Annonce de la mort de Jean-Pierre Cassel. C’était un artiste complet, comédien, mais aussi danseur, il avait connu un grand succès sur la scène internationale dans « Chorus line ». Pour l’anecdote, il avait fait en 1956 de la figuration dans « La route joyeuse », film de Gene Kelly de 1957, mais à l’époque il ne dansait pas encore. Après trois années de cours chez René Simon, il commence sa carrière par de petits rôles. Il est amusant de le retrouver dans » À pied, à cheval et en voiture », mettant en vedette Noël-Noël, en 1957. Il est alors le prototype du jeune premier, face à Jean-Paul Belmondo qui doit se contenter d’un rôle de bon copain. Il devient très vite un jeune premier très demandé au cinéma. Philippe de Broca l’emploie dès 1959 dans des rôles légers et charmeurs, le jeu de Jean-Pierre Cassel étant en parfaite adéquation avec le rythme rapide du cinéaste : « …Philippe est venu me voir en douce au théâtre dans le rôle d’Oscar », que je reprenais après Delon. Ses potes étaient sûrs que mes yeux bleus et mon grand pif allaient lui plaire (rires !) Et ça marché, il m’a proposait le rôle. Le film a signé l’explosion de sa carrière et de la mienne par la même occasion » (1). On le retrouve souvent dans des rôles de naïfs, à l’instar de « Candide », libre adaptation du conte de Voltaire, signé Norbert Carbonnaux. En 1961, il excelle dans le rôle du caporal dans « Le caporal épinglé » signé par un Jean Renoir galvanisé de diriger une troupe de jeunes comédiens. Son personnage cherche à s’évader d’un camp de prisonniers du Nord-est de la France en 1940. Jean-Pierre Cassel confiait à Roger Viry-Babel dans « Jean Renoir, le jeu et la règle » Éditions Denoël, 1986″ : « …Ce qui est merveilleux avec Renoir, c’est le respect qu’il nous manifeste. Avec lui, on ose oser des trucs. On sait que ça peut l’aider, et que si l’on se trompe, il saura vous le faire comprendre sans que l’on se sente ridicule ». Il est idéal pour incarner le panache d’un D’Artagnan, face à José Ferrer en Cyrano, dans « Cyrano et D’Artagnan »(1962), amusant film d’Abel Gance, entièrement écrit en vers ! La comédie reste son domaine de prédilection, il est irrésistible dans le rôle de Gaspard, violoncelliste bougon dont la vie est chamboulée par l’arrivée de Brigitte Bardot dans l’excellent « L’ours et la poupée » (Michel Deville, 1969). Le même année on le retrouve dans une tonalité plus âpre dans « L’année des ombres », dans le rôle d’un résistant frère de Paul Meurisse. Il évoquait les tensions sur le tournage avec Jean-Pierre Melville, dans le bonus DVD du film « Jean-Pierre Melville et l’armée des ombres », même s’il avait eu de bons rapports avec lui. C’est dans les années 70, qu’il trouve des rôles plus graves et plus complexes. Claude Chabrol lui donne le rôle d’un aventurier suffisant et d’une bêtise redoutable, qui essaie de compromettre le personnage de Stéphane Audran qui est en froid avec son beau-père, incarné par Michel Bouquet dans « La rupture » (1970).
