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Fragments d’un dictionnaire amoureux : Bernard Musson

4 mai 2008 64 Commentaires Ecrit par Coinducinephage

Photo : Dominique Brétécher

 

 

Parmi les prolifiques du cinéma français, il y a un comédien qui a une place particulière, c’est Bernard Musson. Il est assez vain de tenter de faire son portrait après celui excellent fait par Etienne Colson dans « La lettre des comédiens », mais je tente tout de même. Ce portrait formidablement rédigé était important, car ce comédien était oublié des dictionnaires, dans la foulée Jean Tulard s’en sert pour le faire figurer dans son dictionnaire. Colson rapportait un extrait du livre de Frédéric Dard, « Les oreilles et la queue » (1984), où il parlait du comédien, on peut le retrouver dans les mémoires du comédien consultables, initiative intéressante sur le web, avis aux éditeurs… . Dès le début des années 50, on le remarque, même s’il est souvent l’un des éternels non crédités des génériques. De par sa prestance et son côté incisif, il transforme la moindre de ses figurations en véritable rôle. Il est vrai qu’il a une tête de plus que tout le monde, on ne voit que lui par exemple dans « Les dents longues », quand il figure en journaliste fumeur. On trouve toujours un film à rajouter à sa filmographie, au détour d’une diffusion du câble, on le découvre ainsi en unique client d’un magasin d’électroménager d’un petit village dans « C’est arrivé à 36 chandelles », que l’on imagine presque installé à demeure. Sa voix est aussi très familière, il n’est pas rare de l’entendre au cours d’un doublage de film. Le premier réflexe est de le chercher parmi les domestiques, les valets, les laquais, les majordomes ou les concierges d’hôtel. Il est souvent l’huissier présentant le petit monde des élites à la cantonade, on le voit ainsi à Matignon dans « Chacal » version Zinnemann ou dans une cérémonie huppée dans « Comment épouser un premier ministre ». On n’en finit plus de le répertorier dans ce type d’emploi, sa voix aide à le reconnaître quand il le portier d’un casino que visite Jean Gabin, caché dans la pénombre ! Il est souvent zélé comme dans « Les bonnes causes » (1962), où il figure le domestique d’un homme assassiné. Ne dormant que d’un oeil, il se lève bien entendu au moindre bruit suspect, perçoit ainsi des secrets d’alcôves compromettants, et livre allégrement ses informations à la police. On le retrouve aussi en réceptionniste d’un hôtel, face à Cary Grant dans « Charade » (1962), où découvrant des impacts de balles, il imagine son interlocuteur en voyeur. Tout en bouchant les trous, il lui conseille de se servir plutôt du traditionnel trou de serrure. Dans ce film, il dort très peu également, affalé sur un fauteuil mais aux aguets il finira par découvrir un cadavre dans un ascenseur. Il est souvent dans le contrôle, comme dans l’un des sketches « Le repas gastronomique » dans « Les veinards » où il est un maître d’hôtel qui régente, avec Jean-Henri Chambois, une séance gastronomique et photographique, face à un France Blanche complètement dépassé, tout en vérifiant constamment son nœud pap’. Mais loin de n’être qu’un serviteur obséquieux, il est parfois mordant et sardonique, comme dans « Les lions sont lâchés » (1961), où il est au service de sa patronne jouée par Danielle Darrieux, tout en s’amusant visiblement de ses excentricités. Henri Verneuil en fait l’un de ses acteurs fétiches, lui donnant des rôles mémorables comme celui de Pommier dans « La vache et le prisonnier » (1959), en prisonnier hâbleur et frustre – il faut le voir manger de la soupe -. Son personnage est très réjouissant, se définissant comme connaisseur en femmes … et en vaches, la vérité sera tout autre… Citons le aussi, au début de « Mélodie en sous-sol » (1962) en passager banlieusard d’un train, regrettant ses vacances et faisant un redoutable raccourci du Parthénon aux constructions modernes dans la langue d’Audiard. On le voit aussi camper des affreux de tous poils, dans « Les misérables » version Le Chanois (1957), il est Bamatabois, un jeune oisif, constamment à faire la fête, et poussant le sadisme jusqu’à glisser de la neige dans le dos de la pauvre Fantine – Danièle Delorme -, provocant ainsi un désordre public, Javert, le représentant de l’ordre – magistral Bernard Blier- punira de ce fait la malheureuse. Le Chanois l’engagera souvent, on se souviendra de son personnage d’huissier tatillon et sentencieux dans « Papa, maman, ma femme et moi » (1955), visitant Fernand Ledoux dans sa maison en construction, et l’obligeant à couper sa maison en deux pour respecter des lois absurdes. Curiosité il jouait un autre personnage dans le précédent opus « Papa, maman, la bonne et moi » (1954), en spectateur venu en critique et finalement conquis par Gaby Morlay lors d’une représentation théâtrale. S’il représente l’autorité, c’est souvent sur son mode le plus abject et le plus tatillon, le patron de Jean-Louis Trintignant dans « Le 17ème ciel » (1965), déplorant ses retards, ou le chef du personnel sourcilleux dans « Je sais rien, mais je dirai tout » (1973). Mais il est parfois hospitalier, comme son personnage de ministre qui fait visiter Paris au pas de course, à Sami Frey qui campe un prince d’opérette dans « Qui êtes vous Polly Maggoo ? » (1965). Il a toujours un petit côté borné, il est un agent de circulation qui provoque la colère de Michel Simon dans « L’impossible M Pipelet » car il ignore les piétons, un officier de police désabusé qui pense que de surveiller une gare ne sert à rien dans « Les nuits de Montmartre », un inspecteur franchement déplaisant dans « Max et les ferrailleurs » (1970)… Il compose un commissaire d’anthologie dans « Le temps des oeufs durs » (1957), constamment sur « les dents » quand il traque des trafiquants de faux billets. Il a de plus, des idées particulières : « Le soupçon est l’ennemi de la police » déclare-t-il pour se débarrasser de fâcheux. La plupart de ses personnages de notables sont détestables, capables d’ourdir des plans machiavéliques comme dans l’un des épisodes de « Vidocq », première saison. Qu’il soit diminué et totalement impotent, ça ne l’empêche pas de dévoiler libidineux, comme dans « La révolte des enfants » (1990). La comédie se l’accapare, notamment Christian Gion, qui lui confie des rôles plus longs qu’à l’accoutumée. Il est ainsi l’associé bègue souffre-douleur de Jean-Pierre Marielle dans « Pétrole, pétrole ».

 

 

Bernard Musson dans « Papa, les petits bâteaux »

 

