montaldo) – Anima nera (Âme noire) (Roberto Rossellini) – 1962 Rosmunda e Alboino / Sword of the conqueror (Le glaive du conquérant) (Carlo Campogalliani) – L’amour à vingt ans [épisode « Rome »] (Renzo Rossellini) – Il giorno più corto (Sergio Corbucci) – I Dongiovanni della Costa Azzura (Paradis de Femmes / Paradis des hommes) (Vittorio Sala) – Der teppich des grauens / Il terrore di notte (Espions sur la Tamise / Le tapis des épouvantes / Espions contre services secrets) (Harald Reinl) – 1963 Das todesauge von Ceylon / Tempesta su Ceylon (Tempête sur Ceylan) (Giovanni Roccardi & Gerd Oswald) – Hipnosis / Ipnosi / Nur tote zeugen schweigen (Le tueur à la rose rouge) (Eugenio Martín) – I treno del sabato (Vittorio Sala) – Amore facile (Gianni Puccini) – El diablo también ilora / Il delitto di Anna Sandoval (José Antonio Nieves Conde) – 1964 Il disco volante (Tinto Brass) – Se permette parliamo di donne (Parlons femmes) (Ettore Scola) – L’idea fissa [épisode « L’ultima carta »] (Mino Guerrini) – Assassinio made in Italy / Il segreto del vestito rosso (Assassinat à Rome) (Silvio Amadio) – 1965 Onkel Toms hütte (La case de l’oncle Tom) (Géza von Radványi) – El último sábado (Pedro Balañá) – Io uccido, tu uccidi [épisode « Il plenilunio »] (Un doigt sur la gâchette) (Gianni Puccini) – Su e giu [épisode « Il colpo del leone » (Mino Guerrini) – The bible… in the beginning (La bible) (John Huston) – 1966 Mano di velluto (Ettore Fecchi) – 1967 L’età del malessere (Giuliano Biagetti) – 1969 Camille 2000 (Camille) (Radley Metzger) – Gli Angeli del 2000 (Hanil Ranieri) – 1970 Il dio chiamato Dorian (Le dépravé / Dorian Gray) (Massimo Dallamano) – Nelle pieghe della carne (Libido / Dans les replis de la chair) (Sergio Bergonzelli). Télévision (notamment) : 1958 Padri e filgli (Guglielmo Morandi) – 1964 La cittadella (Anton Giulio Majano) – 1969 D’Artagnan (Claude Barma).
Bibliographie : « Dizionario del cinema italiano – Le attrici », par Enrico Lancia & Roberto Poppi (Gremese Editore, 2002)
« Ete Violent »
Je ne savais pas tout ça, pour moi, Eleonora Rossi Drago, c’est « Ete violent » de Zurlini, un réalisateur que j’adore et je suis contente de voir qu’on en parle aujourd’hui, enfin. J’avais entendu parler de l’édition d’un coffret DVD avec « Journal intime », « Eté violent » et « La Fille à la valise » mais je crois qu’il faut attendre encore un peu… S’agissant de « Femmes entre elles » d’Antonioni, ça fait un moment que je l’ai repéré, j’attends sa sortie, je crois qu’il a existé en DVD zone 1… Excellent article, merci+++.
« Ete Violent »
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« Ete Violent »
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« Ete Violent »
Je ne savais pas tout ça, pour moi, Eleonora Rossi Drago, c’est « Ete violent » de Zurlini, un réalisateur que j’adore et je suis contente de voir qu’on en parle aujourd’hui, enfin. J’avais entendu parler de l’édition d’un coffret DVD avec « Journal intime », « Eté violent » et « La Fille à la valise » mais je crois qu’il faut attendre encore un peu… S’agissant de « Femmes entre elles » d’Antonioni, ça fait un moment que je l’ai repéré, j’attends sa sortie, je crois qu’il a existé en DVD zone 1… Excellent article, merci+++.
Vous me l’apprenez
J’ai vu il y deux ans « Eté Violent » au cinéma car je voulais surtout voir Eleonora Rossi Drago que j’avais découverte dans « Femmes entre elles » lors d’un cinéma de minuit sur France 3 il y a plusieurs années. J’avais été subjuguée par sa beauté. Elle était l’incarnation de la « femme-femme ». Et c’est vrai que l’on peut se demander pourquoi, elle n’a pas eu une plus grande notoriété.