Avec Fernando Rey et Paul Frankeur dans « Le charme discret de la bourgeoisie »
Il est formidable en bourgeois suffisant dans le dévastateur « Le charme discret de la bourgeoisie » (Luis Buñuel, 1972). Michel Deville, en 1973, fait de lui un homme boiteux et aigri, manipulant Jean-Louis Trintignant pour transformer un timide employé de banque en « mouton enragé ». Il aime aussi à égratigner son image, comme dans le « Prêt-à-porter » de Robert Altman, où il incarne un « cador » de la mode qui meurt étouffé par un sandwiche face à Marcello Mastroianni. Mais il est toujours dans la nuance, que se soit l’homme d’affaires trouble dans « La truite » (Joseph Losey, 1982), le directeur de l’hôtel homosexuel ballotté par les événements dans « Casque d’or » (Gérard Jugnot, 1993) ou le bourgeois mélomane n’anticipant le drame à venir dans « La cérémonie » (Claude Chabrol, 1995). Au théâtre, il joue Molière, Feydeau, Guitry, Bourdet ou Jean-Claude Brisville sous la direction de Jean Vilar, Jacques Charon ou Jean Meyer, Pierre Dux ou Marcel Bluwal. Il passe avec aisance du théâtre de boulevard « La fille sur la banquette arrière » de Jean-Claude Carrière, en 1983, mise en scène de Pierre Mondy, au drame, comme dans l’adaptation théâtrale du film « Festen », en 2002-2003, mise en scène par Daniel Benoin et Mogens Rukov. En 1999, il adapte, produit et interprète » Le Désenchanté » de Budd Schulberg. Il chante et danse également dans de nombreux spectacles, comme dans « Jean-Pierre Cassel chante et danse Fred Astaire (1994-1995), « Jean-Pierre Cassel fait son petit journal » (1999), « Je n’peux pas vivre sans amour » (2002), dont il tire un album, « Jean-Pierre Cassel chante Serge Gainsbourg » (1985). Il signe également des disques comme « Et maintenant » (Wagram, 2001). Sur la danse, il confiait à Guy Braucourt dans « La revue du cinéma » N°246 de janvier 1971 : « Je trouve qu’il faut faire de la danse comme l’on pratique la compétition sportive, en amateur, comme une activité accessoire et parallèle à autre chose, car le drame de ce métier c’est qu’il accapare entièrement, qu’il arrête complément la vie. Mais il est très important pour un acteur de savoir danser, même si cela ne ne lui sert jamais directement et je pense que pour jouer Shakespeare il est utile de connaître les claquettes. Je ne fais que reprendre là l’opinion de Laurence Olivier qui, recevant un jeune homme venu lui demander des conseils après une représentation de « Jules César », releva sa toge, fit quelques pas de claquette et répondit : « Apprenez cela et peut-être pourrez-vous jouer Shakespeare »… ». Au cinéma, on le retrouve ces dernières années, dans les personnages parfois mutiques, tel le père paralysé à l’oeil inquisiteur d’Olivier Gourmet dans « Congorama » (Philippe Falardeau, 2005), sensible tel son interprétation de l’homme âgé qui tombe amoureux de Françoise Fabian dans la subtile adaptation de l’œuvre de Noëlle Chatelet dans « La femme Coquelicot » pour France 3, ou le père juif déstabilisé par le fait que le compagnon de sa fille soit arabe dans le subtil « Mauvaise foi » (Roschdy Zem, 2005). Il peut être aussi féroce, comme dans « Bunker Paradise » (Stefan Liberski, 2005), où il agresse son dégénéré de fils campé par Jean-Paul Rouve, avec un cynisme inouïe. J’avais eu la chance de le rencontrer lors de l’avant-première du film de Mabrouk El Mechri « Virgil ». Dans ce rôle d’Ernest, ancien boxeur condamné à perpétuité, il offre une excellente composition dans l’extraversion. Je me souviens de sa grande élégance, et de la pudeur qu’il avait pour évoquer sa maladie sans aucune plainte. Il était très malade sur le tournage de « Narco », mais il était toujours disponible pour travailler avec de jeunes metteurs en scène, rencontrés souvent auprès de sa fille Cécile et de ses fils Vincent et Mathias – alias Rockin’Stat, leader du groupe rap « Assassin » -. Il évoquait librement sa carrière dans son livre « À mes amours » (Éditions Stock, 2004), évocation sensible de ses rencontres avec Philippe de Broca et Claude Chabrol, mais aussi avec celle des grands maîtres du cinéma, Luis Buñuel, Jean-Pierre Melville, Robert Altman, Jean Renoir ou Joseph Losey. Ce grand comédien a eu une brillante carrière internationale, sans se préoccuper de l’importance d’un rôle, tout en restant disponible pour les nouveaux talents : « …J’ai toujours fait mon petit bonhomme de chemin en diversifiant mes activités et en choissant selon l’envie. Je suis content de continuer à tourner et de rester sur le qui-vive. Si on axe sa carrière sur la réussite et l’argent, on se plante forcément. Il vaux mieux miser sur le plaisir. » (1) Il va beaucoup nous manquer. Nos pensées vont à sa famille.
