Comme souvent je m’apprêtais à compléter un ancien portrait, de la rubrique « Fragments d’un dictionnaire amoureux » , consacré à François Berléand. Je pensais ainsi faire des ajout sur celui, qui a eu depuis la dernière mise à jour, une très riche actualité – théâtre, télévision pour Claude Chabrol, films, théâtre en direct à la télévision, réédition en poche . Mais je découvre par hasard la rubrique « classe, pas classe » – cliquez sur le lien -consacrée à François Berléand disponible du Site « Dvdrama » qui s’autoproclame : « premier quotidien du DVD, du cinéma et des séries ».
En lisant ce portrait signé par… 5 ou 6 personnes Alex Masson, Stanislas Bernard, Nicolas Houguet, Pitou WH et Gilles Botineau, Je constate qu’il y a beaucoup de similitudes avec le portrait que j’avais fait sur mon blog, citations, films méconnus « ôte-toi de mon soleil », quelques phrases à peine remaniées « Ma petite entreprise » : exemples « C’est un acteur tellement bon que quoi qu’on écrive, il y a forcément un rôle pour lui…», citation reprise agrémentée d’autres – j’en citais la source « Studio » ; « Ôte-toi de mon soleil » : « où il profite d’une totale liberté de jeu pour expérimenter des techniques différentes, et même de participer au piano à la musique du film. En visualisant le grand nombre de rushes, il étudie la manière de progresser » devient pour DVDramort : »Pourquoi pas pour Berléand d’expérimenter plusieurs techniques de jeu, ou de composer en partie la musique du film »; Ma petite entreprise : « Pour Pierre Jolivet, il devient un réjouissant assureur escroc dans « Ma petite entreprise », taraudé par ses origines slaves incapable de voir l’amour que lui porte le personnage de Catherine Mouchet » devient : « Berléand est un réjouissant assureur (et escroc, donc), taraudé par ses origines slaves, incapable de voir l’amour que lui porte le personnage de Catherine Mouchet »; « H.S. »: « en truand usé dans un climat qui se veut « Tarantinesque » dans « HS » (2000) » devient « …et dont les références tarantinesques »; « Edy » : « Il déclare volontiers que ce film reste son préféré » – il me l’avait confié et j’étais sur le tournage – devient « Berléand lui-même considère ce film comme son meilleur »; « L’homme idéal » : « Quelle que soit l’importance de la durée de ses rôles, il arrive toujours à faire exister un personnage, tel celui, muet, du dîneur victime d’un quiproquo dans « L’homme idéal » devient « celui interprété par notre ami Berléand, qui ne souffle mot dans cette scène ; il mange, simplement », etc…
Il y avait eu une première version de ce texte pour « Les gens du cinéma ». Pourquoi « se casser le cul sur l’herbe tendre », comme chantaient en chœur Serge Gainsbourg et Michel Simon dans « Ce sacré grand-père », quand on peut trouver tout rôti chez les autres ou matière à fournir un canevas. Je trouve ce type d’agissement hautement regrettable, d’autant plus que j’agis dans un but non lucratif, ce qui n’est pas le cas de ce site marchand, dont les membres reçoivent des DVD par service de presse, ce qui n’est pas mon cas. Un blog étant peu exposé par rapport à ce site, et se veut partageur – même si on trouve ce texte en page 2 de Google -. Il devient donc très facile de se servir ici ou là. Ce n’est pas la première fois, ayant même vu un extrait d’un texte sur Henri Attal publié ! Mais au moins certains font un effort de réécrire un tantinet. Pour le fragment d’un dictionnaire amoureux, je bénéficiais de conversations inédites avec François Berléand, le connaissant un peu, et continuant à le voir, comme en avril dernier au théâtre dans « Batailles ». Il reste d’ailleurs toujours aussi abordable, malgré sa grande notoriété et un emploi du temps dément – tout en jouant au théâtre, il tournait à Marseille « Le transporteur 3 » et répétait « Tailleur pour dames » pour France 2. Le retrouver est toujours un bonheur, Il a même pris la peine de me présenter à Jean-Pierre Marielle – l’une de mes idoles – et Agathe Natanson, présents ce-soir là, malgré une journée chargée.
Si ce type de comportement devient légion, il est parfois difficile de retrouver les sources exactes, comme ici. On peut imaginer que de bâcler ainsi en pillant ici ou là n’est pas une attitude très professionnelle. Si j’ai laissé trois commentaires, et bénéfice du doute suite au pont « viaduc » dernier, attendu une réponse de leur part à l’adresse mail de la rédaction du site, le tout est resté bien évidemment lettre morte. Petit rappel de la législation sur le droit d’auteur même sur le web : « …Ainsi tous les éléments présents sur Internet (images, vidéos, extraits sonores, textes) sont soumis de facto au droit d’auteur, même si leur accès est libre et gratuit et qu’aucune mention ne précise qu’ils sont protégés ! « . On peut reprendre des éléments à condition de citer l’auteur initial ». Source « webmaster.hub »
Addenda du 19/06/2008, voir le forum de DevilDead, DVDrama semble coutumier du fait… A noter également les agissements d’un contributeur de Wikipédia « Scoubidou75 », véritable sérial plagieur pour le cinéma français reprenant beaucoup de textes d’Yvan Foucart – et accessoirement mézigue pour Marie-Pierre Casey. Mais heureusement on peut contacter les modérateurs de ce site avec facilité et réactivité. Addenda du 2/12/2009, Novembre 2009, DVDRama disparaît et devient excessif.com, le texte reste mais plus de commentaires, c’est donc la méthode karcher. Mais bon le temps est au recyclage, on peut d’ailleurs féliciter à cet effet quelques sites « carmardophiles » et « CinéCopistes » qui font leur marché chez à peu près tout le monde. Visiblement ce n’est pas la probité qui vont les étouffer et pour avoir rencontré certains, on ne peut qu’être admiratif d’une roublardise visiblement hissée au niveau des beaux arts.
incident clos?
