Le coin du cinéphage
Le coin du cinéphage
  • À propos
  • Rejoignez-nous sur Facebook →
Le
Le coin du cinéphage
  • À propos
  • Rejoignez-nous sur Facebook →
  • Accueil
  • FILMS
  • VOYAGE AU BOUT DE L’ENNUI : CASHBACK

VOYAGE AU BOUT DE L’ENNUI : CASHBACK

24 janvier 2007 16 Commentaires Ecrit par

« Il faut bien convenir que, Freud ou pas Freud, une grande œuvre nous plaît ou nous émeut parce qu’elle touche en nous un complexe inconscient », disait Gaston Bachelard. Mais que dire quand ce fichu « complexe inconscient » (je sais, la culture, moins on en a, plus on l’étale…), ne vous raconte rien quand vous assistez à un curieux cocktail de prétention et de puérilités potaches ? J’ai traversé un petit bout de vie, sans trop de certitudes, mais je croyais au  moins s’avoir ce que c’était l’ennui. C’était avant de voir « Cashback », film inter(minable), qui tient de l’épreuve, tant rien, mais vraiment rien n’accrochait mon esprit (enfin ce qu’il en reste). Le tâcheron, un certain Sean Ellis, anglais au physique d’ado attardé, est un photographe de mode, qui a travaillé au cinéma – pas besoin de lire son pedigree pour le savoir, son « savoir-faire » s’étale suffisamment sur l’écran pour le deviner –. L’histoire semble venir d’un de ses vieux devoirs d’école, nouvelle fantastique laborieuse où l’on rêve de geler les choses, ou alors le zigue est resté bloqué dans son adolescence. Il a juste développé un court-métrage qu’il avait déjà fait, en prime, il existe une version longue du film heureusement restée au placard. Quelque part, il a réussi à  retransmettre l’impression de l’interminable traversée du tunnel au sortir de l’adolescence. Car à l’instar de son personnage, un jeune étudiant aux Beaux-arts – Sean Biggerstaff, tête de minaud, échappé des versions filmées des « Harry Potter » -, il arrive à transformer les minutes en siècles ! Le personnage a, en effet, trouvé le moyen d’arrêter le temps, en employant une touche pause mentale, glaçant l’instant présent. Il illustre cette idée en vous sidérant de vacuités. Ce qui est curieux, c’est la subjectivité de l’ennui, le film semble plaire, mais rien à faire de reste hermétique. Il a même reçu  le prix CICAE au Festival du Film International de San Sebastian en 2006, – c’est un festival sous acide ? -, alors qu’à tout casser, il devait tout rafler aux « Razzy award », catégorie films lamentable.

Emilia Fox, nouveau, le film interactif, où comment s’ennuyer en même temps que les personnages…

L’histoire tiendrait sur un timbre-poste, Ben se fait plaquer par sa copine Suzy qui lui hurle dessus au ralenti – pépère Ellis est tellement content de sa trouvaille, qu’il nous la ressert dans la dernière partie du film… (pardon de ce salmigondis).. Devenu insomniaque – il ne dort plus du tout d’ailleurs, heureusement pour lui, un des spectateurs, ronflait ferme, je n’ai pas eu cette chance, j’ai dû mal à dormir dans les lieux publics -. Ben s’emmerde – et nous avec…-, il décide de travailler dans le supermarché du coin, régi par un chauve suffisant, échappé d’un film de Luc Besson tant il flirte avec le vide abyssal – c’est qu’il est doué le Besson, il a quand même transformé Mia Farrow en zombie dans son « dernier » avatar de cinéaste -. Deux post-ados s’amusent en faisant des farces d’une rare stupidité, Ben s’attache à l’une des caissières la sensible Sharon – Emilia Fox, la seule du lot à ne pas avoir l’air d’une endive -. Oui je sais, c’est méchant pour les endives, je vous recommande un site endive.net http://www.endive.net/, pour vérifier ma mauvaise foi évidente. Bon  Ben, libidineux, c’est de son âge, arrête le temps et peint nues, les clientes de la supérette. L’érotisme de David Hamilton est du niveau d’un Antonioni, en comparaison de la vision de Ellis – hélas est là -, qui se paie le luxe de n’avoir strictement aucune inventivité. Pour meubler l’ennui, j’ai donc tenté de trouver au moins une belle idée, un beau plan, un truc qui ne me pas regretter ma soirée. C’est vrai quand on tombe dans l’ineptie la plus totale, comme chez Josée Dayan ou dans la campagne électorale actuelle d’une grande tenue, le ricaneur finit toujours par tomber sur quelque chose. J’ai fini par trouver, le personnage du gérant chauve, a des pellicules sur sa veste ! et mon esprit tortueux se met en branle, est-ce volontaire, l’acteur a t’il mit un blouson d’un autre en dernière minute, bref c’est une énigme et au moins ça meuble. On trouvait François Truffaut injuste quand il disait : « On peut se demander s’il n’y a pas incompatibilté entre le mot cinéma et le mot Angleterre », on sait désormais qu’au moins sur ce film cette déclaration toniturante colle parfaitement.