On peut déplorer que les cinéastes ne soient pas plus imaginatifs à son égard, Nelly Kaplan sut utiliser avec brio ses aptitudes à la loufoquerie. En effet dans « Papa, les petits bâteaux » (1971), il est hilarant en truand corse, beau-frère de Pierre Mondy, toujours prompt à se servir d’une arme à feu. Ainsi artiste de cirque, il sait aussi utiliser le couteau, et va nous régaler d’un saut de la mort particulièrement absurde, laissant son personnage dans une position assez ridicule et à moitié nu dans les bras de Sheila White. On se souviendra aussi particulièrement du médecin survolté d’un des épisodes de « L’ami Maupassant » : « L’enfant » où il se délecte à faire un diagnostic particulièrement brutal. Il participe aussi aux œuvres de Jean Rollin, et même à quelques comédies érotiques cultes des années 70. Mais sa plus belle rencontre est celle faite avec Luis Buñuel, qui utilise aux mieux son excentricité. Il est un sacristain particulièrement inquiétant dans « Le journal d’une femme de chambre » (1963), des hurlements de chiens saluant, ses visites nocturnes. Lecteur de « L’action française », militant d’extrême droite, il ourdit des manifestations antisémites avec Georges Géret. Il est un redoutable maître de cérémonie dans « Belle de jour » (1966), où il est à nouveau un majordome caché derrière des lunettes noires. Il prépare Catherine Deneuve pour un mystérieux rituel mortuaire pour son maître un duc nécrophile – Georges Marchal -. Devant le fiasco final, il finira par la flanquer dehors avec une rudesse incroyable. Dans « La voie lactée » (1968), il est un aubergiste peu accueillant, qui jette le trouble dans l’esprit de François Maistre, magistral en curé fou, en utilisant la métaphore du « lièvre dans le pâté » pour expliquer les subtilités de la « transsubstantiation » à un Claude Cerval déboussolé. Dans « Le charme discret de la bourgeoisie » (1972), en maître d’hôtel d’un salon de thé, on lui doit une scène particulièrement absurde. Il annonce avec un sérieux papal à Bulle Ogier, Delphine Seyrig et Stéphane Audran, qu’il n’a ni thé, ni café à leur proposer suite à une affluence imprévue. Avec Marcel Pérès, Guy Montagné et Paul Le Person, il forme un quatuor atypique de moines dans « Le fantôme de la liberté » (1974). Ils sont coincés par la pluie dans une auberge tenue par Paul Frankeur. Ils s’avéreront de redoutables joueurs de cartes, en jouant des scapulaires et des médailles. Musson apporte toujours un décalage quand il parle à Milena Vukotic du stress de son époque ou discute de la versatilité de la notion de la sainteté au sein de l’église catholique. Il finira avec ses compagnons par prendre la poudre d’escampette devant les délires sado-masochistes de Michael Lonsdale. On le retrouve une dernière fois chez Buñuel dans « Cet obscur objet du désir » (1977), en policier qui s’annonce par un mielleux « N’ayez pas peur, nous sommes des amis », à Angela Molina et sa mère, pour mieux annoncer un avis d’expulsion… Il fut un passeur remarquable dans « L’irrationnel récréatif » – selon une expression de Raymond Lefèvre -, de ce grand réalisateur. Des metteurs en scène sauront se souvenir de cette association fructueuse pour l’employer autrement, comme Radovan Tadic et Jean-Charles Fitoussi. On le retrouve régulièrement  jusque dans les années 90, comme dans le rôle d’un employé de la morgue face à Carole Bouquet dans « Lucie Aubrac » (1996). Il faut saluer ce comédien, qui a su à la moindre de ses apparitions faire exister un personnage, et on a toujours autant de plaisir à rajouter un titre dans sa filmographie dans des bases de données comme IMDB. Voir également le site L’aide-mémoire apportant de nouveaux titres dans sa déjà très riche filmographie. Il faut aussi saluer un parcours théâtral remarquable de « À chaun selon sa faim » en 1950 à « Bérénice » (2001) dans une mise en scène de Lambert Wilson. Un comédien indispensable qui fait la richesse du cinéma français et participe à son foisonnement. 

 

 

 