Ils ont donc fini par s’excuser en minorant le crime dont ils s’excusent, ravi d’avoir pu t’aider en rajoutant un post (pseudo « plagiat »).
As-tu vérifié qu’ils ont tout supprimé de ta prose?
Ta réponse sous « Emilfork » est excellente.
Il y a beaucoup de bloggeurs ou animateurs de sites persos qui passent par ici, il ne faut pas sous-estimer ce problème du plagiat par internet, en général ça se fait dans le milieu scolaire.
Recommandons de dater précisément chaque article et de signer de son vrai nom, ou si on écrit seul et qu’on prend des pseudos rigolos comme moi, de coller dans un coin du site que Jean Dupont est l’auteur de tous les textes. La mention copyright peut aider.
En cas de plagiat, il faut prouver l’antériorité de ton texte, même si tu dates, c’est pas une preuve, mais ça peut aider à faire reculer le plagiaire.
Il faudrait déposer ses pages web régulièrement à la SACD, un peu fastidieux… ou utiliser la version cache datée de Google, qui n’existe pas forcément.
Une prof a découvert un plagiat à force de taper sur Google des bouts de phrase issus de son texte… qu’elle a retrouvé ainsi sur d’autres sites que le sien…
Au fait, DVDrama laissera-t’il longtemps nos messages et leurs excuses?
incident clos?
Ils ont donc fini par s’excuser en minorant le crime dont ils s’excusent, ravi d’avoir pu t’aider en rajoutant un post (pseudo « plagiat »).
As-tu vérifié qu’ils ont tout supprimé de ta prose?
Ta réponse sous « Emilfork » est excellente.
Il y a beaucoup de bloggeurs ou animateurs de sites persos qui passent par ici, il ne faut pas sous-estimer ce problème du plagiat par internet, en général ça se fait dans le milieu scolaire.
Recommandons de dater précisément chaque article et de signer de son vrai nom, ou si on écrit seul et qu’on prend des pseudos rigolos comme moi, de coller dans un coin du site que Jean Dupont est l’auteur de tous les textes. La mention copyright peut aider.
En cas de plagiat, il faut prouver l’antériorité de ton texte, même si tu dates, c’est pas une preuve, mais ça peut aider à faire reculer le plagiaire.
Il faudrait déposer ses pages web régulièrement à la SACD, un peu fastidieux… ou utiliser la version cache datée de Google, qui n’existe pas forcément.
Une prof a découvert un plagiat à force de taper sur Google des bouts de phrase issus de son texte… qu’elle a retrouvé ainsi sur d’autres sites que le sien…
Au fait, DVDrama laissera-t’il longtemps nos messages et leurs excuses?
incident clos?
Ils ont donc fini par s’excuser en minorant le crime dont ils s’excusent, ravi d’avoir pu t’aider en rajoutant un post (pseudo « plagiat »).
As-tu vérifié qu’ils ont tout supprimé de ta prose?
Ta réponse sous « Emilfork » est excellente.
Il y a beaucoup de bloggeurs ou animateurs de sites persos qui passent par ici, il ne faut pas sous-estimer ce problème du plagiat par internet, en général ça se fait dans le milieu scolaire.
Recommandons de dater précisément chaque article et de signer de son vrai nom, ou si on écrit seul et qu’on prend des pseudos rigolos comme moi, de coller dans un coin du site que Jean Dupont est l’auteur de tous les textes. La mention copyright peut aider.
En cas de plagiat, il faut prouver l’antériorité de ton texte, même si tu dates, c’est pas une preuve, mais ça peut aider à faire reculer le plagiaire.
Il faudrait déposer ses pages web régulièrement à la SACD, un peu fastidieux… ou utiliser la version cache datée de Google, qui n’existe pas forcément.
Une prof a découvert un plagiat à force de taper sur Google des bouts de phrase issus de son texte… qu’elle a retrouvé ainsi sur d’autres sites que le sien…
Au fait, DVDrama laissera-t’il longtemps nos messages et leurs excuses?
incident clos?
Ils ont donc fini par s’excuser en minorant le crime dont ils s’excusent, ravi d’avoir pu t’aider en rajoutant un post (pseudo « plagiat »).
As-tu vérifié qu’ils ont tout supprimé de ta prose?
Ta réponse sous « Emilfork » est excellente.
Il y a beaucoup de bloggeurs ou animateurs de sites persos qui passent par ici, il ne faut pas sous-estimer ce problème du plagiat par internet, en général ça se fait dans le milieu scolaire.
Recommandons de dater précisément chaque article et de signer de son vrai nom, ou si on écrit seul et qu’on prend des pseudos rigolos comme moi, de coller dans un coin du site que Jean Dupont est l’auteur de tous les textes. La mention copyright peut aider.
En cas de plagiat, il faut prouver l’antériorité de ton texte, même si tu dates, c’est pas une preuve, mais ça peut aider à faire reculer le plagiaire.
Il faudrait déposer ses pages web régulièrement à la SACD, un peu fastidieux… ou utiliser la version cache datée de Google, qui n’existe pas forcément.
Une prof a découvert un plagiat à force de taper sur Google des bouts de phrase issus de son texte… qu’elle a retrouvé ainsi sur d’autres sites que le sien…
Au fait, DVDrama laissera-t’il longtemps nos messages et leurs excuses?
incident clos?
Ils ont donc fini par s’excuser en minorant le crime dont ils s’excusent, ravi d’avoir pu t’aider en rajoutant un post (pseudo « plagiat »).