(1) Dossier de presse de « Virgil »
Filmographie (initialement élaboré pour le site « Les gens du cinéma ») : 1950 Pigalle St-Germain-des-Prés (André Berthomieu) – 1953 La route du bonheur (Maurice Labro & Giorgio Simonelli) – Un acte d’amour / Act of love (Anatole Litvak) – 1956 The happy road (La route joyeuse) (Gene Kelly) – 1957 La peau de l’ours (Claude Boissol) – À pied, à cheval et en voiture (Maurice Delbez) – Les surmenés (Jacques Doniol-Valcroze, CM) – Comme un cheveu sur la soupe (Maurice Régamey) – Trois pin-up comme ça (Robert Bibal) – 1958 Le désordre et la nuit (Gilles Grangier) – En cas de malheur (Claude Autant-Lara) – Et ta soeur ? (En Belgique : Ma soeur exagère) (Maurice Delbez) – Sacrée jeunesse (André Berthomieu) – Cabriole ou la journée d’une danseuse (Robert Bibal, CM, voix du récitant) – 1959 La marraine de Charley (Pierre Chevalier) – Les jeux de l’amour (Philippe de Broca) – 1960 Le farceur (Philippe de Broca) – Candide (Norbert Carbonnaux) – L’amant de cinq jours (Philippe de Broca) – 1961 Goodbye again ? (Aimez-vous Brahms ?) (Anatole Litvak) – Les sept péchés capitaux [épisode « L’avarice »] (Claude Chabrol) – La gamberge (Norbert Carbonnaux) – Le caporal épinglé (Jean Renoir) – Napoléon II, l’aiglon (Claude Boissol) – 1962 Arsène Lupin contre Arsène Lupin (Édouard Molinaro) – Cyrano et d’Artagnan (Abel Gance) – 1963 Nunca pasa nada (Une femme est passée) (Juan Antonio Bardem) – Alta infedelta (Haute infidélité) [épisode « La sospirose / La jalousie »] (Luciano Salce) – Les plus belles escroqueries du monde [épisode « L’homme qui vendit la Tour Eiffel »] (Claude Chabrol) – 1964 Un monsieur de compagnie (Philippe de Broca) – Those magnificent men in their flying machines (Ces merveilleux fous volants dans leur drôle de machines) (Ken Annakin) – 1965 Les fêtes galantes (René Clair) – Paris brûle-t-il ? (René Clément) – 1966 Jeu de massacre (Alain Jessua) – 1967 Le dolce signore (Pas folles, les mignonnes) (Luigi Zampa) – La révolution d’octobre (Frédéric Rossif, documentaire, voix du récitant) – 1969 Oh ! what a lovely war (Ah ! Dieu que la guerre est jolie) (Richard Attenborough) – L’armée des ombres (Jean-Pierre Melville) – L’ours et la poupée (Michel Deville) – 1970 La rupture (Claude Chabrol) – Le bateau sur l’herbe (Gérard Brach) – 1971 Baxter (En Belgique « R. comme Roger ») (Lionel Jeffries) – Malpertuis (Harry Kümel) – 1972 Le charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel) – Il magnate (Le magnat) (Gianni Grimaldi) – 1973 Le mouton enragé (Michel Deville) – 1974 The three musketeers (Les trois mousquetaires) (Richard Lester) – The four musketeers (La revance de Milady) (Richard Lester) – Murder on the Orient-Express (Le crime de l’Orient-Express) (Sidney Lumet) – 1975 That lucky touch (Le veinard) (Christopher Miles) – Docteur Françoise Gailland (Jean-Louis Bertuccelli) – Les oeufs brouillés (Joël Santoni) – 1976 Folies bourgeoises (Claude Chabrol) – 1977 Who is killing the great chiefs of Europe (La grande cuisine) (Ted Kotcheff) – 1978 Les rendez-vous d’Anna (Chantal Akerman) – Contro 4 bandiere/From hell to victory (De l’enfer à la victoire)(Hank Milestone) – Je te tiens, tu me tiens par la barbichette (Jean Yanne) – 1979 La giacca verde (Le maestro) (Franco Giraldi) – La ville des silences (Jean Marboeuf) – Alicja / Alice (Jacek Bromski & Jerzy Gruza) – Le soleil en face / Les morts de Marat (Pierre Kast) – Grandison (Joachim Kurz, inédit en France) – 5 % de risque (Jean Pourtalé) – 1980 Superman II (Richard Lester, cameo) – 1981 La vie continue (Moshé Mizrahi) – Nudo di donna (Nu de femme) (Nino Manfredi) – La guerrillera (Pierre Kast) – 1982 Ehrengard (Emilo Greco) (+ version