Filmographie établie avec Christophe Bier, Armel de Lorme et l’équipe de « La lettre des comédiens » (initialement établie pour « Les gens du cinéma ») :  1951  Nez de cuir (Yves Allégret) – Le costaud des Batignolles (Guy Lacourt) – Jeux interdits (René Clément) – Le vrai coupable (Pierre Thevenard) – Un grand patron (Yves Ciampi) – Agence matrimoniale (Jean-Paul Le Chanois) – 1952  Nous sommes tous des assassins (André Cayatte) – Les belles de nuit (René Clair) – Un caprice de Caroline Chérie (Jean Devaivre) – C’est arrivé à Paris (Henri Lavorel & John Berry) – L’île des femmes nues (Henri Lepage) – Les dents longues (Daniel Gélin) – Un caprice de Caroline Chérie (Jean Devaivre) – Lucrèce Borgia (Christian-Jaque) – 1953  L’esclave (Yves Ciampi) – Virgile (Carlo Rim) – Les trois mousquetaires (André Hunebelle) – La belle de Cadix (Raymond Bernard) – Le guérisseur (Yves Ciampi) – Le grand jeu (Robert Siodmak) – Mam’zelle Nitouche (Yves Allégret) – L’affaire Maurizius (Yves Allégret) – Les trois mousquetaires (André Hunebelle) – Le comte de Monte-Cristo (Robert Vernay) – Le témoin de minuit (Dimitri Kirsanoff) – Les hommes ne pensent qu’à ça (Yves Robert) – 1954  Ah ! les belles bacchantes (Jean Loubignac) – Escalier de service (Carlo Rim) – Les évadés (Jean-Paul Le Chanois) – Le fils de Caroline Chérie (Jean Devaivre) – Marchandes d’illusions (Raoul André) – Pas de souris dans le Bizness (Henri Lepage) – Série noire (Pierre Foucaud) – Papa, maman, la bonne et moi (Jean-Paul Le Chanois) – Huis-clos (Jacqueline Audry, sous réserves) – 1955  Lola Montès (Max Ophuls) – L’impossible M. Pipelet (André Hunebelle) – Chantage (Guy Lefranc) – Mémoires d’un flic (Pierre Foucaud) – Bonjour sourire (Claude Sautet) – Marguerite de la nuit (Claude Autant-Lara) – Marie-Antoinette, reine de France (Jean Delannoy) – Papa, maman, la bonne et moi (Jean-Paul Le Chanois) – Pas de pitié pour les caves (Henri Lepage) – Les nuits de Montmartre (Pierre Franchi) – Soupçons (Pierre Billon) – Gueule d’ange (Marcel Blistène) – 1956  Bonjour Paris, bonjour l’Amour (Ralph Baum) – C’est une fille de Paname (Henri Lepage) – Courte tête (Norbert Caronnaux) – L’homme à l’imperméable (Julien Duvivier) – Paris Palace hôtel (Henri Verneuil) – Pitié pour les vamps (Jean Josipovici) – Le septième commandement (Raymond Bernard) – Les truands (Carlo Rim) – La vie est belle (Roger Pierre & Jean-Marc Thibault) – Love in the afernoon (Ariane) (Billy Wilder) – Comme un cheveu sur la soupe (Maurice Régamey) – Que les hommes sont bêtes (Roger Richebé) – 1957  À pied, à cheval et en voiture (Maurice Delbez) – Clara et les méchants (Raoul André) – Le dos au mur (Édouard Molinaro) – Les misérables (Jean-Paul Le Chanois) – Le septième ciel (Raymond Bernard) – Sois belle et tais-toi (Marc Allégret) – Le souffle du désir (Henri Lepage) – Le temps des œufs durs (Norbert Carbonnaux) – C’est arrivé à 36 chandelles (Henri Diamant-Berger) – 1958  Archimède le clochard (Gilles Grangier) – Houla-Houla (Robert Darène) – Maxime (Henri Verneuil) – Le gendarme de Champignol (Jean Bastia) – Oh ! que Mambo (John Berry) – Taxi, roulotte et corrida (André Hunebelle) – Les vignes du seigneur (Jean Boyer) – Minute papillon (Jean Lefebvre) – Gigi (Id) (Vincente Minelli) – Messieurs les ronds de cuir (Hervé Diamant-Berger) – 1959  La marraine de Charley (Pierre Chevalier) – Pantalaskas (Paul Paviot, sous réserves) – Meurtre en 45 tours (Étienne Périer) – Par-dessus le mur (Jean-Paul Le Chanois) – Rue des prairies (Denys de la Patellière) – La vache et le prisonnier (Henri Verneuil) – Le Baron de l’Écluse (Jean Delannoy) – 1960  L’affaire d’une nuit (Henri Verneuil) – Le Capitan (André Hunebelle) – Les amours de Paris (Jacques Poitrenaud) – La française et l’amour [épisode « L’adultère »] (Henri Verneuil) – L’imprevisto (L’imprévu) (Alberto Lattuada) – Le mouton (Pierre Chevalier) – Le passage du Rhin (André Cayatte) – Le président (Henri Verneuil) – Au cœur de la ville (Pierre Gautherin) – 1961  Le miracle des loups (André Hunebelle) – Le monte-charge (Marcel Bluwal) – Five Miles to Midnight (Le couteau dans la plaie) (Anatole Litvak) – Amours célèbres [épisode « Agnès Bernauer »] (Michel Boisrond) – Les lions sont lâchés (Henri Verneuil) – Tout l’or du monde (René Clair) – Le comte de Monte-Cristo (Claude Autant-Lara) – 1962  Les bonnes causes (Christian-Jaque) – Comment réussir en amour (Michel Boisrond) – Le glaive et la balance (André Cayatte) – Mélodie en sous-sol (Henri Verneuil) – Les mystères de Paris (André Hunebelle) – Les veinards [épisode « Le repas gastronomique »] (Jean Girault) – Pourquoi Paris ? (Denys de la Patellière) – Charade (Id) (Stanley Donen) – 1963 Cherchez l’idole (Michel Boisrond) – Des frissons partout (Raoul André) – Le journal d’une femme de chambre (Luis Buñuel) –  La porteuse de pain (Maurice Cloche) – 1964  Les amitiés particulières (Jean Delannoy) – L’horoscope (Christian Duvaleix, CM) – Premier avril (Christian Duvaleix, CM) – Comment épouser une premier ministre (Michel Boisrond) – Fantômas (André Hunebelle) – Moi et les hommes de quarante ans (Bernard Borderie) – Une souris chez les hommes (Jack Poitrenaud) – Un monsieur de compagnie (Philippe de Broca) – Week-end à Zuydcoote (Henri Verneuil) – Up from the beach (Le jour d’après) (Robert Parrish) – 1965  Le caïd de Champignol (Jean Bastia) – Paris au mois d’Août (Pierre Granier-Deferre) – La seconde vérité (Christian-Jaque) – Un milliard dans un billard (Nicolas Gessner) – Le dix-septième ciel (Serge Korber) – Les bons vivants [épisode « Le procès »] (Gilles Grangier) – Qui êtes-vous Polly Maggoo ? (William Klein) – 1966  Belle de jour (Luis Buñuel) – Brigade anti-gangs (Bernard Borderie) – Le jardinier d’Argenteuil (Jean-Paul Le Chanois) – Le soleil des voyous (Jean-Delannoy) – Une femme en blanc se révolte (Claude Autant-Lara) – 1968  Faites donc plaisir aux amis (Francis Rigaud) – Sous le signe de Monte-Cristo (André Hunebelle) – La voix lactée (Luis Buñuel) – 1969  Les caprices de Marie (Philippe de Broca) – Le clan des Siciliens (Henri Verneuil) – Dernier domicile connu (José Giovanni) – Une veuve en or (Michel Audiard) – La peau de Torpédo (Jean Delannoy) – La vampire nue (Jean Rollin) – 1970  Le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques (Michel Audiard) – Macédoine (Jacques Scandélari) – Max et les ferrailleurs (Claude Sautet) – Mourir d’aimer (André Cayatte) – On est toujours trop bon avec les femmes (Michel Boisrond) – Peau d’âne (Jacques Demy) – 1971  Papa, les petits bateaux (Nelly Kaplan) – La part des lions (Jean Larriaga) – 1972  Elle cause plus, elle flingue (Michel Audiard) – Le charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel) – L’insolent (Jean-Claude Roy) – Les voraces (Sergio Gobbi) – The day of the Jackal (Chacal) (Fred Zinnemann) – Les anges (Jean Desvilles) – 1973  Le magnifique (Philippe de Broca) – La dernière bourrée à Paris (Raoul André) – La merveilleuse visite (Marcel Carné) – Les quatre Charlots mousquEtaires (André Hunebelle) – Deux hommes dans la ville (José Giovanni) – Je sais rien mais je dirai tout (Pierre Richard) – Les gaspards (Pierre Tchernia) – O.K. patron (Claude Vital) – 1974  Le fantôme de la liberté (Luis Buñuel) – Impossible… pas français (Robert Lamoureux) – Le rallye des joyeuses (Serge Korber) – Comme un pot de fraises (Jean Aurel) – La vie sentimentale de Walter Petit / Jeunes filles perverses / Hard love (Serge Korber) – La sein glin glin / Les nuits chaudes de Justine / Pour être heureux vivons couchés (Patrick Aubin [Jean-Claude Roy]) – L’amour pas comme les autres / Les enhambées (Jeanne Varoni [Jeanne Chaix]) – La donneuse (Jean-Marie Pallardy) – 1975  Les amours difficiles / La grande perversion (Raphaël Delpard) / Cuisses en chaleurs / Vous l’avez dans le dos (Patrick Aubin [Jean-Claude Roy]) – C’est dur pour tout le monde (Christian Gion) – L’essayeuse (Serge Korber) – Opération Lady Marlène (Robert Lamoureux) – L’incorrigible (Philppe de Broca) –Catherine et compagnie (Michel Boisrond) – Silence… on tourne (Roger Coggio) – 1976  Le chasseur de chez Maxim’s (Claude Vital) – 1977  Cet obscur objet du désir (Luis Buñuel) – Le maestro (Claude Vital) – 1978  Le pion (Christian Gion) – Le temps des vacances (Claude Vital) – On Two Two, 122, rue de Provence (Christian Gion) – Grandison (Joachim Kurz, inédit en France) – 1979  Monique et Julie, deux collégiennes en partouze (Alain Payet) – Retour en force (Jean-Marie Poiré) – Le gagnant (Christian Gion) – 1980  Cherchez l’erreur (Serge Korber) – Le journal érotique d’une Thaïlandaise (Boris Bradley [Jean-Marie Pallardy]) – 1981  Belles, blondes et bronzées (Max Pécas) – Pétrole, pétrole (Christian Gion) – Jamais avant le mariage (Daniel Ceccaldi) – 1982  Ça va faire mal (Jean-François Davy) – Éducation anglaise (Jean-Claude Roy) – Les diplômés du dernier rang (Christian Gion) – Rebelote (Jacques Richard) – 1983  Y-a-t-il un pirate sur l’antenne ? / Titre vidéo : Superflic se déchaîne(Jean-Claude Roy) – Le fou du roi (Yvan Chiffre) –  1984  Neuville, ma belle (Mae Kelly [collectif de plusieurs réalisateurs]) –  Vive le fric (Raphaël Delpard, inédit sauf province) – 1985  Pirates (Id) (Roman Polanski) – Dressage (titre TV : Éducation perverse) (Pierre B. Reinhard) – 1986  Bitumes (François Velle, CM) – 1988  L’invité surprise (Georges Lautner) – Erreur de jeunesse (Radovan Tadic) – 1989  Prisonnier de guerre (François Loubeau, CM) – 1990  La révolte des enfants (Gérard Poitou-Weber) – 1991  Sup’ de fric (Christian Gion) – 588 rue du Paradis (Henri Verneuil, + version TV) – Le fond de l’air est frais (Thierry Boscheron, CM) – 1996  Lucie Aubrac (Claude Berri) – Comme des rois (François Velle) – 2000 La fiancée de Dracula (Jean Rollin) – 2001  Les jours où je n’existe pas (Jean-Charles Fitoussi) – 2003  Pellis (Yann Gozlan, CM). Nota : Bien que crédité dans À nous quatre, Cardinal !, d’André Hunebelle, il n’apparaît pas dans ce second volet des « Quatre Charlots mousquetaires ». Il est parfois crédité par erreur dans dans « Justice est faite » (André Cayatte, 1950),  « Gervaise » (René Clément, 1955) – le rôle du scribe -, « En cas de malheur » (Claude Autant-Lara, 1957) – rôle de l’agent bousculé – et dans « Le petit prof » (Carlo Rim, 1958) –  rôle du croque mort -. Voxographie (notamment) : 1959  Le confident de ces dames (Jean Boyer) – 1965  Paris brûle-t-il ? (René Clément) – 1966  Paris au temps des ceristes : La commune (Jean Desvilles & Jacques Darribehaude, CM, voix du récitant) – Tintin et le temple du soleil (Eddie Lateste, animation, voix) .