As-tu vérifié qu’ils ont tout supprimé de ta prose?
Ta réponse sous « Emilfork » est excellente.
Il y a beaucoup de bloggeurs ou animateurs de sites persos qui passent par ici, il ne faut pas sous-estimer ce problème du plagiat par internet, en général ça se fait dans le milieu scolaire.
Recommandons de dater précisément chaque article et de signer de son vrai nom, ou si on écrit seul et qu’on prend des pseudos rigolos comme moi, de coller dans un coin du site que Jean Dupont est l’auteur de tous les textes. La mention copyright peut aider.
En cas de plagiat, il faut prouver l’antériorité de ton texte, même si tu dates, c’est pas une preuve, mais ça peut aider à faire reculer le plagiaire.
Il faudrait déposer ses pages web régulièrement à la SACD, un peu fastidieux… ou utiliser la version cache datée de Google, qui n’existe pas forcément.
Une prof a découvert un plagiat à force de taper sur Google des bouts de phrase issus de son texte… qu’elle a retrouvé ainsi sur d’autres sites que le sien…
Au fait, DVDrama laissera-t’il longtemps nos messages et leurs excuses?
Comment s’excuser soi même…
Merci Gashade pour ton aide, j’ai eu une réponse en contactant en fait une personne du service juridique en ligne de « DVDrama », la réponse étant ensuite en commentaire.
Commentaire de la rédaction :
1 – Si il y a eut plagiat, nous nous en excusons. Ce classe pas classe est un dossier collectif écrit par 5 personnes sur des parties dédiées. Nous retirons de suite les passages incriminés et prendrons de graves sanction à l’encontre de sin auteur.
La rédaction
2 – après vérification de l’article…
seules 3 bout de phrases (300 signes) sont incriminés sur un article qui fait plus de 8000 signes. Nous les avons retité en nous excusant encore.
Ma réponse ayant cité les éléments repris, je n’ai jamais prétendu un plagiat complet :
– Comment s’excuser soi même…
Le petit jeu de comptabiliser les 300 signes ne minore en rien le principe de reprendre des informations. En « meublant » un peu, vous aviez ainsi matière à développer des articles sur les films méconnus de la filmographie de François Berléand, découlant du texte original. Je suis ravi de voir aussi que vous vous excusez vous même – qui donc au fait ? -, on n’est jamais mieux servi que par soi même !
En conclusion : J’adore ça comme expression, « on s’excuse »…
@+
Comment s’excuser soi même…
Merci Gashade pour ton aide, j’ai eu une réponse en contactant en fait une personne du service juridique en ligne de « DVDrama », la réponse étant ensuite en commentaire.
Commentaire de la rédaction :
1 – Si il y a eut plagiat, nous nous en excusons. Ce classe pas classe est un dossier collectif écrit par 5 personnes sur des parties dédiées. Nous retirons de suite les passages incriminés et prendrons de graves sanction à l’encontre de sin auteur.
La rédaction
2 – après vérification de l’article…
seules 3 bout de phrases (300 signes) sont incriminés sur un article qui fait plus de 8000 signes. Nous les avons retité en nous excusant encore.
Ma réponse ayant cité les éléments repris, je n’ai jamais prétendu un plagiat complet :
– Comment s’excuser soi même…
Le petit jeu de comptabiliser les 300 signes ne minore en rien le principe de reprendre des informations. En « meublant » un peu, vous aviez ainsi matière à développer des articles sur les films méconnus de la filmographie de François Berléand, découlant du texte original. Je suis ravi de voir aussi que vous vous excusez vous même – qui donc au fait ? -, on n’est jamais mieux servi que par soi même !
En conclusion : J’adore ça comme expression, « on s’excuse »…
@+
Comment s’excuser soi même…
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Commentaire de la rédaction :
1 – Si il y a eut plagiat, nous nous en excusons. Ce classe pas classe est un dossier collectif écrit par 5 personnes sur des parties dédiées. Nous retirons de suite les passages incriminés et prendrons de graves sanction à l’encontre de sin auteur.
La rédaction
2 – après vérification de l’article…
seules 3 bout de phrases (300 signes) sont incriminés sur un article qui fait plus de 8000 signes. Nous les avons retité en nous excusant encore.
Ma réponse ayant cité les éléments repris, je n’ai jamais prétendu un plagiat complet :
– Comment s’excuser soi même…
Le petit jeu de comptabiliser les 300 signes ne minore en rien le principe de reprendre des informations. En « meublant » un peu, vous aviez ainsi matière à développer des articles sur les films méconnus de la filmographie de François Berléand, découlant du texte original. Je suis ravi de voir aussi que vous vous excusez vous même – qui donc au fait ? -, on n’est jamais mieux servi que par soi même !
En conclusion : J’adore ça comme expression, « on s’excuse »…
@+
Comment s’excuser soi même…
Merci Gashade pour ton aide, j’ai eu une réponse en contactant en fait une personne du service juridique en ligne de « DVDrama », la réponse étant ensuite en commentaire.
Commentaire de la rédaction :
1 – Si il y a eut plagiat, nous nous en excusons. Ce classe pas classe est un dossier collectif écrit par 5 personnes sur des parties dédiées. Nous retirons de suite les passages incriminés et prendrons de graves sanction à l’encontre de sin auteur.
La rédaction
2 – après vérification de l’article…
seules 3 bout de phrases (300 signes) sont incriminés sur un article qui fait plus de 8000 signes. Nous les avons retité en nous excusant encore.
