Annonce de la mort de Peter Boyle, à l’âge de 71 ans, le 12 décembre dernier, après une longue bataille contre des mélanomes et une maladie cardiaque. Notre très chère amie la Camarde continue donc à s’occuper de nos artistes de manière particulièrement insistante ces derniers temps. Si elle continue, je songe à me renommer « le coin du sarcophage »… Il prêtait souvent sa silhouette trapue à des rôles d’américains moyens, capable de canaliser en lui toutes les haines contemporaines. C’est un curieux destin pour un homme qui souhait devenir moine dans l’ordre des « Frères chrétiens »-. Il fut popularisé par son rôle dans « Joe… c’est aussi l’amérique » (John G. Avildsen , 1969), où il représentait une sorte de chantre de l’auto justice, aidant un P.D.G. à se venger de la mort du fils de ce dernier par overdose. Le duo va continuer les meurtres de manière violente. Il est aussi le détective privé engagé par George C. Scott pour retrouver son adolescente de fille disparue dans « Hardcore » (Paul Schrader, 1978). Il est idéal pour être le passeur d’une réalité sordide, malmenant les certitudes d’un père rigoriste et calviniste. Dans « Taxi driver » (Martin Scorsese, 1976), il est mémorable en chauffeur de taxi sentencieux face à Robert de Niro. Conscient de ne pas se laisser enfermer dans un certain type de rôles – il aurait refusé un rôle dans « French connection » selon IMDB -, il alternait des comédies burlesques à des films plus tragiques. Il est inoubliable de gaucherie et de drôlerie en créature de Frankenstein dans l’un des meilleurs films de Mel Brooks « Frankenstein Junior », il fallait le voir danser en frac sur une scène de théâtre. Il était très populaire à la télévision dans la série TV « Tout le monde aime Raymond » de 1996 à 2005, – 5 nominations pour les Emmy, récompense qu’il avait obtenu pour un épisode de X-Files, aux frontières du réel -dans le rôle du père de Ray Romano. Dernièrement il était particulièrement impressionnant en père de Billy Bob Thorton dans « À l’ombre de la haine » (Marc Foster, 2001), transmettant sa haine et son racisme à son fils. Ce comédien qui avait une présence très rare dans le cinéma mondial, marquait durablement les esprits à chacune des ses apparitions. Bibliographie : « Quinlan’s Character Stars », de David Quinlan.
Filmographie : 1966 The group (Le groupe) (Sidney Lumet) – 1968 The virgin president (Graeme Ferguson) – Medium cool (Objectif vérité) (Haskell Wexler) – 1969 The monitors (Jack Shea) – Joe (Joe, c’est aussi l’Amérique (John G. Avildsen) – 1970 Diary of a mad housewife (Journal intime d’une femme mariée) (Frank Perry) – 1971 T.R. Baskin (Rendez-vous avec une fille seule) (Herbert Ross) – 1972 Steelyard Blues (Le monde à l’envers) (Alan Meyerson) – The candidate (Votez McKay) (Michael Ritchie) – FTA (Francine Parker) – 1973 Slither (Howard Zieff) – The friends of Eddie Coyle (Les copains d’Eddie Coyle) (Peter Yates) – Kid Blue (James Frawley) – Ghost in the noonday sun (Peter Medak) – 1974 Crazy Joe (Jo le fou) (Carlo Lizzani) – Young Frankenstein (Frankenstein junior) (Mel Brooks) – Swashbuckler (Le pirate des Caraïbes) (James Goldstone) – Taxi Driver (Id) (Martin Scorsese) – 1978 Hardcore (Id) (Paul Schrader) – F.I.S.T. (Id) (Norman Jewison) – 1979 Beyond the Poseidon adventure (Le dernier secret du Poseïdon) (Irwin Allen) – The Brink’s job (Têtes vodes cherchent coffre plein (William Friedkin) – In god we tru$t (La bible ne fait pas le moine) (Marty Feldman) – 