 

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Télévision : (notamment) : 1956  En votre âme et consciense : La mort de monsieur de Marcellange (Claude Barma) – 1957  Énigmes de l’histoires : La double mort du tsar Alexandre 1er (Stellio Lorenzi) – Aimer rire et chanter : Johann Strauss (Marcel Bluwal) – Quadrille de diamants (Claude Barma) – 1958  Châteaux en Espagne (François Gir) – Le tour de France par deux enfants : Perdus (William Magnin) – Les cinq dernières minutes : Tableau de chasse (Claude Loursais) – 1959  Le bois sacré (André Leroux) – Les maris de Léontine (André Leroux) – 1960  Week-end surpise (André Leroux) – Bastoche et Charles-Auguste (Bernard Hecht) – Le théâtre de la jeunesse : Le prince et le pauvre (Marcel Cravenne) – Rouge (André Leroux) – 1961  La caméra explore le temps : L’énigme de Saint-Leu (Stellio Lorenzi) – Revue (André Leroux) – 1962  Les caprices de Marianne (Claude Loursais) – L’inspecteur Leclerc enquête : Le saut périlleux (André Michel) – Les célibataires (Jean Prat) – Le gendre de Monsieur Poirier (André Leroux) – Le plus grand théâtre du monde : Rien que la vérité (Claude Loursais) – 1964  Le théâtre de la jeunesse : Méliès, le magicien de Montreuil (Jean-Christophe Averty) – Un homme en or (André Leroux) – Félix (Christian Duvaleix) –  L’abonné de la ligne U (Yannick Andréi) – 1965  Ubu roi (Jean-Christophe Averty) – Mademoiselle de la Ferté (Gilbert Pineau) – Les cinq dernières minutes : Le bonheur à tout prix (Claude Loursais) – Embrassons-nous, Folleville ! (Éric Le Hung) – 1966  Il faut que je tue monsieur Rumann (Guy Casaril) – Rouletabille chez les Bohémiens (Robert Mazoyer) – Comment ne pas épouser un milliardaire (Roger [Lazare] Iglèsis) – Les cinq dernières minutes : La rose de fer (Jean-Pierre Marchand) – 1967  La marseillaise de Rude (Alain Boudet) – Interrogatoire : Terrain vague (Guy Laforêt) – Vidocq : Le crime de la mule noire (Claude Loursais) – 1968  Les grandes espérances (Marcel Cravenne) – Joanny Leniot (Jean Bescont) – Province : La coupe (île de France) (Robert Mazoyer) – Au théâtre ce soir : La toile d’araignée (Pierre Sabbagh) – Au théâtre ce soir : Baby Hamilton (Pierre Sabbagh) – 1969  D’Artagan : Les ferrets (Claude Barma) – Trois étoiles : Arbois :  Le poulet au vin jaune (Maurice Régamey) – 1970  Les saintes chéries : Ève cherche du travail (Jean Becker & Nicole de Buron) – Les aventures d’Alice au pays des merveilles (Jean-Christophe Averty) – Lancelot du Lac (Claude Santelli) – La main de singe (Roger [Lazare] Iglèsis) – Les nouvelles aventures de Vidocq : La caisse de fer (Marcel Bluwal) – 1971  Al Johnson (Jean-Christophe Averty) – Madame, êtes-vous libre ? (Jean-Paul Le Chanois) – Al Jolson (Jean-Christophe Averty) – Au théâtre ce soir : Arsenic et vieilles dentelles (Pierre Sabbagh) – Au théâtre ce soir : Herminie (Pierre Sabbagh) – Pas moral pour deux sous (Jean Archimbaud) – Ubu enchanté (Jean-Christophe Averty) – François Gaillard ou la vie des autres : René (Jacques Ertaud) – 1972  Figaro-ci, Figaro-là (Hervé Bromberger) – Kitsch-Kitsch (Janine Guyon) – 1973  Les malheurs de la comtesse (Bernard Deflandre) –  Joseph Balsamo (André Hunebelle) – Molière pour rire et pour pleurer (Marcel Camus) – L’éducation sentimentale (Marcel Cravenne) – La dernière carte (Marcel Camus) – Musidora (Jean-Christophe Averty) – La paroi (Jean-Paul Le Chanois) – 1974  Au théâtre ce soir : Le chien des Baskerville (Georges Folgoas) – Les dernières cartes (Marcel Cravenne) – Les cinq dernières minutes : Si ce n’est toi (Claude Loursais) – La voleuse de Londres (Marcel Cravenne) – Les faucheurs de Marguerite (Marcel Camus) – 1975  Au théâtre ce soir : Dix minutes d’alibi (Pierre Sabbagh) – Paul Gauguin (Roger Pigaut) – Les cinq dernières minutes : Le coup de pouce (Claude Loursais) – Le théâtre de Tristan Bernard : L’anglais tel que l’on parle (Georges Folgoas) – Le secret des dieux (Guy-André Lefranc) – Le mystère Frontenac (Maurice Frydland) – Marie-Antoinette (Guy-André Lefranc) – Erreurs judiciaires : La cuillère dans l’arsenic (Jean Laviron) – 1976  Au théâtre ce soir : Seul le poisson rouge est au courant (Pierre Sabbagh) – Les brigades du tigre : Don de Scotland-Yard (Victor Vicas) – Douze légionnaires : Delta du Tonkin : Adjudant Pierre Duffel (Bernard Borderie) – 1977 Emmenez-moi au Ritz (Pierre Grimblat) – Les folies d’Offenbach : Le train des cabots (Michel Boisrond) – La filière (Guy-André Lefranc) – 1978  Émile Zola ou la conscience humaine (Stellio Lorenzi) – Voltaire (Marcel Camus) – Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut (Jean Delannoy) – Les héritiers : Photos de famille (Juan Luis Buñuel) – 1979  Avoir été (Roland-Bernard) – Comme chien et chat (Roland-Bernard) – L’âge bête (Jacques Ertaud) – Le moustique (Maurice Frydland) – Au théâtre ce soir : La route des Indes (Pierre Sabbagh) – 1980  La mort en sautoir (Pierre Goutas) – Les liaisons dangereuses (Claude Barma) – Nana (Maurice Cazeneuve) – 1981  Au théâtre ce soir : Comédie pour un meutre (Pierre Sabbagh) – Au théâtre ce soir : Une sacrée famille (Pierre Sabbagh) – Ubu cocu ou l’archeopteryx (Jean-Christophe Averty) – Le voyage du Hollandais (Charles Brabant) – Bekenntnisse des Hochstaplers Felix Krull (Les confessions du chevalier d’industrie Felix Krull) (Bernhard Sinkel) – Jupiter 81 (Maurice Frydland) – 1982  Paris-Saint-Lazare (Marco Pico) – Le pouvoir d’inertie (Jean-François Delassus) – Papa poule (Roger Kahane) – Démobilisation générale (Hervé Bromberger) – Merci Sylvestre (L’homme de ménage) (Serge Korber) – 1983  Les cinq dernières minutes : Meutre sans pourboire (Jean Chapot) – Médecins de nuit : Le bizutage (Gérard Clément) – Les amours des années folles : Féeries bourgeoises (Agnès Delarive) – Emmenez-moi au théâtre : Orphée (Claude Santelli) – Il cane de Jérusalem (Les chiens de Jérusalem) (Fabio Carpi) –  1984  Jacques le fataliste et son maître (Claude Santelli) – Le tueur triste (Nicolas Gessner) – 1985  La politique est un métier (Maurice Frydland) – L’année terrible (Claude Santelli) – L’ami Maupassant : L’enfant (Claude Santelli) – L’affaire Marie Besnard (Yves-André Hubert) – 1987  Une occasion en or : Les mémés sanglantes (Bruno Gantillon) – Les enquêtes du commissaire Maigret : Les enquêtes du « Majestic » (Maurice Frydland) – 1988  L’ami Giono : Ennemonde (Claude Santelli) – Hemingway (Bernard Sinkel) – Les cinq dernières minutes : Pour qui sonne le jazz (Gérard Gozlan) – Les nuits révolutionnaires (Charles Brabant) – Le Gorille compte ses abattis (Jean Delannoy) – 1990  Les héroïnes de Colette : Duo (Claude Santelli) – Héritage oblige : Erika mon amour (Maurice Frydland) – 1991  Quiproquos ! (Claude Vital) – Maxime et Wanda : Les belles ordures (Claude Vital) – 1992  Tout ou presque (Claude Vital) – Aldo tous risques : Direct au cœur (Claude Vital) – 1994  Les caprices de Marianne (Jean-Daniel Verhaeghe, captation) –  1995  L’allée du Roi (Nina Companeez) – La comète (Claude Santelli) – 1996  Les allumettes suédoises (Jacques Ertaud) – 1999 Louis la brocante : Louis et les amoureux du manège (Maurice Frydland) – 2001 La grande brasserie (Dominique Baron). Divers : « Vivement lundi » ; « Marc et Sophie » (épisode « Divine diva ») ; Sketches de Karl Zéro (« Le vrai journal »), etc…. Bibliographie : « Les fictions françaises à la télévision » de Jean-Marc Doniak (Dixit-SACD, 1998).