Ma réponse ayant cité les éléments repris, je n’ai jamais prétendu un plagiat complet :
– Comment s’excuser soi même…
Le petit jeu de comptabiliser les 300 signes ne minore en rien le principe de reprendre des informations. En « meublant » un peu, vous aviez ainsi matière à développer des articles sur les films méconnus de la filmographie de François Berléand, découlant du texte original. Je suis ravi de voir aussi que vous vous excusez vous même – qui donc au fait ? -, on n’est jamais mieux servi que par soi même !
En conclusion : J’adore ça comme expression, « on s’excuse »…
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Comment s’excuser soi même…
Merci Gashade pour ton aide, j’ai eu une réponse en contactant en fait une personne du service juridique en ligne de « DVDrama », la réponse étant ensuite en commentaire.
Commentaire de la rédaction :
1 – Si il y a eut plagiat, nous nous en excusons. Ce classe pas classe est un dossier collectif écrit par 5 personnes sur des parties dédiées. Nous retirons de suite les passages incriminés et prendrons de graves sanction à l’encontre de sin auteur.
La rédaction
2 – après vérification de l’article…
seules 3 bout de phrases (300 signes) sont incriminés sur un article qui fait plus de 8000 signes. Nous les avons retité en nous excusant encore.
Ma réponse ayant cité les éléments repris, je n’ai jamais prétendu un plagiat complet :
– Comment s’excuser soi même…
Le petit jeu de comptabiliser les 300 signes ne minore en rien le principe de reprendre des informations. En « meublant » un peu, vous aviez ainsi matière à développer des articles sur les films méconnus de la filmographie de François Berléand, découlant du texte original. Je suis ravi de voir aussi que vous vous excusez vous même – qui donc au fait ? -, on n’est jamais mieux servi que par soi même !
En conclusion : J’adore ça comme expression, « on s’excuse »…
@+
Aaaahhhh !!
Tu vois qu’il était utile mon lien vers Devildead 😛
++
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Dvdrama strikes again
Merci Fwak, j’ignorais que c’était toi… DVDrama continue ses habitudes de plagiats et de contrefaçons citons la fiche sur le décès du comédien Jean-Claude Bouillaud : photo volée au site CinéClap, texte repris à l’agence AFP sans rien citer bien sûr. Mais il y a une petite touche personnelle cependant… les fautes de ponctuation !
Dvdrama strikes again
Merci Fwak, j’ignorais que c’était toi… DVDrama continue ses habitudes de plagiats et de contrefaçons citons la fiche sur le décès du comédien Jean-Claude Bouillaud : photo volée au site CinéClap, texte repris à l’agence AFP sans rien citer bien sûr. Mais il y a une petite touche personnelle cependant… les fautes de ponctuation !
Dvdrama strikes again
Merci Fwak, j’ignorais que c’était toi… DVDrama continue ses habitudes de plagiats et de contrefaçons citons la fiche sur le décès du comédien Jean-Claude Bouillaud : photo volée au site CinéClap, texte repris à l’agence AFP sans rien citer bien sûr. Mais il y a une petite touche personnelle cependant… les fautes de ponctuation !
Dvdrama strikes again
Merci Fwak, j’ignorais que c’était toi… DVDrama continue ses habitudes de plagiats et de contrefaçons citons la fiche sur le décès du comédien Jean-Claude Bouillaud : photo volée au site CinéClap, texte repris à l’agence AFP sans rien citer bien sûr. Mais il y a une petite touche personnelle cependant… les fautes de ponctuation !
Dvdrama strikes again
Merci Fwak, j’ignorais que c’était toi… DVDrama continue ses habitudes de plagiats et de contrefaçons citons la fiche sur le décès du comédien Jean-Claude Bouillaud : photo volée au site CinéClap, texte repris à l’agence AFP sans rien citer bien sûr. Mais il y a une petite touche personnelle cependant… les fautes de ponctuation !
Excessif ou le retour de la vengeance
Apparemment, ils n’ont pas arrêté leur bonnes vieilles habitudes.
Concernant l’article paru récemment sur la restauration des Chaussons Rouges, les images -ou tout du moins les 2ème et 3ème captures avec Moira Shearer seule sur scène- sont empruntées au site DVDBeaver, la première image correspondant à celle du Blu-Ray UK (alors que l’on parle d’une ressortie Cinéma !!!) et la deuxième du DVD français édité par l’Institut Lumière. Bien évidemment, sans citation des sources :
http://www.excessif.com/cinema/actu-cinema/dossiers/les-chaussons-rouges-tout-neufs-5800212-760.html
http://www.dvdbeaver.com/film/DVDCompare/redshoes.htm
De plus, l’article est écrit par Arnaud BORDAS. Alors si c’est vraiment lui qui a choisi les images, no comment niveau propriété intellectuelle. Je n’ai par contre pas étudié le texte pour savoir s’il avait été repompé quelque part.
Excessif ou le retour de la vengeance
Apparemment, ils n’ont pas arrêté leur bonnes vieilles habitudes.
Concernant l’article paru récemment sur la restauration des Chaussons Rouges, les images -ou tout du moins les 2ème et 3ème captures avec Moira Shearer seule sur scène- sont empruntées au site DVDBeaver, la première image correspondant à celle du Blu-Ray UK (alors que l’on parle d’une ressortie Cinéma !!!) et la deuxième du DVD français édité par l’Institut Lumière. Bien évidemment, sans citation des sources :
http://www.excessif.com/cinema/actu-cinema/dossiers/les-chaussons-rouges-tout-neufs-5800212-760.html
http://www.dvdbeaver.com/film/DVDCompare/redshoes.htm
De plus, l’article est écrit par Arnaud BORDAS. Alors si c’est vraiment lui qui a choisi les images, no comment niveau propriété intellectuelle. Je n’ai par contre pas étudié le texte pour savoir s’il avait été repompé quelque part.