1980 Where the buffalo roam (Art Linson) – Hammett (Id) (Wim Wenders) – 1981 Outland (Outland… loin de la terre) (Peter Hyams) – Group madness (Michael Mileham & Phillip Schuman, documentaire) – 1983 Yellowbeard (Barbe d’or et les pirates) (Mel Damsky) – 1984 Johnny Dangerously (Johnny le dangereux) (Amy Heckerling) – 1985 Turk 182 ! (Bob Clark) – 1987 Surrender (Cordes et discordes) (Jerry Belson) – 1986 Walker (Id) (Alex Cox) – Red heat (Double détente) (Walter Hill) – Funny (Bran Ferren, documentaire) – The in crowd (Un destin pour deux) (Mark Rosenthal) – Speed zone (Vidéo : Cannonball III) (Jim Drake) – 1989 The dream team (Une journée de fou) (Howard Zieff) – 1990 Men of respect (Un homme à respecter) (William Reilly) – Solar crisis / Kuraishisu niju-goju nen (Richard C. Sarafian) – 1991 Nervous tick (Rocky Lang) – Kickboxer II: The road back (Kickboxer II: Le successeur) (Albert Puyn) – 1992 Honeymoon in Vegas (Lune de miel à Las Vegas) (Andrew Bergman) – Death and the compass / La muerta y la brújula (Alex Cox) – Malcolm X (Id) (Spike Lee) – 1994 Exquisite tenderness (Vidéo : Clinic) (Carl Schenkel) – The shadow (Id) (Russell Mulcahy) – Killer / Bulletproof heart (Mark Malone) – The Santa Clause (Super Noël) – 1995 While you were sleeping (L’amour à tout prix) (Jon Turtleltaub) – Born to be wild (Vidéo : Drôle de singe) (John Gray) – 1996 Surrogate mother / Final vendetta (Les griffes de la cigogne) (René Eram) – 1997 That darn cat (Le nouvel espion aux pattes de velours) (Bob Spiers) – 1998 Milk & Money (Michael Bergmann) – Doctor Dolittle (Dr. Doolittle) (Betty Thomas) – Species II (La mutante II) (Peter Medak) – 2001 Monster’s ball (À l’ombre de la haine) (Marc Foster) – Neko no ongaeshi (Le royaume des chats) (Hiroyuki Morita, animation, voix de la version américaine) – 2002 The adventures of Pluto Nash (Pluto Nash) (Ron Underwood) – The Santa Clause 2 (Hyper Noël) (Michael Lembeck) – Bitter jester (Maija Di Giorgio, documentaire) – 2003 Imagine New York (Peter Putka, CM) – A decade under the influence (Une décade sous influence) (Ted Demme & Richard LaGravenese, documentaire) – Scooby -Doo 2: Monsters unleashed (Scooby Doo 2 : les monstres se déchaînent) (Raja Gosnell) – 2006 The Santa Clause 3 : The escape Clause (Super Noël méga givré – Super Noël 3) (Michael Lembeck) – Shadows of Atticus (Dennis Fallon) – 2008 All road lead home (Dennis Fallon).
L’homme appartient à quelques grands souvenirs des années 70 : le tentateur de Redford dans The Candidate/Votez Mc Kay, il parvient à persuader Robert de se lancer dans la carrière politique en lui tendant une pochette d’allumettes sur la quelle il a inscrit « You loose ». Convaincu qu’il perdra les élections, Redford accepte. Ce film de Michael Ritchie est l’un des rares films politiques intelligents et fouillés de l’époque et on peut dire que les nanars ont illustré le genre, guettez-le sur TCM, qui semble l’aimer beaucoup (si vous supportez le logo en haut à droite). Autre coup d’éclat : The Brink’s Job, seule comédie de William Friedkin (ah oui si, Les Garçons De La Bande, passons…) où il est le commanditaire du coup, trés rigolo film à la reconstitution historique impressionnante, Peter Falk grandiose aussi.
The Friends Of Eddie Coyle/Les Amis… de Yates est l’un des polars les plus déprimants et les moins spectaculaires de l’histoire du cinéma, personne n’accepterait de produire un truc pareil à Hollywood en 2006 (sauf un indépendant à la rigeur…).