FILMS
Cashback, Film
Fragments d’un dictionnaire amoureux : Olivier Gourmet
ZONE LIBRE

16 Commentaires

  1. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  2. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  3. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  4. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  5. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  6. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  7. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  8. jamie jamie
    21 février 2007    

    Je te trouve particulièrement dur sur ce film. Ce n’est surement pas un chef d’oeuvre mais Cashback est un film tout à fait mignon qui bénéficie d’une photographie admirable. Je pense que c’est un film pour teenager, assez naif mais en même temps touchant pour ça.

    Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j’ai trouvé ca beau visuellement et assez drole (meme si c’est souvent potache il faut bien l’avouer).

    On retrouve bien l’état d’un jeune etudiant en pleine rupture. Cute movie avec des acteurs très sympathiques.

    Reply
  9. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply
  10. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply
  11. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply
  12. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply
  13. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply
  14. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply
  15. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply
  16. Nico Nico
    31 octobre 2008    

    Et pourtant « Brazil » est un film anglais !

    Je pense également que tu as fait fausse route face à ce film.
    En fin de ton commentaire je ne vois toujours pas où tu veux en venir.

    En effet c’est les yeux grands ouverts mais l’esprit vagabondant qu’il faut regarder ce film.
    Il parle en fait de contemplation …
    Le fait qu’il te paraît long et chiant vient principalement du parti pris de recréer la réalité, la vraie.
    Et justement d’y trouver un intérêt capital dans l’appréciation du moment. Et pour cela, le film est servi par une photographie et une bande son qui saute littéralement aux yeux (la bande son également)
    Voilà pourquoi je pense que tu es passé à coté de ce film.

    Mais il semble que notre appréciation soit diamétralement opposée car je trouve le jeu du jeune Sean Biggerstaff plutôt juste. Et personnellement j’adore les sourires qu’il arbore sur ses anciennes photos avec son ex car le contraste est tellement fort avec son visage dans le film, cela m’a marqué !

    See ya flingueurs !
    Nico

    Reply

Laisser un commentaire Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Blog d’humeurs et d’informations sur le cinéma et la télévision : bios, filmos, articles, base de liens, hommages, commentaires, bref c’est du foutraque… Les citations sont en italiques, si un article de presse, ou d’un livre vous paraît être publié ici de manière abusive, de même pour les photographies ou les captures d’écrans, merci de me le signaler.

Contenu sous licence

Le contenu du site « Le coin du cinéphage » est la propriété de son auteur. 2005-2016 Tous droits réservés Christian Léciagueçahar.
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons « Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 2.0 France. »

Catégories

  • Abécédaire des comédiens français
  • Base de liens
  • Divers
  • FILMS
  • Fragments d'un dictionnaire amoureux
  • Index général
  • Intervenants extérieurs
  • Le coin des livres
  • Non classé
  • R.I.P.
  • Télévision

Blogs cinémas

  • 1001 films
  • Alexandre Mathis
  • Artcancre
  • Bijouterie du spectacle
  • Blancan… journal d'un comédien
  • Blog sur le doublage
  • Bogart (La comtesse)
  • Box office story
  • Cinécure
  • Cinématique
  • Comédie italienne
  • Dans l'ombre des studios
  • Dasola
  • DVD Blog (Bertrand Tavernier)
  • Films du Québec
  • Focale
  • Fritz Langueur
  • Inisfree
  • La chasse aux erreurs
  • Le blog de M. Bier
  • Le blog de Serge Toubiana
  • Le journal cinéma du docteur Orloff
  • Le vieux monde qui n'en finit pas
  • Les films libèrent la tête
  • Matière focale
  • Mister Arkadin
  • Nightswimming
  • Parallax view (Jean-Baptiste Thoret)
  • Série Bis
  • Sinezfil
  • Télé 70
  • Zines