Vous me l’apprenez
J’ai vu il y deux ans « Eté Violent » au cinéma car je voulais surtout voir Eleonora Rossi Drago que j’avais découverte dans « Femmes entre elles » lors d’un cinéma de minuit sur France 3 il y a plusieurs années. J’avais été subjuguée par sa beauté. Elle était l’incarnation de la « femme-femme ». Et c’est vrai que l’on peut se demander pourquoi, elle n’a pas eu une plus grande notoriété.
Vous me l’apprenez
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Vous me l’apprenez
J’ai vu il y deux ans « Eté Violent » au cinéma car je voulais surtout voir Eleonora Rossi Drago que j’avais découverte dans « Femmes entre elles » lors d’un cinéma de minuit sur France 3 il y a plusieurs années. J’avais été subjuguée par sa beauté. Elle était l’incarnation de la « femme-femme ». Et c’est vrai que l’on peut se demander pourquoi, elle n’a pas eu une plus grande notoriété.
Vous me l’apprenez
J’ai vu il y deux ans « Eté Violent » au cinéma car je voulais surtout voir Eleonora Rossi Drago que j’avais découverte dans « Femmes entre elles » lors d’un cinéma de minuit sur France 3 il y a plusieurs années. J’avais été subjuguée par sa beauté. Elle était l’incarnation de la « femme-femme ». Et c’est vrai que l’on peut se demander pourquoi, elle n’a pas eu une plus grande notoriété.
Pour Eleonora
J’avais 7 ans lorsque je la découvris dans Histoires Interdites, film où se précipitaient tous les émigrés italiens, à Grasse, en 1952, sans doute.
Sa bouche, sur l’affiche de Sensualité, titre tellement mystérieux, et tellement prometteur pour le petit garçon que j’étais, m’avait fasciné.
Je n’ai jamais cessé de l’aimer depuis jusqu’à me rendre à Palerme en 2001 dans l’espérance naïve et vaine de la croiser. Sa mort, quasiment passée sous silence, m’a été comme confisquée, et ma douleur se teinte d’amertume.
Pour la vérité historique, c’est Lucia Bosé qui fut Miss Italie, devant Gina et Gianna Maria Canale, Rossi-Drago ne pouvant de toute façon être élue puisqu’elle était déjà épouse et mère.
Dernier détail, c’est l’impossibilité de divorcer, qui l’a conduite au désespor suicidaire dans les années 70, plus que sa prétendue déchéance.
Avec tous ceux qui l’aiment, je voudrais partager ma tristesse.
Jacques Mandrea, Marseille le 10 Janvier 2008.
Pour Eleonora
J’avais 7 ans lorsque je la découvris dans Histoires Interdites, film où se précipitaient tous les émigrés italiens, à Grasse, en 1952, sans doute.
Sa bouche, sur l’affiche de Sensualité, titre tellement mystérieux, et tellement prometteur pour le petit garçon que j’étais, m’avait fasciné.
Je n’ai jamais cessé de l’aimer depuis jusqu’à me rendre à Palerme en 2001 dans l’espérance naïve et vaine de la croiser. Sa mort, quasiment passée sous silence, m’a été comme confisquée, et ma douleur se teinte d’amertume.
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Dernier détail, c’est l’impossibilité de divorcer, qui l’a conduite au désespor suicidaire dans les années 70, plus que sa prétendue déchéance.
Avec tous ceux qui l’aiment, je voudrais partager ma tristesse.
Jacques Mandrea, Marseille le 10 Janvier 2008.
Pour Eleonora
J’avais 7 ans lorsque je la découvris dans Histoires Interdites, film où se précipitaient tous les émigrés italiens, à Grasse, en 1952, sans doute.
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Avec tous ceux qui l’aiment, je voudrais partager ma tristesse.
Jacques Mandrea, Marseille le 10 Janvier 2008.
Pour Eleonora
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Jacques Mandrea, Marseille le 10 Janvier 2008.