Boyle a un rôle trés intéressant dans Hardcore de Schrader, détective privé matérialiste et sans illusion, engagé par GC Scott pour retrouver sa fille, il reçoit de Scott une leçon de morale et en retour, donne à celui-ci une leçon de lucidité et de pragmatisme. Le personnage paraît au départ minable mais une dimension humaine surgit en fin de film (il dit gentiment à Scott : « Rentre chez toi, pèlerin, c’est pas ton monde, ici… »).
Je n’ai jamais réussi à voir le fameux Joe, de Avildsen, et je voudrais bien revoir Kid Blue, western rigolo de Frawley avec Dennis Hopper.
Autres pierres blanches avec Boyle : Hammett de Wenders (quand Wenders fait un polar traditionnel, il évite intelligemment de nous barber, pourquoi il ne fait pas que ça?), Slither, de Howard Zieff, petite perle à mourir de rire dans lequel James Caan est superbe (et Richard B Shull itou, qui ouvre le film en chantant à tue-tête une ritournelle complètement crétine) : TCM l’aime aussi, celui-là! Et Outland de Hyams, est un film d’aventures assez excitant.
Après la période faste des 70, je perds sa trace, beaucoup de TV, et pas que les 5 épisodes de New York Police Blues…
Dans certaines scènes de dialogue, le strabisme convergent de Peter Boyle, quand le champ (ou le contrechamp, comme on veut…) était sur lui bien sûr, et alors qu’il fixait son interlocuteur, disait : « Je t’offre le monde sur un plateau, mais tu m’offres tout ton sens de la morale, toute ta conscience du bien et du mal, en échange? Tope là? C’est un marché? ».
Le diable, probablement… Adieu, mr Boyle.
(Au fait, il a bien roulé Redford, qui finit par gagner les élections à son grand dam).
L’homme appartient à quelques grands souvenirs des années 70 : le tentateur de Redford dans The Candidate/Votez Mc Kay, il parvient à persuader Robert de se lancer dans la carrière politique en lui tendant une pochette d’allumettes sur la quelle il a inscrit « You loose ». Convaincu qu’il perdra les élections, Redford accepte. Ce film de Michael Ritchie est l’un des rares films politiques intelligents et fouillés de l’époque et on peut dire que les nanars ont illustré le genre, guettez-le sur TCM, qui semble l’aimer beaucoup (si vous supportez le logo en haut à droite). Autre coup d’éclat : The Brink’s Job, seule comédie de William Friedkin (ah oui si, Les Garçons De La Bande, passons…) où il est le commanditaire du coup, trés rigolo film à la reconstitution historique impressionnante, Peter Falk grandiose aussi.
The Friends Of Eddie Coyle/Les Amis… de Yates est l’un des polars les plus déprimants et les moins spectaculaires de l’histoire du cinéma, personne n’accepterait de produire un truc pareil à Hollywood en 2006 (sauf un indépendant à la rigeur…).
Boyle a un rôle trés intéressant dans Hardcore de Schrader, détective privé matérialiste et sans illusion, engagé par GC Scott pour retrouver sa fille, il reçoit de Scott une leçon de morale et en retour, donne à celui-ci une leçon de lucidité et de pragmatisme. Le personnage paraît au départ minable mais une dimension humaine surgit en fin de film (il dit gentiment à Scott : « Rentre chez toi, pèlerin, c’est pas ton monde, ici… »).
Je n’ai jamais réussi à voir le fameux Joe, de Avildsen, et je voudrais bien revoir Kid Blue, western rigolo de Frawley avec Dennis Hopper.
Autres pierres blanches avec Boyle : Hammett de Wenders (quand Wenders fait un polar traditionnel, il évite intelligemment de nous barber, pourquoi il ne fait pas que ça?), Slither, de Howard Zieff, petite perle à mourir de rire dans lequel James Caan est superbe (et Richard B Shull itou, qui ouvre le film en chantant à tue-tête une ritournelle complètement crétine) : TCM l’aime aussi, celui-là! Et Outland de Hyams, est un film d’aventures assez excitant.