Remerciements : à Jean-Jacques Jouve et Alain Plège.

Bibliographie : « La lettre des Comédiens » N°20 Mai-Juin 1999 : « Le métier de Bernard Musson » par Étienne Colson (+ filmo) 

Mise à jour du 11/11/2010

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64 Commentaires

  1. Gashade Gashade
    4 mai 2008    

    Merci pour Bernard Musson, c’était inutile d’attendre qu’il soit mort! Je l’adore! Bunuel avait du goût pour les acteurs de second rôle (Muni! snif!)
    Tu as bien fait de citer dans tes liens le dvd blog de Tavernier, il est dans mes favoris depuis longtemps, ça permet de faire une sélection, on espère que certains dvd seront diffusés sur CCinéma en fin de carrière, on peut pas tous les acheter. Ah! être critique et les recevoir tous en SP! Génial!

    Reply
  2. Gashade Gashade
    4 mai 2008    

    Merci pour Bernard Musson, c’était inutile d’attendre qu’il soit mort! Je l’adore! Bunuel avait du goût pour les acteurs de second rôle (Muni! snif!)
    Tu as bien fait de citer dans tes liens le dvd blog de Tavernier, il est dans mes favoris depuis longtemps, ça permet de faire une sélection, on espère que certains dvd seront diffusés sur CCinéma en fin de carrière, on peut pas tous les acheter. Ah! être critique et les recevoir tous en SP! Génial!

    Reply
  3. Gashade Gashade
    4 mai 2008    

    Merci pour Bernard Musson, c’était inutile d’attendre qu’il soit mort! Je l’adore! Bunuel avait du goût pour les acteurs de second rôle (Muni! snif!)
    Tu as bien fait de citer dans tes liens le dvd blog de Tavernier, il est dans mes favoris depuis longtemps, ça permet de faire une sélection, on espère que certains dvd seront diffusés sur CCinéma en fin de carrière, on peut pas tous les acheter. Ah! être critique et les recevoir tous en SP! Génial!

    Reply
  4. Gashade Gashade
    4 mai 2008    

    Merci pour Bernard Musson, c’était inutile d’attendre qu’il soit mort! Je l’adore! Bunuel avait du goût pour les acteurs de second rôle (Muni! snif!)
    Tu as bien fait de citer dans tes liens le dvd blog de Tavernier, il est dans mes favoris depuis longtemps, ça permet de faire une sélection, on espère que certains dvd seront diffusés sur CCinéma en fin de carrière, on peut pas tous les acheter. Ah! être critique et les recevoir tous en SP! Génial!

    Reply
  5. Gashade Gashade
    4 mai 2008    

    Merci pour Bernard Musson, c’était inutile d’attendre qu’il soit mort! Je l’adore! Bunuel avait du goût pour les acteurs de second rôle (Muni! snif!)
    Tu as bien fait de citer dans tes liens le dvd blog de Tavernier, il est dans mes favoris depuis longtemps, ça permet de faire une sélection, on espère que certains dvd seront diffusés sur CCinéma en fin de carrière, on peut pas tous les acheter. Ah! être critique et les recevoir tous en SP! Génial!

    Reply
  6. COLSON COLSON
    6 mai 2008    

    Merci pour lui. Bien dirigé (c’est-à-dire par un réalisateur comme il les aime : à poigne), dans un film digne de ce nom, Bernard est ce remarquable comédien que nous aimons. Nul n’oubliera, entre autres, son extraordinaire composition dans « La vache et le prisonnier ». Dans les vingt premières minutes du film, la drôlerie dont il nimbe sa prestation est à ce point mémorable qu’il en éclipse Fernandel. Les dialogues, il est vrai, sont signés d’Henri JEANSON.
    J’ajoute que Bernard était, il y a peu, aux côtés de Lambert Wilson et de Carole Bouquet au théatre dans Bérénice.
    ECOLSON

    Reply
  7. COLSON COLSON
    6 mai 2008    

    Merci pour lui. Bien dirigé (c’est-à-dire par un réalisateur comme il les aime : à poigne), dans un film digne de ce nom, Bernard est ce remarquable comédien que nous aimons. Nul n’oubliera, entre autres, son extraordinaire composition dans « La vache et le prisonnier ». Dans les vingt premières minutes du film, la drôlerie dont il nimbe sa prestation est à ce point mémorable qu’il en éclipse Fernandel. Les dialogues, il est vrai, sont signés d’Henri JEANSON.
    J’ajoute que Bernard était, il y a peu, aux côtés de Lambert Wilson et de Carole Bouquet au théatre dans Bérénice.
    ECOLSON

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  8. COLSON COLSON
    6 mai 2008    

    Merci pour lui. Bien dirigé (c’est-à-dire par un réalisateur comme il les aime : à poigne), dans un film digne de ce nom, Bernard est ce remarquable comédien que nous aimons. Nul n’oubliera, entre autres, son extraordinaire composition dans « La vache et le prisonnier ». Dans les vingt premières minutes du film, la drôlerie dont il nimbe sa prestation est à ce point mémorable qu’il en éclipse Fernandel. Les dialogues, il est vrai, sont signés d’Henri JEANSON.
    J’ajoute que Bernard était, il y a peu, aux côtés de Lambert Wilson et de Carole Bouquet au théatre dans Bérénice.
    ECOLSON

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  9. COLSON COLSON
    6 mai 2008    

    Merci pour lui. Bien dirigé (c’est-à-dire par un réalisateur comme il les aime : à poigne), dans un film digne de ce nom, Bernard est ce remarquable comédien que nous aimons. Nul n’oubliera, entre autres, son extraordinaire composition dans « La vache et le prisonnier ». Dans les vingt premières minutes du film, la drôlerie dont il nimbe sa prestation est à ce point mémorable qu’il en éclipse Fernandel. Les dialogues, il est vrai, sont signés d’Henri JEANSON.
    J’ajoute que Bernard était, il y a peu, aux côtés de Lambert Wilson et de Carole Bouquet au théatre dans Bérénice.
    ECOLSON