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J’avais 7 ans lorsque je la découvris dans Histoires Interdites, film où se précipitaient tous les émigrés italiens, à Grasse, en 1952, sans doute.
Sa bouche, sur l’affiche de Sensualité, titre tellement mystérieux, et tellement prometteur pour le petit garçon que j’étais, m’avait fasciné.
Je n’ai jamais cessé de l’aimer depuis jusqu’à me rendre à Palerme en 2001 dans l’espérance naïve et vaine de la croiser. Sa mort, quasiment passée sous silence, m’a été comme confisquée, et ma douleur se teinte d’amertume.
Pour la vérité historique, c’est Lucia Bosé qui fut Miss Italie, devant Gina et Gianna Maria Canale, Rossi-Drago ne pouvant de toute façon être élue puisqu’elle était déjà épouse et mère.
Dernier détail, c’est l’impossibilité de divorcer, qui l’a conduite au désespor suicidaire dans les années 70, plus que sa prétendue déchéance.
Avec tous ceux qui l’aiment, je voudrais partager ma tristesse.
Jacques Mandrea, Marseille le 10 Janvier 2008.
VETIR CEUX QUI SONT NUS
Ceux qui ont bien connu Eléonora Rossi Drago s’accordent à dire qu’elle a toujours été dépréssive, obsédée par la peur de vieillir et de s’enlaidir. Eternelle insatisfaite, elle se fit refaire le nez à plusieurs reprises, et cela dès son plus jeune âge. Elle devait tourner « Vêtir ceux qui sont nus » avec Dominique Wilms, alors bombe sexuelle de 18 ans révélée avec fracas par la « Mome vert de Gris ». Eléonora, qui approchait de la trentaine ne le supporta pas , et vandalisa le bureau du producteur, cassant tout ce qui lui tombait sous la main jusqu’à ce que celui accepte d’annuler le contrat de Dominique Wilms qui abandonna le film avec soulagement.
VETIR CEUX QUI SONT NUS
Ceux qui ont bien connu Eléonora Rossi Drago s’accordent à dire qu’elle a toujours été dépréssive, obsédée par la peur de vieillir et de s’enlaidir. Eternelle insatisfaite, elle se fit refaire le nez à plusieurs reprises, et cela dès son plus jeune âge. Elle devait tourner « Vêtir ceux qui sont nus » avec Dominique Wilms, alors bombe sexuelle de 18 ans révélée avec fracas par la « Mome vert de Gris ». Eléonora, qui approchait de la trentaine ne le supporta pas , et vandalisa le bureau du producteur, cassant tout ce qui lui tombait sous la main jusqu’à ce que celui accepte d’annuler le contrat de Dominique Wilms qui abandonna le film avec soulagement.
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Ceux qui ont bien connu Eléonora Rossi Drago s’accordent à dire qu’elle a toujours été dépréssive, obsédée par la peur de vieillir et de s’enlaidir. Eternelle insatisfaite, elle se fit refaire le nez à plusieurs reprises, et cela dès son plus jeune âge. Elle devait tourner « Vêtir ceux qui sont nus » avec Dominique Wilms, alors bombe sexuelle de 18 ans révélée avec fracas par la « Mome vert de Gris ». Eléonora, qui approchait de la trentaine ne le supporta pas , et vandalisa le bureau du producteur, cassant tout ce qui lui tombait sous la main jusqu’à ce que celui accepte d’annuler le contrat de Dominique Wilms qui abandonna le film avec soulagement.
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Ceux qui ont bien connu Eléonora Rossi Drago s’accordent à dire qu’elle a toujours été dépréssive, obsédée par la peur de vieillir et de s’enlaidir. Eternelle insatisfaite, elle se fit refaire le nez à plusieurs reprises, et cela dès son plus jeune âge. Elle devait tourner « Vêtir ceux qui sont nus » avec Dominique Wilms, alors bombe sexuelle de 18 ans révélée avec fracas par la « Mome vert de Gris ». Eléonora, qui approchait de la trentaine ne le supporta pas , et vandalisa le bureau du producteur, cassant tout ce qui lui tombait sous la main jusqu’à ce que celui accepte d’annuler le contrat de Dominique Wilms qui abandonna le film avec soulagement.