Excessif ou le retour de la vengeance
Apparemment, ils n’ont pas arrêté leur bonnes vieilles habitudes.
Concernant l’article paru récemment sur la restauration des Chaussons Rouges, les images -ou tout du moins les 2ème et 3ème captures avec Moira Shearer seule sur scène- sont empruntées au site DVDBeaver, la première image correspondant à celle du Blu-Ray UK (alors que l’on parle d’une ressortie Cinéma !!!) et la deuxième du DVD français édité par l’Institut Lumière. Bien évidemment, sans citation des sources :
http://www.excessif.com/cinema/actu-cinema/dossiers/les-chaussons-rouges-tout-neufs-5800212-760.html
http://www.dvdbeaver.com/film/DVDCompare/redshoes.htm
De plus, l’article est écrit par Arnaud BORDAS. Alors si c’est vraiment lui qui a choisi les images, no comment niveau propriété intellectuelle. Je n’ai par contre pas étudié le texte pour savoir s’il avait été repompé quelque part.
Excessif ou le retour de la vengeance
Apparemment, ils n’ont pas arrêté leur bonnes vieilles habitudes.
Concernant l’article paru récemment sur la restauration des Chaussons Rouges, les images -ou tout du moins les 2ème et 3ème captures avec Moira Shearer seule sur scène- sont empruntées au site DVDBeaver, la première image correspondant à celle du Blu-Ray UK (alors que l’on parle d’une ressortie Cinéma !!!) et la deuxième du DVD français édité par l’Institut Lumière. Bien évidemment, sans citation des sources :
http://www.excessif.com/cinema/actu-cinema/dossiers/les-chaussons-rouges-tout-neufs-5800212-760.html
http://www.dvdbeaver.com/film/DVDCompare/redshoes.htm
De plus, l’article est écrit par Arnaud BORDAS. Alors si c’est vraiment lui qui a choisi les images, no comment niveau propriété intellectuelle. Je n’ai par contre pas étudié le texte pour savoir s’il avait été repompé quelque part.
Excessif ou le retour de la vengeance
Apparemment, ils n’ont pas arrêté leur bonnes vieilles habitudes.
Concernant l’article paru récemment sur la restauration des Chaussons Rouges, les images -ou tout du moins les 2ème et 3ème captures avec Moira Shearer seule sur scène- sont empruntées au site DVDBeaver, la première image correspondant à celle du Blu-Ray UK (alors que l’on parle d’une ressortie Cinéma !!!) et la deuxième du DVD français édité par l’Institut Lumière. Bien évidemment, sans citation des sources :
http://www.excessif.com/cinema/actu-cinema/dossiers/les-chaussons-rouges-tout-neufs-5800212-760.html
http://www.dvdbeaver.com/film/DVDCompare/redshoes.htm
De plus, l’article est écrit par Arnaud BORDAS. Alors si c’est vraiment lui qui a choisi les images, no comment niveau propriété intellectuelle. Je n’ai par contre pas étudié le texte pour savoir s’il avait été repompé quelque part.
Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
Pour rebondir sur l’observation très fine de Sedla Bohne, restons dans le plagiat et la contre-façon.
J’ignorais avoir une relation de travail dissimulé avec un certain site Cinécopistes qui vient régulièrement faire allégrement son marché chez les autres. Je me demande si je dois lui facturer les heures de travail – un blog ne rapportant rien – ou l’attaquer aux prud’hommes ?
Pour prendre exemple sur la filmo de Paul Bisciglia, il y a dans celle-ci plusieurs titres non référencés ailleurs, si je collabore toujours et souvent au site IMDB, je ne rentre pas systématiquement la totalité des comédiens que je repère. Elle bénéficie des informations de Christophe Bier dont on attend le « dictionnaire des longs-métrages érotiques et pornographiques », que les lecteurs de Cinérotica connaissent déjà, et d’Armel de Lorme. Le créateur de ce « Cinécopistes » reprend nombres d’infos dans « le dictionnaire des comédiens disparus » d’Yvan Foucart, sur le site « L’encinémathèque » de Christian Grenier – ces deux derniers et mézigue ayant disparu des « sources » -, dans les « Immortels du cinéma » de Ciné-Revue, etc… Il y avait des articles de qualité signés d’une certaine Caroline, mais depuis peu c’est assez navrant, certains de ces collaborateurs ne se contentent que de recycler vaguement les infos trouvées sur l’AFP. On ne retrouve que peu de textes vraiment pertinents, à de très rares exceptions comme le portrait de Gilbert Servien par sa fille. Comment donc faire un site de cinéma sans se fatiguer ! Curieuse attitude pour quelqu’un que nous avons soutenu et défendu.
Quelqu’un qui disait que « Il va de soi que toute information biographique inspiré d’un texte d’un site ami doit être mentionné clairement.
Mais échangeons plutôt que de se glorifier d’informations qui de toutes façons se trouveront très rapidement sur d’autres sites. »
On peut apprécier cette dernière formulation, puisque le copier-coller est devenu sa marque de fabrique.
Je vous annonce donc officielement la disparition de la rubrique R.I.P. au profit de « fragments d’un dictionnaire amoureux » – avec des hommages à des comédiens vivants ou disparus -, en effet « faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » ! Vous pourrez rendre visite pour les disparus français au site « L’aide-mémoire » http://www.aide-memoire.org/index%20bis.htm
Petit rappel, car je ne vais pas en rester là
DROIT D’AUTEUR : Rappel : (code de la propriété intellectuelle – extraits) :
Art. L.335-2. Toute édition d’écrits, de composition musicale, de dessin de peinture ou de toute autre production imprimée ou gravée en entier ou en
partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon ; et toute contrefaçon est un délit. La contrefaçon en France
d’ouvrages publiés en France ou à l’étranger est punie de trois ans d’emprisonnement et de 300.000 Euros d’amende. Seront punis des mêmes peines le
débit, l’exportation et l’importation des ouvrages contrefaits.