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  10. COLSON COLSON
    6 mai 2008    

    Merci pour lui. Bien dirigé (c’est-à-dire par un réalisateur comme il les aime : à poigne), dans un film digne de ce nom, Bernard est ce remarquable comédien que nous aimons. Nul n’oubliera, entre autres, son extraordinaire composition dans « La vache et le prisonnier ». Dans les vingt premières minutes du film, la drôlerie dont il nimbe sa prestation est à ce point mémorable qu’il en éclipse Fernandel. Les dialogues, il est vrai, sont signés d’Henri JEANSON.
    J’ajoute que Bernard était, il y a peu, aux côtés de Lambert Wilson et de Carole Bouquet au théatre dans Bérénice.
    ECOLSON

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  11. Coinducinéphage Coinducinéphage
    6 mai 2008    

    Bernard Musson, « voleur de scènes »

    Merci surtout à vous M. Colson d’avoir rendu hommage à ce comédien dans « La lettres des comédiens » en 1999. C’est un parcours exemplaire depuis plus de 50 années, il est impossible de ne pas le connaître. Je suis d’accord qu’il vole allègrement la vedette à Fernandel dans ce film. J’aimais beaucoup vous lire, je me souviens de votre texte sur Pierre Desproges Loin d’être laudateur, ce qui était inhabituel. J’espère avoir un jour la chance de lire vos écrits quelque part, puisque « La lettre… » n’existe plus, j’étais vraiment impressionné par votre style. Bien cordialement

    Reply
  12. Coinducinéphage Coinducinéphage
    6 mai 2008    

    Bernard Musson, « voleur de scènes »

    Merci surtout à vous M. Colson d’avoir rendu hommage à ce comédien dans « La lettres des comédiens » en 1999. C’est un parcours exemplaire depuis plus de 50 années, il est impossible de ne pas le connaître. Je suis d’accord qu’il vole allègrement la vedette à Fernandel dans ce film. J’aimais beaucoup vous lire, je me souviens de votre texte sur Pierre Desproges Loin d’être laudateur, ce qui était inhabituel. J’espère avoir un jour la chance de lire vos écrits quelque part, puisque « La lettre… » n’existe plus, j’étais vraiment impressionné par votre style. Bien cordialement

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  13. Coinducinéphage Coinducinéphage
    6 mai 2008    

    Bernard Musson, « voleur de scènes »

    Merci surtout à vous M. Colson d’avoir rendu hommage à ce comédien dans « La lettres des comédiens » en 1999. C’est un parcours exemplaire depuis plus de 50 années, il est impossible de ne pas le connaître. Je suis d’accord qu’il vole allègrement la vedette à Fernandel dans ce film. J’aimais beaucoup vous lire, je me souviens de votre texte sur Pierre Desproges Loin d’être laudateur, ce qui était inhabituel. J’espère avoir un jour la chance de lire vos écrits quelque part, puisque « La lettre… » n’existe plus, j’étais vraiment impressionné par votre style. Bien cordialement

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  14. Coinducinéphage Coinducinéphage
    6 mai 2008    

    Bernard Musson, « voleur de scènes »

    Merci surtout à vous M. Colson d’avoir rendu hommage à ce comédien dans « La lettres des comédiens » en 1999. C’est un parcours exemplaire depuis plus de 50 années, il est impossible de ne pas le connaître. Je suis d’accord qu’il vole allègrement la vedette à Fernandel dans ce film. J’aimais beaucoup vous lire, je me souviens de votre texte sur Pierre Desproges Loin d’être laudateur, ce qui était inhabituel. J’espère avoir un jour la chance de lire vos écrits quelque part, puisque « La lettre… » n’existe plus, j’étais vraiment impressionné par votre style. Bien cordialement

    Reply
  15. Coinducinéphage Coinducinéphage
    6 mai 2008    

    Bernard Musson, « voleur de scènes »

    Merci surtout à vous M. Colson d’avoir rendu hommage à ce comédien dans « La lettres des comédiens » en 1999. C’est un parcours exemplaire depuis plus de 50 années, il est impossible de ne pas le connaître. Je suis d’accord qu’il vole allègrement la vedette à Fernandel dans ce film. J’aimais beaucoup vous lire, je me souviens de votre texte sur Pierre Desproges Loin d’être laudateur, ce qui était inhabituel. J’espère avoir un jour la chance de lire vos écrits quelque part, puisque « La lettre… » n’existe plus, j’étais vraiment impressionné par votre style. Bien cordialement

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  16. JMR JMR
    7 mai 2008    

    Formidable acteur et bien bel hommage qui complète la « Lettre des comédiens » que tu avais eu la gentillesse de m’envoyer. Après les Mémoires de Zardi, on attend celles de Musson !

    Reply
  17. JMR JMR
    7 mai 2008    

    Formidable acteur et bien bel hommage qui complète la « Lettre des comédiens » que tu avais eu la gentillesse de m’envoyer. Après les Mémoires de Zardi, on attend celles de Musson !

    Reply
  18. JMR JMR
    7 mai 2008    

    Formidable acteur et bien bel hommage qui complète la « Lettre des comédiens » que tu avais eu la gentillesse de m’envoyer. Après les Mémoires de Zardi, on attend celles de Musson !

    Reply
  19. JMR JMR
    7 mai 2008    

    Formidable acteur et bien bel hommage qui complète la « Lettre des comédiens » que tu avais eu la gentillesse de m’envoyer. Après les Mémoires de Zardi, on attend celles de Musson !

    Reply
  20. JMR JMR
    7 mai 2008    

    Formidable acteur et bien bel hommage qui complète la « Lettre des comédiens » que tu avais eu la gentillesse de m’envoyer. Après les Mémoires de Zardi, on attend celles de Musson !

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  21. Coinducinéphage Coinducinéphage
    7 mai 2008    

    Made in China

    Merci Jean-Marcel, j’en profite pour te dire combien j’ai aimé « Made in China », j’étais dans le train et je l’ai dévoré. Je le conseille avec enthousiasme de part son inventivité – les fins alternatives – et sa drôlerie – La croix au dessus du lit par exemple -.

    Reply
  22. Coinducinéphage Coinducinéphage
    7 mai 2008    

    Made in China

    Merci Jean-Marcel, j’en profite pour te dire combien j’ai aimé « Made in China », j’étais dans le train et je l’ai dévoré. Je le conseille avec enthousiasme de part son inventivité – les fins alternatives – et sa drôlerie – La croix au dessus du lit par exemple -.

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  23. Coinducinéphage Coinducinéphage
    7 mai 2008    

    Made in China

    Merci Jean-Marcel, j’en profite pour te dire combien j’ai aimé « Made in China », j’étais dans le train et je l’ai dévoré. Je le conseille avec enthousiasme de part son inventivité – les fins alternatives – et sa drôlerie – La croix au dessus du lit par exemple -.

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  24. Coinducinéphage Coinducinéphage
    7 mai 2008    

    Made in China

    Merci Jean-Marcel, j’en profite pour te dire combien j’ai aimé « Made in China », j’étais dans le train et je l’ai dévoré. Je le conseille avec enthousiasme de part son inventivité – les fins alternatives – et sa drôlerie – La croix au dessus du lit par exemple -.

    Reply
  25. Coinducinéphage Coinducinéphage
    7 mai 2008    

    Made in China

    Merci Jean-Marcel, j’en profite pour te dire combien j’ai aimé « Made in China », j’étais dans le train et je l’ai dévoré. Je le conseille avec enthousiasme de part son inventivité – les fins alternatives – et sa drôlerie – La croix au dessus du lit par exemple -.

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  26. Armel Armel
    9 mai 2008    

    Cher Christian,

    Trois lignes pour te signaler que Bernard MUSSON a toujours été catégorique sur le fait que JEUX INTERDITS, réalisé en 1951, est le premier film dans lequel il ait tourné. Quid donc de sa particicipation, l’année précédente, à JUSTICE EST FAITE.