Blogs divers

  • BD-René
  • Casaploum
  • Cyril Lazaro
  • Kzerphii Toomk
  • L'ange du bizarre (Jean-Pierre Dionnet)
  • La cave du docteur Orloff
  • Le blogue de Tilly
  • Le journal d'une dériveuse
  • Marche à Londres
  • Patrick Dion
  • Schleuder

Sites de cinéma

  • Base de Données de Films Français
  • Bifi
  • Calindex
  • Ciné-club de Caen
  • Cinéclap
  • Cinéfiches
  • DVD Classik
  • Encyclo-Ciné
  • Forum sur le doublage
  • French soundtracks
  • INA
  • L'@ide-Mémoire
  • L'encinémathèque
  • Les gens du cinéma
  • Nanarland
  • Retour à Yuma
  • Revues de cinéma
  • VHSDB

Wordpress

  • Documentation
  • Plugins
  • Suggest Ideas
  • Support Forum
  • Themes
  • WordPress Blog
  • WordPress Planet

Commentaires récents

  • BENOIT dans L’OMBRE D’UNE CHANCE
  • gaug christian dans Hommage à Serge Davri par Yvan Foucart
  • Florence DELAROCHE dans MORT DE FRANÇOIS CADET
  • Norbert dans MORT DE FRANÇOIS CADET
  • bosquier christiane dans Hommage à Serge Davri par Yvan Foucart

Archives

  • octobre 2016
  • février 2016
  • octobre 2015
  • juin 2015
  • janvier 2015
  • mars 2014
  • avril 2013
  • novembre 2012
  • octobre 2012
  • mai 2012
  • novembre 2011
  • août 2011
  • avril 2011
  • mars 2011
  • février 2011
  • janvier 2011
  • juillet 2010
  • juin 2010
  • mai 2010
  • avril 2010
  • mars 2010
  • février 2010
  • janvier 2010
  • décembre 2009
  • novembre 2009
  • octobre 2009
  • septembre 2009
  • août 2009
  • juillet 2009
  • juin 2009
  • mai 2009
  • avril 2009
  • mars 2009
  • février 2009
  • janvier 2009
  • novembre 2008
  • octobre 2008
  • septembre 2008
  • août 2008
  • juillet 2008
  • juin 2008
  • mai 2008
  • avril 2008
  • mars 2008
  • février 2008
  • janvier 2008
  • décembre 2007
  • novembre 2007
  • octobre 2007
  • septembre 2007
  • août 2007
  • juillet 2007
  • juin 2007
  • mai 2007
  • avril 2007
  • mars 2007
  • février 2007
  • janvier 2007
  • décembre 2006
  • novembre 2006
  • octobre 2006
  • septembre 2006
  • août 2006
  • juillet 2006
  • juin 2006
  • mai 2006
  • avril 2006
  • mars 2006
  • février 2006
  • janvier 2006
  • décembre 2005
  • novembre 2005
  • octobre 2005
  • septembre 2005
  • août 2005
  • juillet 2005
  • juin 2005
  • mai 2005
  • avril 2005
  • mars 2005

Mots-clefs

4 3 2 1 Objectif lune 5 X 2 13 Tzameti ABC du cinéma français Adieu Cuba A dirty shame A history of violence A l'intérieur Avant-première A vot'bon coeur Base de liens Bug ! Christophe Bier Cinéma Jean Vigo Cinérotica Clair Claude Chabrol Connu mais pas reconnu Dans le collimateur Dictionnaire des comédiens disparus Dominique Zardi Edy Film Fragments d'un dictionnaire amoureux François Berléand Georges Wilson IMDB Joutes du cinéma L'aide-mémoire d'Armel de Lorme L'ivresse du pouvoir La ferme Le coin des dictionnaires Le coin du grogneau Le coin du nanar Le dictionnaire des comédiens disparus Le dictionnaire des comédiens français disparus Les films qui rendent scrogneugneu Les rois maudits (Dayan) Mocky circus Pages caviardées Paul Vecchiali Pierre Vaneck R.I.P. Télévision Yvan Foucart

Pages

  • À propos

Méta

  • Connexion
  • Flux RSS des articles
  • RSS des commentaires
  • Site de WordPress-FR

evolve theme by Theme4Press  •  Powered by WordPress