Art. L.335-3. Est également un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une oeuvre de
l’esprit en violation des droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi. Est également un délit de contrefaçon la violation de l’un des droits
de l’auteur de logiciel.
Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
Pour rebondir sur l’observation très fine de Sedla Bohne, restons dans le plagiat et la contre-façon.
J’ignorais avoir une relation de travail dissimulé avec un certain site Cinécopistes qui vient régulièrement faire allégrement son marché chez les autres. Je me demande si je dois lui facturer les heures de travail – un blog ne rapportant rien – ou l’attaquer aux prud’hommes ?
Pour prendre exemple sur la filmo de Paul Bisciglia, il y a dans celle-ci plusieurs titres non référencés ailleurs, si je collabore toujours et souvent au site IMDB, je ne rentre pas systématiquement la totalité des comédiens que je repère. Elle bénéficie des informations de Christophe Bier dont on attend le « dictionnaire des longs-métrages érotiques et pornographiques », que les lecteurs de Cinérotica connaissent déjà, et d’Armel de Lorme. Le créateur de ce « Cinécopistes » reprend nombres d’infos dans « le dictionnaire des comédiens disparus » d’Yvan Foucart, sur le site « L’encinémathèque » de Christian Grenier – ces deux derniers et mézigue ayant disparu des « sources » -, dans les « Immortels du cinéma » de Ciné-Revue, etc… Il y avait des articles de qualité signés d’une certaine Caroline, mais depuis peu c’est assez navrant, certains de ces collaborateurs ne se contentent que de recycler vaguement les infos trouvées sur l’AFP. On ne retrouve que peu de textes vraiment pertinents, à de très rares exceptions comme le portrait de Gilbert Servien par sa fille. Comment donc faire un site de cinéma sans se fatiguer ! Curieuse attitude pour quelqu’un que nous avons soutenu et défendu.
Quelqu’un qui disait que « Il va de soi que toute information biographique inspiré d’un texte d’un site ami doit être mentionné clairement.
Mais échangeons plutôt que de se glorifier d’informations qui de toutes façons se trouveront très rapidement sur d’autres sites. »
On peut apprécier cette dernière formulation, puisque le copier-coller est devenu sa marque de fabrique.
Je vous annonce donc officielement la disparition de la rubrique R.I.P. au profit de « fragments d’un dictionnaire amoureux » – avec des hommages à des comédiens vivants ou disparus -, en effet « faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » ! Vous pourrez rendre visite pour les disparus français au site « L’aide-mémoire » http://www.aide-memoire.org/index%20bis.htm
Petit rappel, car je ne vais pas en rester là
DROIT D’AUTEUR : Rappel : (code de la propriété intellectuelle – extraits) :
Art. L.335-2. Toute édition d’écrits, de composition musicale, de dessin de peinture ou de toute autre production imprimée ou gravée en entier ou en
partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon ; et toute contrefaçon est un délit. La contrefaçon en France
d’ouvrages publiés en France ou à l’étranger est punie de trois ans d’emprisonnement et de 300.000 Euros d’amende. Seront punis des mêmes peines le
débit, l’exportation et l’importation des ouvrages contrefaits.
Art. L.335-3. Est également un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une oeuvre de
l’esprit en violation des droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi. Est également un délit de contrefaçon la violation de l’un des droits
de l’auteur de logiciel.
Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
Pour rebondir sur l’observation très fine de Sedla Bohne, restons dans le plagiat et la contre-façon.
J’ignorais avoir une relation de travail dissimulé avec un certain site Cinécopistes qui vient régulièrement faire allégrement son marché chez les autres. Je me demande si je dois lui facturer les heures de travail – un blog ne rapportant rien – ou l’attaquer aux prud’hommes ?
Pour prendre exemple sur la filmo de Paul Bisciglia, il y a dans celle-ci plusieurs titres non référencés ailleurs, si je collabore toujours et souvent au site IMDB, je ne rentre pas systématiquement la totalité des comédiens que je repère. Elle bénéficie des informations de Christophe Bier dont on attend le « dictionnaire des longs-métrages érotiques et pornographiques », que les lecteurs de Cinérotica connaissent déjà, et d’Armel de Lorme. Le créateur de ce « Cinécopistes » reprend nombres d’infos dans « le dictionnaire des comédiens disparus » d’Yvan Foucart, sur le site « L’encinémathèque » de Christian Grenier – ces deux derniers et mézigue ayant disparu des « sources » -, dans les « Immortels du cinéma » de Ciné-Revue, etc… Il y avait des articles de qualité signés d’une certaine Caroline, mais depuis peu c’est assez navrant, certains de ces collaborateurs ne se contentent que de recycler vaguement les infos trouvées sur l’AFP. On ne retrouve que peu de textes vraiment pertinents, à de très rares exceptions comme le portrait de Gilbert Servien par sa fille. Comment donc faire un site de cinéma sans se fatiguer ! Curieuse attitude pour quelqu’un que nous avons soutenu et défendu.
Quelqu’un qui disait que « Il va de soi que toute information biographique inspiré d’un texte d’un site ami doit être mentionné clairement.
Mais échangeons plutôt que de se glorifier d’informations qui de toutes façons se trouveront très rapidement sur d’autres sites. »
On peut apprécier cette dernière formulation, puisque le copier-coller est devenu sa marque de fabrique.