    Parmi les plus qui lui sont fréquemment imputés à tort figure aussi EN CAS DE MALHEUR.

    Amitiés.

    Reply
  27. Armel Armel
    9 mai 2008    

    Cher Christian,

    Trois lignes pour te signaler que Bernard MUSSON a toujours été catégorique sur le fait que JEUX INTERDITS, réalisé en 1951, est le premier film dans lequel il ait tourné. Quid donc de sa particicipation, l’année précédente, à JUSTICE EST FAITE.

    Parmi les plus qui lui sont fréquemment imputés à tort figure aussi EN CAS DE MALHEUR.

    Amitiés.

    Reply
  28. Armel Armel
    9 mai 2008    

    Cher Christian,

    Trois lignes pour te signaler que Bernard MUSSON a toujours été catégorique sur le fait que JEUX INTERDITS, réalisé en 1951, est le premier film dans lequel il ait tourné. Quid donc de sa particicipation, l’année précédente, à JUSTICE EST FAITE.

    Parmi les plus qui lui sont fréquemment imputés à tort figure aussi EN CAS DE MALHEUR.

    Amitiés.

    Reply
  29. Armel Armel
    9 mai 2008    

    Cher Christian,

    Trois lignes pour te signaler que Bernard MUSSON a toujours été catégorique sur le fait que JEUX INTERDITS, réalisé en 1951, est le premier film dans lequel il ait tourné. Quid donc de sa particicipation, l’année précédente, à JUSTICE EST FAITE.

    Parmi les plus qui lui sont fréquemment imputés à tort figure aussi EN CAS DE MALHEUR.

    Amitiés.

    Reply
  30. Armel Armel
    9 mai 2008    

    Cher Christian,

    Trois lignes pour te signaler que Bernard MUSSON a toujours été catégorique sur le fait que JEUX INTERDITS, réalisé en 1951, est le premier film dans lequel il ait tourné. Quid donc de sa particicipation, l’année précédente, à JUSTICE EST FAITE.

    Parmi les plus qui lui sont fréquemment imputés à tort figure aussi EN CAS DE MALHEUR.

    Amitiés.

    Reply
  31. JMR JMR
    10 mai 2008    

    Merci

    Merci beaucoup pour tes commentaires sur « Made in China ». Mon prochain roman sera vraiment centré sur le thème du cinéma… On en reparlera ! Longue vie à tes fragments d’un dictionnaire amoureux !

    Reply
  32. JMR JMR
    10 mai 2008    

    Merci

    Merci beaucoup pour tes commentaires sur « Made in China ». Mon prochain roman sera vraiment centré sur le thème du cinéma… On en reparlera ! Longue vie à tes fragments d’un dictionnaire amoureux !

    Reply
  33. JMR JMR
    10 mai 2008    

    Merci

    Merci beaucoup pour tes commentaires sur « Made in China ». Mon prochain roman sera vraiment centré sur le thème du cinéma… On en reparlera ! Longue vie à tes fragments d’un dictionnaire amoureux !

    Reply
  34. JMR JMR
    10 mai 2008    

    Merci

    Merci beaucoup pour tes commentaires sur « Made in China ». Mon prochain roman sera vraiment centré sur le thème du cinéma… On en reparlera ! Longue vie à tes fragments d’un dictionnaire amoureux !

    Reply
  35. JMR JMR
    10 mai 2008    

    Merci

    Merci beaucoup pour tes commentaires sur « Made in China ». Mon prochain roman sera vraiment centré sur le thème du cinéma… On en reparlera ! Longue vie à tes fragments d’un dictionnaire amoureux !

    Reply
  36. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    acteur formidable

    bernard musson ,acteur prolifique et genial je suis de ceux qui suit les « seconds roles » (je n’aime pas ce titre)co-staring comme disent les etats unis est plus juste pour des comediens de la trempe de bernard,quand je vais à cormeille en parasis ou il est né et ou ma fille reside j’ai toujour une pensée pour cet artiste qui aurait merité beaucoup mieux,par ailleur je vais l’appeler pour lui dire de vive voix moi qui aurait tant aimar faire cette orofession ,la vie en a decidée autrement merci bernard de nous avoir apporté ton talent.jean-daniel metois

    Reply
  37. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    acteur formidable

    bernard musson ,acteur prolifique et genial je suis de ceux qui suit les « seconds roles » (je n’aime pas ce titre)co-staring comme disent les etats unis est plus juste pour des comediens de la trempe de bernard,quand je vais à cormeille en parasis ou il est né et ou ma fille reside j’ai toujour une pensée pour cet artiste qui aurait merité beaucoup mieux,par ailleur je vais l’appeler pour lui dire de vive voix moi qui aurait tant aimar faire cette orofession ,la vie en a decidée autrement merci bernard de nous avoir apporté ton talent.jean-daniel metois

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  38. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    acteur formidable

    bernard musson ,acteur prolifique et genial je suis de ceux qui suit les « seconds roles » (je n’aime pas ce titre)co-staring comme disent les etats unis est plus juste pour des comediens de la trempe de bernard,quand je vais à cormeille en parasis ou il est né et ou ma fille reside j’ai toujour une pensée pour cet artiste qui aurait merité beaucoup mieux,par ailleur je vais l’appeler pour lui dire de vive voix moi qui aurait tant aimar faire cette orofession ,la vie en a decidée autrement merci bernard de nous avoir apporté ton talent.jean-daniel metois

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  39. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    acteur formidable

    bernard musson ,acteur prolifique et genial je suis de ceux qui suit les « seconds roles » (je n’aime pas ce titre)co-staring comme disent les etats unis est plus juste pour des comediens de la trempe de bernard,quand je vais à cormeille en parasis ou il est né et ou ma fille reside j’ai toujour une pensée pour cet artiste qui aurait merité beaucoup mieux,par ailleur je vais l’appeler pour lui dire de vive voix moi qui aurait tant aimar faire cette orofession ,la vie en a decidée autrement merci bernard de nous avoir apporté ton talent.jean-daniel metois

    Reply
  40. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    acteur formidable

    bernard musson ,acteur prolifique et genial je suis de ceux qui suit les « seconds roles » (je n’aime pas ce titre)co-staring comme disent les etats unis est plus juste pour des comediens de la trempe de bernard,quand je vais à cormeille en parasis ou il est né et ou ma fille reside j’ai toujour une pensée pour cet artiste qui aurait merité beaucoup mieux,par ailleur je vais l’appeler pour lui dire de vive voix moi qui aurait tant aimar faire cette orofession ,la vie en a decidée autrement merci bernard de nous avoir apporté ton talent.jean-daniel metois

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  41. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    monsieur musson je vous prie de m’excuser des erreurs de clavier dans le texte jd metois

    Reply
  42. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    monsieur musson je vous prie de m’excuser des erreurs de clavier dans le texte jd metois

    Reply
  43. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    monsieur musson je vous prie de m’excuser des erreurs de clavier dans le texte jd metois

    Reply
  44. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    monsieur musson je vous prie de m’excuser des erreurs de clavier dans le texte jd metois

    Reply
  45. metois jean-dani metois jean-dani
    28 avril 2009    

    monsieur musson je vous prie de m’excuser des erreurs de clavier dans le texte jd metois

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  46. EDMOND EDMOND
    31 octobre 2010    