TV) – La truite (Joseph Losey) – 1983 Désir (Jean-Paul Scarpitta, inédit) – Vive la sociale (Gérard Mordillat) – 1984 Tranches de vie (François Leterrier) – 1986 Se un giorno busserai alla mia porta (Luigi Perelli, téléfilm parfois diffusé en salles) – 1987 Chouans ! (Philippe de Broca) – Vado a riprendermi il gatto (Giuliano Biagetti) – Migrations / Seobe / La guerre la plus glorieuse (Migrations) (Aleksandar Petrovic, présenté au Festival de Cannes en 1989) – 1988 Mangeclous (Moshé Mizrahi) – The return of the Musketeers (Le retour des mousquetaires) (Richard Lester) – 1989 Mister Frost (Philippe Setbon) – Vincent & Theo (Vincent et Théo) (Robert Altman) (+ version TV) – 1990 The favour, the watch and the very big fish (La montre, la croix et la manière) (Ben Lewin) – 1991 Sur la terre comme au ciel (Marion Hänsel) – The maid (En France, présenté comme un téléfilm sous le titre « Un amour de banquier ») (Ian Toyton) – Aqui d’el Rei ! (António Pedro Vasconcelos) – 1992 Pétain (Jean Marboeuf) – L’oeil écarlate (Dominique Roulet) – Coup de jeune (Xavier Gélin) – Métisse (Mathieu Kassovitz) – Chá forte com limao (Thé noir au citon) (Antonio de Macedo) – 1993 L’enfer (Claude Chabrol) – Casque bleu (Gérard Jugnot) – 1994 Prêt-à-porter (Robert Altman) – 1995 La cérémonie (Claude Chabrol) – Amores que matan (Juan Manuel Chumilla) – Valse nocturne / Valse bleue (Christopher Barry, CM) – Les Bidochon (Serge Korber) – 1996 La lettre (Pierre Anaïs, CM) – 1997 La patinoire (Jean-Philippe Toussaint) – Con rabbia e con amore (Alfredo Angeli) – 1998 Le plus beau pays du monde (Marcel Bluwal) – Trafic d’influence (Dominique Farrugia) – 1999 Sade (Benoît Jacquot) – Les rivières pourpres (Mathieu Kassovitz) – 2002 Michel Vaillant (Louis-Pascal Couvelaire) – À l’abri des regards indiscrets (Ruben Alves & Hugo Gélin, CM) – 2003 The wooden camera (La caméra de bois) (Ntshaveni Wa Luruli) – Narco (Tristan Aurouet Gilles Lellouche) – 2004 Dans tes rêves (Denys Thibaud) – Virgil (Mabrouk El Mechri) – Judas (Nicolas Barry, CM) – 2005 Bunker paradise (Stefan Liberski) – Call me Agostino (Christine Laurent) – Fair play (Lionel Baillu) – J’aurais voulu être un danseur (Alain Berliner) – Congorama (Philippe Falardeau) – Mauvaise foi (Roschdy Zem) – 2006 Où avais-je la tête (Nathalie Donnini) – J’ai plein de projets (Karim Adda, CM) – Astérix aux Jeux Olympiques (Frédéric Forestier) – Contre-enquête (Franck Mancuso) – Acteur (Jocelyn Quivrin, CM) – Le scaphandre et le papillon (Julian Schnabel) – Vous êtes de la police ? (Romuald Beugnon).
Avec Françoise Fabian dans « La femme coquelicot »
Télévision : 1956 La famille Anodin (André Leroux) – 1958 Les cinq dernières minutes : Le théâtre du crime (Claude Loursais) – 1959 La nuit de Tom Brown (Claude Barma) – En votre âme et conscience : L’affaire Benoît (Claude Barma) – Le fameux coup de chapeau (Michel Mitrani) – Les vacances de Brutus (Michel Mitrani) – 1960 La mariage de Figaro ou la folle journée (Marcel Bluwal) – 1966 L’avare (Robert Valey) – Le jeu de l’amour et du hasard (Marcel Bluwal) – 1967 La double inconstance (Marcel Bluwal) – 1969 Mesure pour mesure (Marcel Bluwal) – 1977 L’oeil de l’autre (Bernard Queysanne) – 1978 La giaca verde (Le maestro) (Franco Giraldi) – 199 Love in a cold climate (Donald Mc Whinnie) – 1980 Shillingburry tale (Val Guest) – Ca, ça va plaire (Bernard Lion, + co-réalisation) – La mise à nu (André Gazuts) – Il caso Grasiosi (Michele Massa) – 1982 Le fleuve étincelant (Patrick Bureau) – 1983 Le dernier banco (Claude de Givray) – 1985 La méthode rose (Claude de Givray) – Série noire : La lune d’Omaha (Jean Marboeuf) – Padre Brown (Vittorio de Sisti) – Vous êtes avec moi Victoria (Claude