Je vous annonce donc officielement la disparition de la rubrique R.I.P. au profit de « fragments d’un dictionnaire amoureux » – avec des hommages à des comédiens vivants ou disparus -, en effet « faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » ! Vous pourrez rendre visite pour les disparus français au site « L’aide-mémoire » http://www.aide-memoire.org/index%20bis.htm
Petit rappel, car je ne vais pas en rester là
DROIT D’AUTEUR : Rappel : (code de la propriété intellectuelle – extraits) :
Art. L.335-2. Toute édition d’écrits, de composition musicale, de dessin de peinture ou de toute autre production imprimée ou gravée en entier ou en
partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon ; et toute contrefaçon est un délit. La contrefaçon en France
d’ouvrages publiés en France ou à l’étranger est punie de trois ans d’emprisonnement et de 300.000 Euros d’amende. Seront punis des mêmes peines le
débit, l’exportation et l’importation des ouvrages contrefaits.
Art. L.335-3. Est également un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une oeuvre de
l’esprit en violation des droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi. Est également un délit de contrefaçon la violation de l’un des droits
de l’auteur de logiciel.
Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
Pour rebondir sur l’observation très fine de Sedla Bohne, restons dans le plagiat et la contre-façon.
J’ignorais avoir une relation de travail dissimulé avec un certain site Cinécopistes qui vient régulièrement faire allégrement son marché chez les autres. Je me demande si je dois lui facturer les heures de travail – un blog ne rapportant rien – ou l’attaquer aux prud’hommes ?
Pour prendre exemple sur la filmo de Paul Bisciglia, il y a dans celle-ci plusieurs titres non référencés ailleurs, si je collabore toujours et souvent au site IMDB, je ne rentre pas systématiquement la totalité des comédiens que je repère. Elle bénéficie des informations de Christophe Bier dont on attend le « dictionnaire des longs-métrages érotiques et pornographiques », que les lecteurs de Cinérotica connaissent déjà, et d’Armel de Lorme. Le créateur de ce « Cinécopistes » reprend nombres d’infos dans « le dictionnaire des comédiens disparus » d’Yvan Foucart, sur le site « L’encinémathèque » de Christian Grenier – ces deux derniers et mézigue ayant disparu des « sources » -, dans les « Immortels du cinéma » de Ciné-Revue, etc… Il y avait des articles de qualité signés d’une certaine Caroline, mais depuis peu c’est assez navrant, certains de ces collaborateurs ne se contentent que de recycler vaguement les infos trouvées sur l’AFP. On ne retrouve que peu de textes vraiment pertinents, à de très rares exceptions comme le portrait de Gilbert Servien par sa fille. Comment donc faire un site de cinéma sans se fatiguer ! Curieuse attitude pour quelqu’un que nous avons soutenu et défendu.
Quelqu’un qui disait que « Il va de soi que toute information biographique inspiré d’un texte d’un site ami doit être mentionné clairement.
Mais échangeons plutôt que de se glorifier d’informations qui de toutes façons se trouveront très rapidement sur d’autres sites. »
On peut apprécier cette dernière formulation, puisque le copier-coller est devenu sa marque de fabrique.
Je vous annonce donc officielement la disparition de la rubrique R.I.P. au profit de « fragments d’un dictionnaire amoureux » – avec des hommages à des comédiens vivants ou disparus -, en effet « faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » ! Vous pourrez rendre visite pour les disparus français au site « L’aide-mémoire » http://www.aide-memoire.org/index%20bis.htm
Petit rappel, car je ne vais pas en rester là
DROIT D’AUTEUR : Rappel : (code de la propriété intellectuelle – extraits) :
Art. L.335-2. Toute édition d’écrits, de composition musicale, de dessin de peinture ou de toute autre production imprimée ou gravée en entier ou en
partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon ; et toute contrefaçon est un délit. La contrefaçon en France
d’ouvrages publiés en France ou à l’étranger est punie de trois ans d’emprisonnement et de 300.000 Euros d’amende. Seront punis des mêmes peines le
débit, l’exportation et l’importation des ouvrages contrefaits.
Art. L.335-3. Est également un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une oeuvre de
l’esprit en violation des droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi. Est également un délit de contrefaçon la violation de l’un des droits
de l’auteur de logiciel.
Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
Pour rebondir sur l’observation très fine de Sedla Bohne, restons dans le plagiat et la contre-façon.
J’ignorais avoir une relation de travail dissimulé avec un certain site Cinécopistes qui vient régulièrement faire allégrement son marché chez les autres. Je me demande si je dois lui facturer les heures de travail – un blog ne rapportant rien – ou l’attaquer aux prud’hommes ?
Pour prendre exemple sur la filmo de Paul Bisciglia, il y a dans celle-ci plusieurs titres non référencés ailleurs, si je collabore toujours et souvent au site IMDB, je ne rentre pas systématiquement la totalité des comédiens que je repère. Elle bénéficie des informations de Christophe Bier dont on attend le « dictionnaire des longs-métrages érotiques et pornographiques », que les lecteurs de Cinérotica connaissent déjà, et d’Armel de Lorme. Le créateur de ce « Cinécopistes » reprend nombres d’infos dans « le dictionnaire des comédiens disparus » d’Yvan Foucart, sur le site « L’encinémathèque » de Christian Grenier – ces deux derniers et mézigue ayant disparu des « sources » -, dans les « Immortels du cinéma » de Ciné-Revue, etc… Il y avait des articles de qualité signés d’une certaine Caroline, mais depuis peu c’est assez navrant, certains de ces collaborateurs ne se contentent que de recycler vaguement les infos trouvées sur l’AFP. On ne retrouve que peu de textes vraiment pertinents, à de très rares exceptions comme le portrait de Gilbert Servien par sa fille. Comment donc faire un site de cinéma sans se fatiguer ! Curieuse attitude pour quelqu’un que nous avons soutenu et défendu.