    DECES

    Bernard Musson nous a quitté ce 29 octobre Qu’il repose en paix

    Reply
  47. EDMOND EDMOND
    31 octobre 2010    

    DECES

    Bernard Musson nous a quitté ce 29 octobre Qu’il repose en paix

    Reply
  48. EDMOND EDMOND
    31 octobre 2010    

    DECES

    Bernard Musson nous a quitté ce 29 octobre Qu’il repose en paix

    Reply
  49. EDMOND EDMOND
    31 octobre 2010    

    DECES

    Bernard Musson nous a quitté ce 29 octobre Qu’il repose en paix

    Reply
  50. drummer drummer
    31 octobre 2010    

    Un comédien aux 1000 rôles

    Bernard Musson faisait partie de ces « gueules » (pardonnez-moi l’expression) du ciné français qu’on reconnaissait immédiatement au détour d’une scène, que ce soit « Archimède le Clochard » ou « Les belles bacchantes », il s’adonna à la synchro, au théâtre bien entendu où il débuta en 1950, fit de la télé… Il avait écrit une autobiographie, agrémentée de photos et d’une filmo exhaustive, que de nombreux éditeurs refusèrent et qu’il a fini par arrêter de proposer…

    Reply
  51. drummer drummer
    31 octobre 2010    

    Un comédien aux 1000 rôles

    Bernard Musson faisait partie de ces « gueules » (pardonnez-moi l’expression) du ciné français qu’on reconnaissait immédiatement au détour d’une scène, que ce soit « Archimède le Clochard » ou « Les belles bacchantes », il s’adonna à la synchro, au théâtre bien entendu où il débuta en 1950, fit de la télé… Il avait écrit une autobiographie, agrémentée de photos et d’une filmo exhaustive, que de nombreux éditeurs refusèrent et qu’il a fini par arrêter de proposer…

    Reply
  52. drummer drummer
    31 octobre 2010    

    Un comédien aux 1000 rôles

    Bernard Musson faisait partie de ces « gueules » (pardonnez-moi l’expression) du ciné français qu’on reconnaissait immédiatement au détour d’une scène, que ce soit « Archimède le Clochard » ou « Les belles bacchantes », il s’adonna à la synchro, au théâtre bien entendu où il débuta en 1950, fit de la télé… Il avait écrit une autobiographie, agrémentée de photos et d’une filmo exhaustive, que de nombreux éditeurs refusèrent et qu’il a fini par arrêter de proposer…

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  53. COLSON COLSON
    1 novembre 2010    

    Bernard, souvenez-vous : « une femme im-pe-ccable ! » Je vous embrasse en vous redisant toute mon affection. Mes pensées vont à vos 4 adorés.
    Etienne

    Reply
  54. COLSON COLSON
    1 novembre 2010    

    Bernard, souvenez-vous : « une femme im-pe-ccable ! » Je vous embrasse en vous redisant toute mon affection. Mes pensées vont à vos 4 adorés.
    Etienne

    Reply
  55. COLSON COLSON
    1 novembre 2010    

    Bernard, souvenez-vous : « une femme im-pe-ccable ! » Je vous embrasse en vous redisant toute mon affection. Mes pensées vont à vos 4 adorés.
    Etienne

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  56. COLSON COLSON
    1 novembre 2010    

    Bernard, souvenez-vous : « une femme im-pe-ccable ! » Je vous embrasse en vous redisant toute mon affection. Mes pensées vont à vos 4 adorés.
    Etienne

    Reply
  57. COLSON COLSON
    1 novembre 2010    

    Bernard, souvenez-vous : « une femme im-pe-ccable ! » Je vous embrasse en vous redisant toute mon affection. Mes pensées vont à vos 4 adorés.
    Etienne

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  58. Jean-Claude & Su Jean-Claude & Su
    5 novembre 2010    

    Les hasards de la vie et la rencontre de nos enfants respectifs nous ont permis de découvrir l’homme Bernard Musson. Nous nous souviendrons toujours de ces moments.

    De l’union de nos enfants sont nés trois beaux petits-enfants que vous aimiez et qui vous aimaient. Vous allez leur manquer.

    Jean-Claude & Suzanne LEYMARIE

    Reply
  59. Jean-Claude & Su Jean-Claude & Su
    5 novembre 2010    

    Les hasards de la vie et la rencontre de nos enfants respectifs nous ont permis de découvrir l’homme Bernard Musson. Nous nous souviendrons toujours de ces moments.

    De l’union de nos enfants sont nés trois beaux petits-enfants que vous aimiez et qui vous aimaient. Vous allez leur manquer.

    Jean-Claude & Suzanne LEYMARIE

    Reply
  60. Jean-Claude & Su Jean-Claude & Su
    5 novembre 2010    

    Les hasards de la vie et la rencontre de nos enfants respectifs nous ont permis de découvrir l’homme Bernard Musson. Nous nous souviendrons toujours de ces moments.

    De l’union de nos enfants sont nés trois beaux petits-enfants que vous aimiez et qui vous aimaient. Vous allez leur manquer.

    Jean-Claude & Suzanne LEYMARIE

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  61. Coinducinéphage Coinducinéphage
    5 novembre 2010    

    Triste nouvelle

    Au moins j’ai rendu hommage à ce formidable comédien de son vivant. Ses mémoires sont lisibles ici : http://bernard.musson.free.fr/sur.un.plateau.pdf

    avis aux éditeurs !

    Une excellente nouvelle cependant, Christophe Bier a désormais son blog http://www.leblogdemonsieurbier.com/ avec des nouvelles de son dictionnaire. Il lui rend hommage ici : http://www.leblogdemonsieurbier.com/2010/11/bernard-musson-de-belle-de-jour.html

    P.S. Ne manquez pas ce soir l’hommage de l’ami Christophe à Daniel Emilfork « Gargouille de charme » à 22h15 sur CinéCinéma Classik. L’occasion de visionner durant cette soirée quelques raretés cultes « L’inconnu de Shandigor », « Midi minuit », et « Au service sur diable », et une rediffusion du « Casanova » de Fellini

    Reply
  62. Coinducinéphage Coinducinéphage
    5 novembre 2010    

    Triste nouvelle

    Au moins j’ai rendu hommage à ce formidable comédien de son vivant. Ses mémoires sont lisibles ici : http://bernard.musson.free.fr/sur.un.plateau.pdf

    avis aux éditeurs !

    Une excellente nouvelle cependant, Christophe Bier a désormais son blog http://www.leblogdemonsieurbier.com/ avec des nouvelles de son dictionnaire. Il lui rend hommage ici : http://www.leblogdemonsieurbier.com/2010/11/bernard-musson-de-belle-de-jour.html

    P.S. Ne manquez pas ce soir l’hommage de l’ami Christophe à Daniel Emilfork « Gargouille de charme » à 22h15 sur CinéCinéma Classik. L’occasion de visionner durant cette soirée quelques raretés cultes « L’inconnu de Shandigor », « Midi minuit », et « Au service sur diable », et une rediffusion du « Casanova » de Fellini

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  63. Coinducinéphage Coinducinéphage
    5 novembre 2010    

    Triste nouvelle

    Au moins j’ai rendu hommage à ce formidable comédien de son vivant. Ses mémoires sont lisibles ici : http://bernard.musson.free.fr/sur.un.plateau.pdf

    avis aux éditeurs !

    Une excellente nouvelle cependant, Christophe Bier a désormais son blog http://www.leblogdemonsieurbier.com/ avec des nouvelles de son dictionnaire. Il lui rend hommage ici : http://www.leblogdemonsieurbier.com/2010/11/bernard-musson-de-belle-de-jour.html

    P.S. Ne manquez pas ce soir l’hommage de l’ami Christophe à Daniel Emilfork « Gargouille de charme » à 22h15 sur CinéCinéma Classik. L’occasion de visionner durant cette soirée quelques raretés cultes « L’inconnu de Shandigor », « Midi minuit », et « Au service sur diable », et une rediffusion du « Casanova » de Fellini

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  64. fifi900 fifi900
    14 novembre 2010    

    renseignement

    bonjour savais vous ou est inhumé bernard musson dans quel ville merci encore

    Reply

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