Barma) – Sei delitti per Padre Brown (Vittorio de Sisti) – L’été 36 (Yves Robert) – Se un giorno busserai alla mia porta (Luigi Perelli) – 1985 Liberty (Richard C Sarafian) – Nel gorgo del peccato (Andrea et Antoine Frazzi) – Casanova (Sidney Langton) – Les temps difficiles (Georges Folgoas, captation) – 1987 Talkie walkie (Daniel Moosman) – Sahara secret (Le secret du Sahara) (Alberto Negrin) – A matter of convenience (Le prix à payer) (Ben Lewin) – Sentimental journey (Peter Patzak) – Emma, quatro storie di donne / Una moglie (Carlo Lizzani) – La chaîne (Claude Faraldo) – Tu crois pas si bien dire (Giovanni Fago) – 1989 Le piège infernal (Richard Martin) – The phantom of the Opera (Le fantôme de l’Opéra) (Tony Richardson) – Aqui d’El Rei ! (Lieutenant Lorena) (António-Pedro Vasconcelos) – 1990 Avanti (Patrick Bureau, captation) – Disperatamente Giulia (Enrico Maria Salerno) – The fatal image / French kill (Meutre en vidéo) (Thomas J Wright) – Fantaghirò / Cave of the Golden Rose (La caverne de la rose d’or) (Lamberto Bava) – Une affaire d’état (Jean Marboeuf) – Mountain of diamonds (La montagne de diamants) (Jeannot Szwarc) – Warburg : A man of influence (Warburg, le banquier des princes) (Moshé Mizrahi) – Puissance 4 : Déshabillés fatals (Jean Marboeuf) – 1991 Talky-Walkie : Barbara a du punch Daniel Moosmann) – Haute tension : Adriana (Juan Luis Buñuel) – Salut les coquins (Marcel Zemour) – Notorious (Colin Bucksey) – The Young Indiana Jones Chronicles : Petrograd, July 1917 (Les aventures du jeune Indiana Jones) (Simon Wincer) – De terre et de sang (Jim Goddard) – 1992 La treizième voiture (Alain Bonnot) – Le secret d’Élisa Rhais (Jacques Otmezguine) – 1993 Héritage (Maurice Frydland) – 1994 Le juge est une femme : Dérive mortelle (Claude Grinberg) – 1995 Tatort – Eine todsichere Falle (Vol & envol) (Hans-Christoph Blumenberg) – Le fils de Paul (Didier Grousset) – Le cœur étincelant (Henri Helman) – L’embellie (Charlotte Silvera) – Le match de notre vie (Gareth Davies) – Le neuvième jour (David Delrieux) – 1996 Flairs ennemis (Robin Davis) – Le président et la garde-barrière (Jean-Dominique de la Rochefoucauld) – Un printemps de chien (Alain Tasma) – Les tiers mondains (Éric Civanyan) – 1998 Il cuore e la spada (Le cœur et l’épée) (Fabrizzio Costa) – Les montagnes bleues (Fabrizzio Costa) – Mai con i quadri (Mario Canaio) – Les Cordier, juge et flic : Les tables de la loi (Pascale Dallet) – 1999 Crimes en série : Histoires d’amour (Patrick Dewolf) – Le coup du lapin (Didier Grousset) – 2000 Double emploi (Bruno Carrière) – Rastignac ou les ambitieux (Alain Tasma) – Un pique-nique chez Osiris (Nina Companéez) – Ma vie en l’air (Arnaud Sélignac) – Méditerranée (Henri Helman) – 2001 La memoria e il perdono (Giorgio Capitani) – La faux (Jean-Dominique de la Rochefoucauld) – La chanson du maçon (Nina Companéez) – 2002 La maison du canal (Alain Berliner) – Une deuxième chance (Frédéric Krivine) – 2003 Fabien Cosma : D’un battement de cils (Jean-Claude Sussfeld) – 2004 Menteur ! menteuse ! (Henri Helman) – 2005 La femme coquelicot (Jérôme Foulon) – 2006 Le vrai coupable (Francis Huster).
(2) Petit commentaire : Pour la petite histoire, Jean-Pierre Cassel, ne fait qu’une brève apparition dans « Superman 2 ». J’avais d’ailleurs rajouté son rôle sur la fiche IMDB du film, qui manifestement ignorait sa participation dans ce second opus. Il est assez fréquent de voir un journaliste un peu hâtif, donner une importance à un rôle mineur après avoir consulté cette célèbre base de données.
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d’ou vient le nom Cassel puisque ce netait pas son nom de naissance? et sa mere ne se nommait pas ainsi ?