Après la période faste des 70, je perds sa trace, beaucoup de TV, et pas que les 5 épisodes de New York Police Blues…
Dans certaines scènes de dialogue, le strabisme convergent de Peter Boyle, quand le champ (ou le contrechamp, comme on veut…) était sur lui bien sûr, et alors qu’il fixait son interlocuteur, disait : « Je t’offre le monde sur un plateau, mais tu m’offres tout ton sens de la morale, toute ta conscience du bien et du mal, en échange? Tope là? C’est un marché? ».
Le diable, probablement… Adieu, mr Boyle.
(Au fait, il a bien roulé Redford, qui finit par gagner les élections à son grand dam).
L’homme appartient à quelques grands souvenirs des années 70 : le tentateur de Redford dans The Candidate/Votez Mc Kay, il parvient à persuader Robert de se lancer dans la carrière politique en lui tendant une pochette d’allumettes sur la quelle il a inscrit « You loose ». Convaincu qu’il perdra les élections, Redford accepte. Ce film de Michael Ritchie est l’un des rares films politiques intelligents et fouillés de l’époque et on peut dire que les nanars ont illustré le genre, guettez-le sur TCM, qui semble l’aimer beaucoup (si vous supportez le logo en haut à droite). Autre coup d’éclat : The Brink’s Job, seule comédie de William Friedkin (ah oui si, Les Garçons De La Bande, passons…) où il est le commanditaire du coup, trés rigolo film à la reconstitution historique impressionnante, Peter Falk grandiose aussi.
The Friends Of Eddie Coyle/Les Amis… de Yates est l’un des polars les plus déprimants et les moins spectaculaires de l’histoire du cinéma, personne n’accepterait de produire un truc pareil à Hollywood en 2006 (sauf un indépendant à la rigeur…).
Boyle a un rôle trés intéressant dans Hardcore de Schrader, détective privé matérialiste et sans illusion, engagé par GC Scott pour retrouver sa fille, il reçoit de Scott une leçon de morale et en retour, donne à celui-ci une leçon de lucidité et de pragmatisme. Le personnage paraît au départ minable mais une dimension humaine surgit en fin de film (il dit gentiment à Scott : « Rentre chez toi, pèlerin, c’est pas ton monde, ici… »).
Je n’ai jamais réussi à voir le fameux Joe, de Avildsen, et je voudrais bien revoir Kid Blue, western rigolo de Frawley avec Dennis Hopper.
Autres pierres blanches avec Boyle : Hammett de Wenders (quand Wenders fait un polar traditionnel, il évite intelligemment de nous barber, pourquoi il ne fait pas que ça?), Slither, de Howard Zieff, petite perle à mourir de rire dans lequel James Caan est superbe (et Richard B Shull itou, qui ouvre le film en chantant à tue-tête une ritournelle complètement crétine) : TCM l’aime aussi, celui-là! Et Outland de Hyams, est un film d’aventures assez excitant.
Après la période faste des 70, je perds sa trace, beaucoup de TV, et pas que les 5 épisodes de New York Police Blues…
Dans certaines scènes de dialogue, le strabisme convergent de Peter Boyle, quand le champ (ou le contrechamp, comme on veut…) était sur lui bien sûr, et alors qu’il fixait son interlocuteur, disait : « Je t’offre le monde sur un plateau, mais tu m’offres tout ton sens de la morale, toute ta conscience du bien et du mal, en échange? Tope là? C’est un marché? ».
Le diable, probablement… Adieu, mr Boyle.
(Au fait, il a bien roulé Redford, qui finit par gagner les élections à son grand dam).
L’homme appartient à quelques grands souvenirs des années 70 : le tentateur de Redford dans The Candidate/Votez Mc Kay, il parvient à persuader Robert de se lancer dans la carrière politique en lui tendant une pochette d’allumettes sur la quelle il a inscrit « You loose ». Convaincu qu’il perdra les élections, Redford accepte. Ce film de Michael Ritchie est l’un des rares films politiques intelligents et fouillés de l’époque et on peut dire que les nanars ont illustré le genre, guettez-le sur TCM, qui semble l’aimer beaucoup (si vous supportez le logo en haut à droite). Autre coup d’éclat : The Brink’s Job, seule comédie de William Friedkin (ah oui si, Les Garçons De La Bande, passons…) où il est le commanditaire du coup, trés rigolo film à la reconstitution historique impressionnante, Peter Falk grandiose aussi.