Quelqu’un qui disait que « Il va de soi que toute information biographique inspiré d’un texte d’un site ami doit être mentionné clairement.
Mais échangeons plutôt que de se glorifier d’informations qui de toutes façons se trouveront très rapidement sur d’autres sites. »
On peut apprécier cette dernière formulation, puisque le copier-coller est devenu sa marque de fabrique.
Je vous annonce donc officielement la disparition de la rubrique R.I.P. au profit de « fragments d’un dictionnaire amoureux » – avec des hommages à des comédiens vivants ou disparus -, en effet « faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » ! Vous pourrez rendre visite pour les disparus français au site « L’aide-mémoire » http://www.aide-memoire.org/index%20bis.htm
Petit rappel, car je ne vais pas en rester là
DROIT D’AUTEUR : Rappel : (code de la propriété intellectuelle – extraits) :
Art. L.335-2. Toute édition d’écrits, de composition musicale, de dessin de peinture ou de toute autre production imprimée ou gravée en entier ou en
partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon ; et toute contrefaçon est un délit. La contrefaçon en France
d’ouvrages publiés en France ou à l’étranger est punie de trois ans d’emprisonnement et de 300.000 Euros d’amende. Seront punis des mêmes peines le
débit, l’exportation et l’importation des ouvrages contrefaits.
Art. L.335-3. Est également un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une oeuvre de
l’esprit en violation des droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi. Est également un délit de contrefaçon la violation de l’un des droits
de l’auteur de logiciel.
Mauvais Plagiaire
J’ai jeté un oeil sur la filmo repompée. C’est flagrant, mais ce qui est flagrant est aussi la « touche personnelle » du plagiaire, qui en compilant à droite et à gauche fait des synthèses fantaisistes. Il considère par exemple que la mention des pseudonymes, notamment pour les cinéastes du porno, est inutile. C’est une méconnaissance du cinéma porno et un manque de rigueur. Le pseudo est une indication capitale. D’autre part, il ajoute des titres « secondaires » sans doute glanés sur Encyclociné ou Imdb qui sont inutiles, ajoutent à la confusion. Par exemple, « Les Petites Chattes », c’est « Les Petites Chattes », un point c’est tout. « Les Nanas flingueuses » n’étant qu’un titre de tournage qui n’a jamais servi. Bref, un très mauvais plagiaire…
Mauvais Plagiaire
J’ai jeté un oeil sur la filmo repompée. C’est flagrant, mais ce qui est flagrant est aussi la « touche personnelle » du plagiaire, qui en compilant à droite et à gauche fait des synthèses fantaisistes. Il considère par exemple que la mention des pseudonymes, notamment pour les cinéastes du porno, est inutile. C’est une méconnaissance du cinéma porno et un manque de rigueur. Le pseudo est une indication capitale. D’autre part, il ajoute des titres « secondaires » sans doute glanés sur Encyclociné ou Imdb qui sont inutiles, ajoutent à la confusion. Par exemple, « Les Petites Chattes », c’est « Les Petites Chattes », un point c’est tout. « Les Nanas flingueuses » n’étant qu’un titre de tournage qui n’a jamais servi. Bref, un très mauvais plagiaire…
Mauvais Plagiaire
J’ai jeté un oeil sur la filmo repompée. C’est flagrant, mais ce qui est flagrant est aussi la « touche personnelle » du plagiaire, qui en compilant à droite et à gauche fait des synthèses fantaisistes. Il considère par exemple que la mention des pseudonymes, notamment pour les cinéastes du porno, est inutile. C’est une méconnaissance du cinéma porno et un manque de rigueur. Le pseudo est une indication capitale. D’autre part, il ajoute des titres « secondaires » sans doute glanés sur Encyclociné ou Imdb qui sont inutiles, ajoutent à la confusion. Par exemple, « Les Petites Chattes », c’est « Les Petites Chattes », un point c’est tout. « Les Nanas flingueuses » n’étant qu’un titre de tournage qui n’a jamais servi. Bref, un très mauvais plagiaire…
Mauvais Plagiaire
J’ai jeté un oeil sur la filmo repompée. C’est flagrant, mais ce qui est flagrant est aussi la « touche personnelle » du plagiaire, qui en compilant à droite et à gauche fait des synthèses fantaisistes. Il considère par exemple que la mention des pseudonymes, notamment pour les cinéastes du porno, est inutile. C’est une méconnaissance du cinéma porno et un manque de rigueur. Le pseudo est une indication capitale. D’autre part, il ajoute des titres « secondaires » sans doute glanés sur Encyclociné ou Imdb qui sont inutiles, ajoutent à la confusion. Par exemple, « Les Petites Chattes », c’est « Les Petites Chattes », un point c’est tout. « Les Nanas flingueuses » n’étant qu’un titre de tournage qui n’a jamais servi. Bref, un très mauvais plagiaire…
Mauvais Plagiaire
J’ai jeté un oeil sur la filmo repompée. C’est flagrant, mais ce qui est flagrant est aussi la « touche personnelle » du plagiaire, qui en compilant à droite et à gauche fait des synthèses fantaisistes. Il considère par exemple que la mention des pseudonymes, notamment pour les cinéastes du porno, est inutile. C’est une méconnaissance du cinéma porno et un manque de rigueur. Le pseudo est une indication capitale. D’autre part, il ajoute des titres « secondaires » sans doute glanés sur Encyclociné ou Imdb qui sont inutiles, ajoutent à la confusion. Par exemple, « Les Petites Chattes », c’est « Les Petites Chattes », un point c’est tout. « Les Nanas flingueuses » n’étant qu’un titre de tournage qui n’a jamais servi. Bref, un très mauvais plagiaire…