The Friends Of Eddie Coyle/Les Amis… de Yates est l’un des polars les plus déprimants et les moins spectaculaires de l’histoire du cinéma, personne n’accepterait de produire un truc pareil à Hollywood en 2006 (sauf un indépendant à la rigeur…).
Boyle a un rôle trés intéressant dans Hardcore de Schrader, détective privé matérialiste et sans illusion, engagé par GC Scott pour retrouver sa fille, il reçoit de Scott une leçon de morale et en retour, donne à celui-ci une leçon de lucidité et de pragmatisme. Le personnage paraît au départ minable mais une dimension humaine surgit en fin de film (il dit gentiment à Scott : « Rentre chez toi, pèlerin, c’est pas ton monde, ici… »).
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L’homme appartient à quelques grands souvenirs des années 70 : le tentateur de Redford dans The Candidate/Votez Mc Kay, il parvient à persuader Robert de se lancer dans la carrière politique en lui tendant une pochette d’allumettes sur la quelle il a inscrit « You loose ». Convaincu qu’il perdra les élections, Redford accepte. Ce film de Michael Ritchie est l’un des rares films politiques intelligents et fouillés de l’époque et on peut dire que les nanars ont illustré le genre, guettez-le sur TCM, qui semble l’aimer beaucoup (si vous supportez le logo en haut à droite). Autre coup d’éclat : The Brink’s Job, seule comédie de William Friedkin (ah oui si, Les Garçons De La Bande, passons…) où il est le commanditaire du coup, trés rigolo film à la reconstitution historique impressionnante, Peter Falk grandiose aussi.
The Friends Of Eddie Coyle/Les Amis… de Yates est l’un des polars les plus déprimants et les moins spectaculaires de l’histoire du cinéma, personne n’accepterait de produire un truc pareil à Hollywood en 2006 (sauf un indépendant à la rigeur…).
Boyle a un rôle trés intéressant dans Hardcore de Schrader, détective privé matérialiste et sans illusion, engagé par GC Scott pour retrouver sa fille, il reçoit de Scott une leçon de morale et en retour, donne à celui-ci une leçon de lucidité et de pragmatisme. Le personnage paraît au départ minable mais une dimension humaine surgit en fin de film (il dit gentiment à Scott : « Rentre chez toi, pèlerin, c’est pas ton monde, ici… »).
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Peter’s friends
Bravo pour ces mots au grand Peter si sous-employé.Je t’envoie ce lien trouvé par un extraordinaire hasard aujourd’hui même en pianotant sur un de mes groupes cultes,Procol Harum.(pas sûr que ça marche)
Peter’s friends
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… de la lecture
cher coin du cinéphage, bonjour et donc me voici sur ton blog… mon dieu… là il y a de quoi lire… comme je ne vais plus trop au cinéma ces derniers temps (et je me mords les doigts) je vais savoiurer tes chroniques pour une remise à jour rapido… à plus et rais de t’avoir rencontrer hier soir… – bon dimanche
– christo
… de la lecture
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– christo
sar[c|k]o-phage
Dans le cadre des nécrologies diverses et variables, celle de LLM devrait trouver sa place; et ne me dis pas quil « ne fait pas son cinéma » 🙂
http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftZHm.html
sar[c|k]o-phage
Dans le cadre des nécrologies diverses et variables, celle de LLM devrait trouver sa place; et ne me dis pas quil « ne fait pas son cinéma » 🙂
http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftZHm.html
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Sympa ton blog. Si on échangeais nos liens ?
Viandox
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Je ne savais même pas que tu avais changé d’hébergeur. Moi je suis revenue sur 20six, parce que j’ai plus envie de passer mon temps à écrire qu’à faire de l’informatique …
A bientôt !
Je ne savais même pas que tu avais changé d’hébergeur. Moi je suis revenue sur 20six, parce que j’ai plus envie de passer mon temps à écrire qu’à faire de l’informatique …
A bientôt !
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